Introduction
1508, Au dessus des nuages.
Tous les dieux de croyances différentes se rassemblèrent tous les 1 milliards d'années afin de discuter sur l'être à envoyer sur
Terre. La cloche sonna et tous se mirent en ligne en face d'un
estrade pour écouter se que le Dieu de la vie eut à leur dire. Celui-ci acquiesça avant de s'assoir pour prendre la parole :
- Mes amis, le moment est enfin venu.
Après ces paroles, tous les dieux se mirent à paniquer et chuchotèrent entre eux. Le Dieu de la vie fit un signe de la main pour calmer l'atmosphère inquiétante que ceux-ci eurent créé puis continua son discours :
Cela fait des milliards de milliards d'années que nous attendions tous la création de l'être guideur, et celui-ci est prêt... pour sa création ! répondit-il en levant les mains.
Tous se mirent à crier de joie et à se serrer dans leur bras.
- Tu te rends compte, toutes ces années d'attentes, il va enfin voir le jour ! cria un dieu à un autre et celui-ci répondit :
- Moi qui pensais que ce n'était qu'une pure légende pour nous faire passer le temps.
Le Dieu de la vie les regarda, avec un air ému, tous pleurer de joie après de longues attentes. Il se dirigea, ainsi que tous les autres vers un immense bloc carré ouvert d'en haut. Au millieu, il y avait une grande cuve cylindrique accompagné de fioles de différentes couleurs posées sur un long bureau en verre transparent. Le Dieu de la vie pris une fiole phosphorescente et fit différents mélanges avec les autres fioles posées à côté. Les dieux regardèrent attentivement la scène, certains étaient stressés à l'idée que l'expérience n'allait peut-être pas marcher, et d'autres étaient toujours dans l'excitation de voir ce nouvel être prendre vie. Après que le Dieu de la vie eût fini son mélange, une petite explosion jaillissait de la fiole et tous se cachèrent le visage avec leur main par surprise. Quelques instants plus tard, ils ouvrirent leurs yeux pour regarder à nouveau la scène et virent le Dieu de la vie ouvrir la cuve et fit couler le liquide dedans. Une petite lumière sortit de la cuve et le Dieu de la vie leva ses bras afin d'annoncer à tous que l'expérience était une réussite. Certains se mirent à hurler de joie avant de tomber dans les pommes, d'autres restèrent bouche-bée, ne réalisant pas que cette lumière était réelle et une dizaine d'entre eux avancèrent lentement pour contempler ce moment inoubliable. Le Dieu de la vie pris alors la parole :
- A tous les dieux ici présent, je vous annonce ceci, avec une immense joie que la légende écrite des années de cela va enfin voir le jour, je vous félicite tous ! répondit-il le point fermé.
Tous crièrent en répétition "Gloire à l'être de lumière !". La petite lumière se dirigea vers le Dieu de la vie et celui-ci rétorqua :
Lumière, tu es notre messager depuis tant d'années, va petite lumière et guide les 2 élus porteurs du médaillon du soleil vers les portes des cités d'or, tu es leur clé, descend sur la Terre, va !
La petite lumière s'exécuta et descendit rapidement vers la Terre. Lorsqu'il ne vit plus le scintillement émit par la lumière, le Dieu de la vie répondit aussitôt :
Faites que pendant son parcours, il ne lui arrivera rien et que le Destin puise la guider jusqu'au cités d'or...
Chapitre 1
4ans plus tard, vers les terres des incas.
Un bruit retentit sur toute la mer. C'était le bruit qui provenait d'un canon mais pas n'importe lequel, celui d'un canon espagnol. Les Espagnols et les Incas se faisaient la guerre pour aller pilier les trésors des Incas. Les Espagnols étaient sur leur bateau tirant à coup de canon sur le village. Les Incas de leur côté étaient soit restés au village, soit sur leur radeau pour aller se battre contre eux. Sur le bateau il y avait des Espagnols... mais aussi une jeune fille. La fillette avait 6 ans et ne savait pas se qu'il se passait autour d'elle. Soudain un espagnol en haut du mât cria :
- Commandant, les Incas commencent à se rapprocher du Santiago !
