Qui sont ils ? [Courts textes]

[Atlanta]

Bonjour. J'ai commencé quelques textes de descriptions des personnages, mais pas des "banales descriptions physique", ces "descriptions" (à défaut de meilleur mot), sont plus des tentatives de saisir l'essence du personnage, sans doute avec un échec cuisant à la clef, mais bon.
En voilà déjà 2.

Il était assis sur le rebord de la base, en regardant des flots de lave bouillonner, former d'énormes bulles, puis exploser, sans doute à l'image de la haine qui envahissait, des millénaires après, encore et toujours, le coeur de Magon. La guerre, la guerre, toujours la guerre ! Il frotta sa joue gauche, touchant cette chose blanche qui recouvrait ses os. Il n'avais plus rien d'humain. Et dans cette base métallique, tout les murs lui renvoyaient son reflet à l'infini, lui mettant sous les yeux l'évidence. Il n'était plus un humain, sa place n'était plus ici, mais elle aurait dû être dans l'autre monde, auprès de Rana'ori, et de ses compagnons morts deux mille ans plus tôt. Pourquoi Magon refusait il de l'écouter ? Les atlantes n'étaient plus eux, mais ce jeune garçon, Esteban. Il entendit, au loin, la voix de Magon hurler son nom. Tyrias regarda une dernière fois la lave et se détourna, prêt à servir.

Son pays lui manquait. Que ce serais il passé si sa vie avait été normale, à puna, comme toute jeune fille inca ? Impossible à imaginer. Mais désormais, elle vivait pour la quête des cités, et pour Esteban, aussi. Sous ses yeux, le paysage défilait, et des gazelles couraient, par de grandes enjambées élégantes propres à leur race, devant le condor. Que cherchaient elles, elles ? Son regard dévia vers Esteban, qui riait d'un rire heureux, devant la fuite des animaux devant l'oiseau d'or. Son rire état un soleil à lui tout seul. ¨Puis sur tao, en train de câliner pichu, heureux, lui aussi. La jeune inca serra contre elle le bako, ce masque de bois pour qui elle voyageais. Qui sais combien de lieux il avait vu, lui aussi... Zia sourit au visage figé du masque africain, et se rappuya à la fenêtre, plongée dans ses pensées.

[isamidala]

Bonjour. J'ai commencé quelques textes de descriptions des personnages, mais pas des "banales descriptions physique", ces "descritpions" (à défaut de meilleurs mots, sont plus des tentatives de saisir l'essence du personnage, sans doute avec un échec cuisant à le clef, mais bon.
En voilà déjà 2.

Il était assis sur le rebord de la base, en regardant des flots de lave bouillonner, former d'énormes bulles, puis exploser, sans doute à l'image de la haine qui envahissait, des millénaires après, encore et toujours, le coeur de Magon. La guerre, la guerre, toujours la guerre ! Il frotta sa joue gauche, touchant cette chose blanche qui recouvrait ses os. Il n'avais plus rien d'humain. Et dans cette base métallique, tout les murs lui renvoyaient son reflet à l'infini, lui mettant sous les yeux l'évidence. Il n'était plus un humain, sa place n'était plus ici, mais elle aurait dû être dans l'autre monde, auprès de Rana'ori, et de ses compagnons morts deux mille ans plus tôt. Pourquoi Magon refusait il de l'écouter ? Les atlantes n'étaient plus eux, mais ce jeune garçon, Esteban. Il entendit, au loin, la voix de Magon hurler son nom. Tyrias regarda une dernière fois la lave et se détourna, prêt à servir.

Son pays lui manquait. Que ce serais il passé si sa vie avait été normale, à puna, comme toute jeune fille inca ? Impossible à imaginer. Mais désormais, elle vivait pour la quête des cités, et pour Esteban, aussi. Sous ses yeux, le paysage défilait, et des gazelles couraient, par de grandes enjambées élégantes propres à leur race, devant le condor. Que cherchaient elles, elles ? Son regard dévia vers Esteban, qui riait d'un rire heureux, devant la fuite des animaux devant l'oiseau d'or. Son rire état un soleil à lui tout seul. ¨Puis sur tao, en train de câliner pichu, heureux, lui aussi. La jeune inca serra contre elle le bako, ce masque de bois pour qui elle voyageais. Qui sais combien de lieux il avait vu, lui aussi... Zia sourit au visage figé du masque africain, et se rappuya à la fenêtre, plongée dans ses pensées.

Bravo c'est magnifique et vraiment très bien écrit

[Lia]

Mais tu écris très bien J'aimerais lire d'autres textes de toi.

[nonoko]

J'ai une préférence pour le 1er texte, bravo!

[Atlanta]

Bravo c'est magnifique et vraiment très bien écrit

Merci beaucoup, j'ai adoré les écrire ^^. D'autres devraient bientôt l'être, si ce n'est maintenant ^^

Mais tu écris très bien J'aimerais lire d'autres textes de toi.

