Bonsoir! Me revoilà avec un nouveau chapitre de ma fanfic!
Je me suis redu compte la dernière fois que j'avais oublié d'introduire quelque info que je n'arrive pas à intégrer dans la suite:
-les deux premiers personnages ont 18 ans
-c'est une académie de sciences
voilà!

Je vous laisse donc avec mon chapitre et une petite illustration d'un des personnages (les autres arriverons par la suite)
encore une fois je ne garantis rien sur l'orthographe désolée s'il y a des fautes
Chapitre 2
– Pffff ! Pouffa la jeune fille au médaillon d’or après être sortie de la réunion. C’est quoi cette sonnerie ?! On dirait plutôt une alarme incendie ou un truc dans le genre !
– Sérieux, moi j’ai eu la trouille de ma vie ! Enchaîna son camarade.
– Oh regarde, il y en a une là-bas ! Fit-elle en pointant une autre statuette de perroquet, accrochée entre deux fenêtres du couloir qu’ils traversaient.
Tout en parlant la jeune fille rata une marche.
– Aaah ! cria-t-elle en se sentant tomber
Derrière elle quelqu'un lui attrapa les deux bras pour l'empêcher de tomber.
– Tout va bien ?
– Oui merci, fit-elle en se retournant, vous m'avez rattrapée à temps !
Une superbe jeune femme se tenait derrière elle. Elle avait de long cheveux chocolat tressés et de grandes mèches folles devant de visage. Ses yeux de la même couleur, pétillants, étaient soulignés par un long trait d'eye-liner bordeaux et sa bouche pulpeuse était naturellement d'une jolie couleur pêche. Elle portait des collants noirs opaques sous sa jupe malgré la chaleur de se début de juillet.
– Je m'appelle Sonia, enchantée, se présenta-t-elle. Je suis en troisième année.
– Oh! Euh... je m'appelle Lisette, je suis en première année, bafouilla la jeune fille soudainement impressionnée par l'aura que dégageait son interlocutrice.
– Enchantée Lisette! Et puis-je savoir le nom de ton compagnon ?
– Je m'appelle Estin, je suis son ami d'enfance en première année aussi, répondit l'intéressé.
– Ravie de te connaître Estin ! En quelle section êtes-vous ? Leur demanda la jeune femme.
– En astronomie pour moi et Lisette est en physique-chimie , répondit le jeune garçon pour lui et son amie. Et toi ?
– Comme toi Lisette je suis dans la section physique-chimie, nous serons donc probablement amené à nous revoir bientôt !
– ALERTE ! ALERTE !
Les deux jeunes gens sursautèrent. Sonia se mit à rire :
– C’est très surprenant au départ, vous risquez de frôler la crise cardiaque au moins pour la première semaine ! Bon il faut que je vous laisse sinon je vais être en retard ! Salut !
Elle repartie d’un bon pas et se fit rejoindre par un jeune homme, aux cheveux souples et presque noirs dont le visage était habillé par une petite barbe de trois jours, qui portait un casque de moto sous le bras. Il devait avoir dit quelque chose à la jeune femme qui l’avait contrariée car il se pris un coup de coude dans les côtes accompagné d’un regard qui lançait des éclaires et d’une moue boudeuse.
– Elle est trop classe, s’extasia Lisette avec des étoiles dans les yeux.
– Mouais… marmonna Estin. En attendant, il est où l’amphithéâtre Léonard de Vinci ? On doit y être dans une heure et on a pas mangé…
– Je pourrai vous y conduire après le déjeuné si vous voulez ! Les interpella une voix.
Les deux amis se retournèrent, derrière eux se trouvait le jeune garçon qui c’était fait remarquer durant la réunion.
– Am… An… Anzu… heu… commença Estin.
– Anju Khan c’est ça ? s’enquit la jeune fille avec un grand sourire. C’est vrai, tu sais où c’est ?
– Oui c’est moi ! Je viens ici depuis que je suis tout petit, mes parents s’occupent de toute la machinerie qu’il y a ici alors je connais l’endroit comme ma poche ! Se venta le jeune indien. Mais au fait vous vous appelez comment ? Vous venez d’où ?
– Je suis Lisette François, je viens de Savoie en France.
– Et moi c’est Estin Müller, j’arrive de Suisse.
– Et bien ! Vous arrivez de loin ! Vous vous connaissez depuis longtemps ?
– Depuis qu’on est né ! Ça fait plusieurs générations que nos familles sont amies, raconta le jeune homme.
– Je voulais savoir… commença Anju.
– Eh les gamins ! Bougez-vous, vous bloquez l’passage ! Cria une grosse voix.
L’imposant surveillant arrivait derrière les trois jeunes gens.
– Oh salut Dev ! Le salua le jeune indien. Ça va ?
– J’t’ai d’jà dit de m’appeller M’sieur Gaspard el’mini inventeur ! Allez filez manger toi, le p’tit rigolo et sa copine sinon z’allez être en retard pour el’premier cours ed’l’année ! La causette vous pourrez la faire au réfectoire !
– Oui Capitaine, on y va, se moqua Anju en se mettant au garde à vous.
– Te fiche pas de moi ! Cria le grand gaillard alors que les trois nouveaux camarades s’éloignaient rapidement.
– Il aboie beaucoup mais il ne mort pas, leur annonça le jeune garçon. Je le connais bien, sa famille veille sur ce lieu depuis le milieu seizième siècle de la même manière que celle du directeur dirige cette école et que la mienne remet en état toutes les inventions laissées par les inventeurs et les alchimistes qui ont fondé l’académie.
– Ouah ! s’extasia Estin. C’est génial !
– Mais du coup Anju, tu connais bien le directeur de l’académie ? s’enquit la jeune fille.
– Ouais il prend régulièrement l’apéro avec ma mère, ils se connaissent depuis toujours, raconta le jeune homme. D’ailleurs je considère ses enfants comme mes frères et sœurs, on fait souvent les quatre cent coups ensemble.
– Tu es en quelle section ? Demanda le jeune homme au médaillon.
– Mécanique mais j’avoue que je touche un peu à tout, les sciences c’est passionnant ! Fit l’intéresse des étoiles dans les yeux. Et vous ?
– Astronomie pour lui et physique-chimie pour moi, répondit Lisette. Mais au fait, tu ne voulais pas nous demander quelque chose avant que le surveillant n’arrive ?
– Hein… heu… ah oui ! Vos médaillons ! Vous les avez eu où ? Leur dessin est présent dans pleins de recherches d’un de mes ancêtres mais je n’ai jamais su à quoi ça correspondait.
– Ça, demanda Estin en pointant l’objet. Il est donné depuis des générations dans nos familles, chez moi c’est au premier garçon né et chez Lisette c’est à la première fille.
– Dites, commença Anju, vous pourrez m’attendre devant l’entrée du bâtiment principal ce soir, j’aimerai vous montrer quelque chose...
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