Le commandant s'appelait Alvarado et à été envoyé par le Seigneur Francisco Pizarro afin de conquérir les terres des Incas. Le commandant et la jeune fille se retournèrent aussitôt en direction du radeau des Incas. Celui-ci répondit :
- Tous à vos postes, nous devons empêcher ces maudits Incas d'attaquer le Santiago !
Suite aux ordres du commandant Alvarado, les soldats s'executèrent et continuèrent de bombarder le village. Aussitôt, les Incas accostèrent sur le bateau espagnol et les attaquèrent. La jeune fille prit peur et recula sur les bords du bateau pour éviter d'être dans la bataille. Elle resta bouche-bée en contemplant cette scène atroce voyant Incas et Espagnols morts à côté d'elle. Elle voulut partir quand elle se fit attraper le bras par un Inca recouvert de sang. Celui-ci était plus jeune que les autres et cria sur la jeune fille :
- Visage pâle, aide nous à arrêter cette guerre, aide nous !
La fillette ne comprit pas se qu'il voulait lui dire et le fixa avec des yeux apeurés. Mais alors qu'il tendit son bras vers elle, il se fit trancher le ventre par une épée espagnole que celui-ci répondit :
- Que personne ne s'en prend à la fille du gouverneur Pizarro ! cria le commandant Alvarado.
La jeune fille courut vers lui en fondant en larme. Mais cet instant ne dura pas longtemps, ils se furent stopper par un cri d'alerte. Un soldat espagnol montra du doigt la mer. Tous se précipitèrent sur les bords du bateau et remarquèrent plusieurs grosses vagues s'approcher en direction du Santiago. Espagnols et Incas regardèrent les vagues ne sachant quoi faire. Puis le commandant Alvarado leur cria dessus :
Ne restez pas là à ne rien faire, les vagues se rapprochent de plus en plus, changeons de cap !
Malheureusement, les vagues étaient bien trop rapides et le temps qu'ils eurent la possibilité de tourner le bateau, le Santiago eut quelques dommages sur la coque et le bateau se fit expulsé de l'emplacement où il était et s'éloigna du village Inca. La fillette et les autres se couchèrent à plat ventre pour éviter de tomber du bateau. Quelques instants après cela, ils eurent le temps de se relever qu'une deuxième vague plus grosse que la précédente frappa à nouveau le bateau et quelques hommes furent projetés du Santiago.
Vite nous devons sortir des trajectoires des prochaines vagues, je ne voudrais pas que nous soyons les prochaines victimes de ces satanés vagues ! dit le commandant.
Une troisième vague se rapprocha du navire espagnol et la collision fut intense que les deux dernières et fit basculé par dessus bord la jeune fille espagnole qui se retrouva toute seule dans la mer. Malgré les appels à l'aide, personne n'avait remarqué qu'elle n'était plus à bord. Désespérée à l'idée de mourir, la jeune fille regarda autour d'elle si le navire était toujours là, mais en vain. La fillette commença à se noyer et perdit connaissance. Elle remonta au dessus de l'eau et se laissa porter par le courant toujours inconsciente. Les minutes passèrent et le courant lui ramena sur les terres Incas. Un pêcheur Inca la remarqua et la vit inconsciente. Il courut en direction du village pour prévenir le chef :
- Papacamayo, Papacamayo !
Tout le village arrêta leur occupation pensant que les Espagnols étaient déjà de retour. l'Inca s'arrêta de courir et s'aperçut qu'il y avait des yeux rivés sur lui. Il continua d'avancer, sans prêter attention au villageois, en direction du chef.
- Que se passe-t-il Apu, pourquoi tant d'agitation ? répondit le chef.
Apu répondit aussitôt en chuchotant à lui :
- Il faudrait que vous seul aille voir.
- Et bien allons-y dans ce cas, répondit-il.
Le chef fit un signe de la main et tout le monde reprit leur occupation. Après une longue marche, l'inca lui montra la jeune fille espagnole inconsciente sur le sable. Le chef prit soudain un air surpris et étonné.
Mais que fait cette jeune fille ici, est-ce une naufragée ? questionna t-il à Apu.