Merci Lia ! C'est une de mes 2 passions (j'imagine que tu connais la première ) Je t'en mets un autre dans le petit oeil

C'est le chapitre un d'un roman que j'écris pour le fun, donc pas extrêmement travaillé, "I hope you like !"
Chapitre 1

Le jeune chevalier pénétra dans la salle du conseil, un peu anxieux. Il se demandait comment le conseil allait réagir. Il fit un pas en avant et aperçut les occupants des lieux. Une dame très belle portant une coiffe jaune et une robe bleu azur le regardait, l’air doux. Elle avait des yeux d’un bleu incroyable et une beauté remarquable.
- Dame Marianne ! songea le chevalier. Au moins, je n’ai rien à craindre d’elle.
Dame Marianne était la suzeraine du fief de Leodan, un des plus riche du royaume. Près de dame Marianne, adossé à une colonne se trouvait un jeune chevalier au armes frappées d’un griffon noir sur fond bleu et dont le visage était plongé dans l’ombre. Le visiteur frissonna. S’il devait il y avoir une personne dont il devait se méfier, c’était bien lui, pensa-t-il. Il y avait également un homme habillé en noir et dont l’emblème était un lion jaune. Il paraissait assez âgé et son visage était grignoté par une barbe de trois jours. Une lueur de sympathie brillait au fond de ses yeux gris. Plusieurs autres personnages occupaient la salle mais aucun ne retint réellement son attention mis à part une autre jeune femme, visiblement dame Marguerite, la sœur de dame Marianne réputée pour sa connaissance des simples. Elle aussi était très belle. Mais il n’était pas là pour ça. Il s’avança encore un peu plus. La maitresse des lieux lui dit simplement :
- Bienvenue messire Beowulf. Nous vous attendions.
Beowulf inclina légèrement la tête. Pourquoi aurait-il mis un genou à terre devant cette femme ?
- Dame Marianne
Il crut que celle-ci ne relèverai pas son défi. Bah ! une lâche, comme les autres. Mais elle l’interrompit.
- Je suis, à ce qu’il me semble, une suzeraine, et sans doute bientôt la vôtre. Je vous prierais donc de vous agenouiller.
Beowulf se mordit la langue mais ne s’agenouilla pas pour autant. Mais une voix s’éleva.
- Elle t’a dit de la respecter
tu dois donc t’incliner
à moins que tu ne veuille encourir mon courroux
et il ne sera pas des plus doux.
Le visiteur se retourna. C’était le chevalier au griffon qui avait parlé. Il se redressa et son visage sorti de l’ombre où il était plongé. C’était un garçon aux cheveux bruns et aux yeux noirs dans lesquels brillait une lueur dangereuse. Une mince cicatrice verticale courait sur un côté de sa tempe jusqu’à son oreille gauche. Dame Marianne se redressa.
- Merci Duncan. Mais vous m’avez promis de ne pas faire d’esclandres ! Je pense qu’il est temps de faire les présentations. Je vous présente messire Beowulf, un ancien chevalier du fief de Merwin, qu’il a quitté désirant se joindre à nous.
Le chevalier lui jeta un regard arrogant et replongea dans l’ombre de la colonne. Mais Beowulf se dirigea vers lui.
- Puis-je savoir pour quelle raison semblez-vous me mépriser ?
Duncan se redressa et se planta en face de Beowulf.
- Vous quittez votre suzerain alors que vous lui devez fidélité éternelle et vous rejoignez le camp du plus fort. Je n’ai que mépris pour ce genre d’hypocrites, sachez-le. Mais je pense qu’il est inutile que je reste plus longtemps dans ce ballet de mensonges.
Dame Marianne éleva la voix.
- Duncan… Vous êtes sensé rester dans la salle.
Le chevalier soupira.
- C’est bien pour vous…
Il se réadossa au pilier, l’air ennuyé, mais Beowulf aurait juré qu’une légère lueur d’amusement, ou d’affection, il n’aurait su le dire, avait brièvement brillé dans les yeux du chevalier avant que son visage ne disparaisse. Super…
Il se détourna de la colonne et, indifférent à Dame Marianne qui parlait, il détailla du regard chacun des assistants.
Il y avait un petit homme rondelet à moustaches rousses, visiblement pas un guerrier, qui triturait machinalement un petit bocal qui contenait un liquide verdâtre. A côté de Dame Marianne, deux hommes en armure conversaient en lui jetant de temps à autre des regards qui n’avaient rien de bienveillant. L’un abordait un blason mi bleu vert mi blanc où évoluaient en un cercle concentrique deux poissons et l’autre des armes à fond vert avec un serpent vert clair qui se tordait. En les observant bien, Beowulf s’aperçut que l’armure du chevalier aux poissons était d’une facture de très haut niveau, et que l’épaulière était ornée d’un motif d’œil rayé. C’était sans nul doute le chevalier Andreas d’Actos, fort connu et très craint, surnommé l’insaisissable. Il avait longtemps erré entre plusieurs fiefs avant de se rattacher définitivement à Dame Marianne. Par déduction, l’autre était sans doute Garis de Wings, l’un des deux commandants des armées du fief de Léodan. Deux jeunes femmes, assises l’une à côté de l’autre, abordaient des armoiries très proches, quasiment identiques, bleues et divisées en deux parties dont seule la partie gauche différaient d’un blason à l’autre ; la partie droite représentant quatre losanges accolés. La part de gauche du blason de la dame de gauche représentait un poisson, l’autre, un serpent sur un bleu un peu plus foncé. Mais elles n’étaient pas seules à arborer ces armes, un chevalier assis sur un siège, l’air un peu ennuyé et la tête dans les nuages, les portaient aussi, mais avec une lune sur fond vert dans la partie gauche. Ça le représentait bien, tout le contraire de la jolie jeune fille de gauche, avec son air concentré, modeste et poli. Sans doute Laurianne d’Hallain, la responsable de la diplomatie. Elle ressemblait beaucoup à la jeune fille assise à droite, mais celle là avait des yeux verts, et des cheveux plus foncés. Sans doute des cousins.
Faudrait qu’il se débrouille pour avoir une entrevue avec elle… Sas yeux glissèrent distraitement vers un autre chevalier, mais la voix sévère de Dame Marianne le ramena à la réalité.
- Messire Beowulf ! Vous pourriez faire l’effort de faire semblant d’écouter ce que je dis, au lieu de dévisager Laurie !
Vexé d’avoir été pris le fait, le concerné répliqua vivement :
- Mais pas du tout ! J’écoute, mais sauf votre respect, j’ai le droit de regarder quelqu’un de plus intéressant que vous !
Laurianne s’empourpra sous le léger ricanement d’Andreas.
- Désolé Beowulf, au cas où vous l’ignorez, c’est ma femme !
Et pour en rajouter à la déception du malheureux, la suzeraine répondit.
- Non, vous n’écoutiez pas. La preuve, je parlais de citrouilles volantes, histoire de voir votre réaction. Ou votre absence de réaction, plutôt.
Piqué au vif, Beowulf se tu et écouta le reste de l’allocution de sa nouvelle suzeraine.