- Je n'en sais pas plus que vous, j'étais en train de pêcher et j'ai vu quelque chose s'approcher lentement dans ma direction.
Papacamayo aperçut quelque chose sur la fillette, lorsque celui-ci la porta, il reconnut immédiatement le symbole Espagnol, précisément le symbole du gouverneur Pizarro. Le chef devint de plus en plus blanc et montra la broche accrochée sur le col de la jeune fille à l'Inca.
- Cette jeune fille est une Espagnole mais pas n'importe laquelle, c'est la fille du Seigneur Pizarro. Si nous la ramenons au village, je n'ose pas imaginer ce que les villageois feront sur elle, dit-il en soupirant.
Le vieillard commença à réfléchir sur le problème puis Apu trouva une idée :
- Et si nous faisions croire que cette jeune fille était une Inca, le village ne se rendra compte de rien, répondit Apu.
Le chef acquiesça à sa proposition puis répondit :
- Elle pourrait faire une excellente fille, depuis longtemps j'en attendais une après la mort de Aiyana pour qu'elle hérite du médaillon du soleil passé de génération en génération.
Les deux Incas repartirent au village, en route ils refléchirent à un prénom.
- Je la verrai bien s'appeler Ozalee, cela signifie "soleil levant" et puis elle est apparue de nulle part, répondit Apu.
Papacamayo acquiesça de nouveau sans répondre. Lorsque qu'ils arrivèrent au village, tous les villageois virent le chef porté la jeune fille. Celui-ci enleva discrètement la broche sur le col du vêtement et montèrent tout en haut du temps du village.
C'est avec une immense joie que nous avons enfin la fille pour hérité du médaillon du soleil ! cria Apu.
Tous se mirent à crier de joie.
- Je pensais que nous n'aurions pas d'héritière, ça me soulage, répondit un villageois à un autre.
Les cris furent réveiller en sursaut la jeune fille et regarda autour d'elle en répondant :
- Q-qui êtes vous, que fais-je ici ?
Les autres essayèrent de la calmer et Apu lui répondit :
- Nous t'avons retrouvé inconsciente au bord de l'eau.
Puis la jeune fille répondit d'un coup.
- J-je ne me souviens pas de m'être évanouie dans l'eau, en fait...je ne me souviens de rien...
Apu, surprit, lui demanda.
- Tu ne te rappelles plus de qui tu étais ?
La fillette acquiesça timidement. Un silence s'installa pendant quelques instants jusqu'à ce qu'il se fit interrompre par le chef.
- Quoi que tu étais, tu seras toujours la bienvenue, Ozalee.
La jeune fille commença à sourire et lui remercia timidement.
1519. Dans le village de Puna.
La jeune fille eut 13 ans et est devenue une vraie Inca au point d'oublier presque sa langue natale. Tout allait bien jusqu'à ce que quelqu'un avertit l'arrivée d'un bateau. Tout le monde sortirent de chez eux pour aller voir de plus près.
- C'est un navire espagnol, courez tous ! cria un villageois.
Tous lui obéirent en se cachant chez eux. Papacamayo s'assit sur une chaise, se mit a stresser et à parler tout seul :
- Oh non, c'est bien se que je craignais...
La fille se retourna rapidement vers lui et répondit :
- Que se passe-t-il père ?
Il soupira et lui dit :
- Ils sont venu te chercher...
- Comment ça, je ne comprends pas !? répondit-elle.
Il lui raconta donc la légende :
- La légende raconte que seule la première fille de Pizarro aura le pouvoir d'ouvrir les portes des mystérieuses cités d'or, tu t'en doutes bien qu'ils sont venus pour récupérer leur seule chance de trouver de l'or, ces espagnols sont des égoïstes !
- M-mais alors la fille, serait ce...
- Oui mon enfant, la fille de Pizarro, celle qui peut ouvrir les cités d'or, c'est toi.
La fille resta bouche-bée, incapable d'avaler ce qu'on venait de lui dire. Papacamayo continua de lui parler.
Mais ils ignorent tous que les clés essentiels pour pouvoir les ouvrir sont les médaillons du soleil.
- Les médaillons du soleil ? demanda la jeune fille.