J'ai une préférence pour le 1er texte, bravo!

Moi de même, il me semble être le plus réussi

[Atlanta]

L'épéiste s'était adossée au pont de la nef, et tout en nettoyant son épée, regardait Gaspard faire de grand gestes inutiles pour sois disant, s'échauffer . Pff. et voilà que de plus, il voulait lui adresser la parole !
- ah signorita ! Quelle belle journée !
L'espagnole ferma les yeux et ignora délibérément le marin. Sous ses paupières se formait l'image d'un espagnol à la cape bleue, qui lui tendait la main. Mais aussitôt repoussée par l'image de son roi, Charles quint. Les artefacts. La mission. Pas le temps de construire une belle amourette avec un capitaine de navire. Sans compter qu'elle était sensée être agent double auprès de cet insupportable nain rouquin !Et l'énervement du lieutenant d'ambrosius ne fit que croitre lorsque retenti la voix de ce balourd qu'on lui avait collé dans les jambes.
- Ah ce mendoza ! Si je le tenait au bout de ma lame...
Les mots jaillirent, images sonores de la colère de la belle espagnole
- vous vous feriez lamentablement battre, comme d'habitude.

[Atlanta]

ouais bon, c'est pas un texte, mais c'est en rapport avec, donc cliquez sur l'oeil si ça vous intéresse ^^

Je publie sur wattpad, et ça donne ça en matière de classement

Classement.png

[Atlanta]

L'enfant tourna ses yeux vers ses amis. Pourquoi croyaient ils qu'il pouvait faire apparaitre le soleil ? C'est une légende, un enfantillage ! Mais leurs regards le fit hésiter. Et si... il essayait ? Mais si il échouait, quelle déception allait être la leur ! Il s'avança timidement, et jeta un regard à Mendoza. Celui ci fit un léger signe du menton. L'élu leva les mains et invoqua l'astre solaire, qui, répondant à l'appel du garçon, dissipa les nuées. Zia lui pris la main, et lui adressa un sourire qui le réchauffa encore plus que les rayons du soleil qui venait de se lever.

- Tu vois, tu es bien le fils du soleil, Esteban.

[Atlanta]

Mais tu écris très bien J'aimerais lire d'autres textes de toi.

Je viens de sortir le dernier texte "descriptif", un peu moins réussi, il est vrai... à retravailler

[isamidala]

L'enfant tourna ses yeux vers ses amis. Pourquoi croyaient ils qu'il pouvait faire apparaitre le soleil ? C'est une légende, un enfantillage ! Mais leurs regards le fit hésiter. Et si... il essayait ? Mais si il échouait, quelle déception allait être la leur ! Il s'avança timidement, et jeta un regard à Mendoza. Celui ci fit un léger signe du menton. L'élu leva les mains et invoqua l'astre solaire, qui, répondant à l'appel du garçon, dissipa les nuées. Zia lui pris la main, et lui adressa un sourire qui le réchauffa encore plus que les rayons du soleil qui venait de se lever.

- Tu vois, tu es bien le fils du soleil, Esteban.

Bravo j'adore !