- Oui celui que je t'avais donné quand nous t'avons recueilli.
La jeune fille regarda attentivement le médaillon.
- Je comprends à présent...
Celle-ci soupira avant de lui tourner le dos.
Je te promet que les Espagnols ne trouveront pas les cités d'or et j'irai chercher l'autre médaillon du soleil !
Soudain, des tirs de fusils se faisaient entendre partout dans tout le village. La jeune fille aperçut quelqu'un, c'était le commandant Gonzalez.
- Papacamayo, je sais que la jeune Pizarra est ici, rapporte la nous ! cria le commandant.
- Pizarra ? C'est n'est pas original comme prénom ça, demande la jeune fille.
Le chef répondit :
L'enfant doit porter son nom en mémoire de la famille espagnol, il s'en fiche bien de ses enfants, tout se qu'il veut c'est les cités d'or.
- Quel monstre... répondit la jeune fille.
Gonzalez continua de crier sur tout le village :
- Si tu ne nous la donne pas sur le champ, je fais sauter tout le village, tu m'entends ?!
Après ces paroles, tout le village se mit à paniquer et certains, pour sauver leur peau, aidèrent les Espagnols à la retrouver. Le chef fait signe à la jeune fille de passer à travers la petite fenêtre pour pouvoir se cacher derrière le temple. La jeune fille s'exécuta sans réfléchir. Elle passa derrière les maisons sans qu'aucuns espagnols la remarqua. Elle arriva finalement derrière le temple où elle put se reposer un peu. Elle vit un soldat espagnol s'approcher du temple mais s'y arrêta. Elle eut à peine le temps de soupirer qu'une poussière arriva sur elle et la fit éternuer. Le soldat entendit le bruit et marcha derrière le temple. Le jeune fille se cacha la bouche pour éviter d'en refaire un autre et voyant l'ombre s'approcher de plus en plus, elle ferma les yeux. Soudainement le commandant appela le soldat.
- Je peux savoir se que tu fais ici ?
Le soldat lui répondit aussitôt.
- J'avais entendu un bruit derrière ce temple, j'ai pensé que la fille était-
Le commandant lui coupa la parole.
- Pauvre imbécile, que ficherait-elle derrière ce temple ? Retourne à ton poste, nous n'avons peut-être pas tout regardé.
- Bien mon commandant ! répondit-il.
Les voyant partir, la jeune fille poussa un long soupir :
- Cette fois ci, j'ai vraiment eu chaud... répondit-elle en soupirant.
Elle regarda autour d'elle s'il n'y avait plus de soldats et décida de se cacher dans une maison déjà fouillée.
Elle eut le temps de faire quelques pas avant d'entendre crier. Par surprise elle s'arrêta, regarda autour d'elle et remarqua un soldat pointé du doigt. Celui-ci cria :
- Commandant je l'ai enfin trouvé !
Prit de panique, la jeune fille se précipita dans le temple.
- Oh non, tous sauf ça ! pensait-elle en courant.
Elle monta les escaliers en vitesse sans se retourner. Arrivée tout en haut, elle referma la porte et eut le temps de soupirer un peu. Quand elle voulut bloquer la porte avec le rodin de bois, elle remarqua que celui-ci n'y était plus.
- Où est le rodin de bois ?! s'exclama t'elle en panique.
Entendant les soldats se rapprocher de plus en plus du temple, elle n'eut le temps de réfléchir et décida de bloquer la porte de tout son poids. Mais une jeune fille de 13 ans contre une dizaine de soldats n'était pas équitable puis au bout d'un moment, ils arrivèrent à l'ouvrir et la pression de la porte fit expulsé la jeune fille qui tomba violemment par terre à plat ventre. Elle se releva rapidement et commença à reculer lorsque les Espagnols avancèrent vers elle. Sa respiration devint de plus en plus rapide et les regarda s'approcher d'elle. Tandis que celle-ci ne pouvait plus reculer, les Espagnols se jetèrent sur elle et eut à peine le temps de se cacher le visage qu'un soldat attrapa son bras.
Lâchez moi, vous me faîtes mal ! cria la jeune fille.
Le commandant Gonzalez s'approcha d'elle et la jeune fille le fixa apeuré.
- Cette fois-ci tu ne peux plus t'échapper, hahaha ! répondit-il.
Les soldats rigolèrent avec lui et la pauvre fille ne comprit pas se qu'il se passait.
Le Seigneur Pizarro me revaudra ça, tu ne peux pas savoir à quel point nous t'avons cherché, reprit-il.
La jeune fille essaya de les comprendre, mais en vain.
Aller, tu vas nous suivre bien gentillement maintenant !
Il tira le bras de la jeune fille mais celle-ci ne se laissa pas faire. Par malheur, elle était plus impuissante que le commandant, il n'eut aucun mal à la tirer. Au moment où ils descendirent les escaliers, la jeune fille cria à l'aide aux villageois, mais ceux-ci comprennèrent qu'elle n'est d'autre qu'une espagnole. La jeune fille s'aperçut vite qu'elle n'aura aucune aide de leur part. Soudain, elle entendit Papacamayo hurler son prénom. Celle-ci se retourna brusquement dans sa direction, mais ce n'était pas de la joie qu'elle éprouvait, mais de la surprise. Le chef ne l'avait pas appelé Ozalee, mais Pizarra. La jeune fille se sentie trahi.
- Comment avait il pu remplacer mon véritable prénom par un vulgaire prénom espagnol, pensait-elle.
- Pizarra, surtout ne t'inquiètes pas pour moi, répondit-il calmement.
La jeune fille remarqua que les soldats l'avais ligoté.
- P-père !?
- Ne l'appelle plus comme ça, dorénavant ton père sera le Seigneur Pizarro, hahaha ! répondit-il en tirant le bras de la jeune pour la faire tomber.
Mais lorsque qu'elle fût à terre, le commandant remarqua le pendentif du soleil que celle-ci portait sur son cou et le prit.
Qu'est ce que c'est que ça ? répondit le commandant.
Un soldat rétorqua :
- Et si c'était un collier en or massif !?
Le commandant lui répondit d'un ton sec :
- Qu'est ce que tu imagines toi ? Nous avons pilier tous leur or, ils n'ont plus rien et je suis certain que ce collier ne vaut absolument rien.
Il jetta le pendentif par terre et répondit aussitôt :
Allez-y vous autres, vous nous rejoindrez après !
- A vos ordres ! crièrent les deux soldats à côté du chef.
- Quoi ! Attendez, qu'allez vous lui faire !? dit-elle en paniquant.
- Silence ! cria le commandant sur la jeune fille.
Il lui tira le bras pour qu'elle se releva et entendit son père se faire fouetter. Mais celle-ci ne se retourna pas, elle continua de marcher, la tête baissée. Lorsqu'elle releva la tête, elle vit un navire espagnol et comprit qu'elle ne reviendra plus jamais ici.
Regarde une dernière fois ton précieux village, parce que tu n'y retourneras plus jamais, hahaha, répondit-il en rigolant.
La jeune fille se mit dans une colère froide et réussit à se libérer et s'enfuit en direction d'un gros rocher où elle se cachera.
Rattrapez la moi, c'est un ordre ! cria le commandant.
Pizarra, en entendant les cris des soldats s'approcher, se mit sur ses genoux et commença à prier.
- Mon dieu, je vous en supplie, sortez moi de là, dit-elle en pleurant.
Une petite lumière se mit à briller entre ses deux mains et ouvrit ses yeux pour savoir ce qu'il était en train de se passer. Après celà, la jeune fille disparu soudainement. Lorsque les soldats arrivèrent au gros rocher, ils ne virent personne. Ils se demandèrent se qu'il a bien pu se passer à la jeune fille jusqu'à ce que le commandant arriva.
- Eh bien, où est elle ? répondit-il aux soldats.
- Hum c'est que... J'ai bien peur qu'elle se soit envolée... répondit timidement un soldat.
- Vous vous fichez de moi bande d'incapables !? répondit-il en les giflant.
Les soldats se retrouvèrent à terre puis continua de parler :
Nous devons absolument la retrouver ! Grrrrrrr, tu me le paiera maudite gamine ! Aller tout le monde, replions nous !
A suivre
