fanfic mco4 :D
- zaza59
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Re: fanfic mco4 :D
Chapitre 3 : La stèle du diamant blanc
La nuit venait de tomber, nos héros étaient rentrés au condor. Sancho et Pedro s’affairaient à faire la cuisine, Tao apprenait à Zia et Esteban comment lire le langage Mu tandis que Mendoza apprenait à Laguerra comment se repérer grâce aux astres.
M- C’est quand même incroyable qu’une fille aussi cultivé et intelligente que toi n’ai jamais appris ça.
L- Oh tu sais moi et l’école… j’allais en cours mais celui d’astrologie était en dernier alors je pensais plus à ce que j’allais faire après. Si j’allais sortir, rester tranquille dans mon appartement ou si j’allais passer la soirée chez une amie.
M- J’aurais adoré vous voir quand vous étiez en cours.
S/P- C’est prêt !!!
T- On arrive !!
Après le repas, tous partirent se coucher pour être en forme le lendemain, tous ? Non, Laguerra et Mendoza étaient restés dans le cockpit, un verre de vin à la main.
L- Mendoza, si je disparaissais du jour au lendemain, tu ferais quoi ?
M- Je partirais à ta recherche, je te chercherai jour et nuit jusqu’à te retrouver. Pourquoi cette question ?
L- Parce que…arrivé à la stèle de la lune, je vais disparaitre quelques heures après.
M- Pourquoi tu devrais disparaitre ?
L- Je ne sais pas, je sais que ça à un rapport avec les cités d’or.
M- Et… ça durerait combien de temps ?
L- Jusqu’à ce que vous trouviez la prochaine cité je pense.
M- Pourvu que ça ne soit pas long alors.
L- J’espère aussi, si on allait dans la chambre maintenant, il se fait tard et l’excursion de demain ne sera pas une promenade de santé.
M- Bonne idée.
Le lendemain, tout le monde étaient sur le pied de guerre, motivés et gonflés à bloc. Ils pénétrèrent dans le tunnel puis, arrivés au niveau du passage que Mendoza et Laguerra avaient emprunté la veille, tout le monde se tue. Mendoza déboucha le trou qu’ils avaient creusé.
M- Pas d’olmèque en vue.
L- Dépêchons nous, nous sommes suivis.
Et Laguerra n’avait pas tort, Zarès et sa troupe les suivaient depuis qu’ils avaient pénétré dans la grotte. Arrivé devant la stèle, tous l’examinèrent attentivement.
Z- Là, il y a une fente !
T- Super, dépêchons nous, on entend déjà les cris des olmèques.
Tao glissa le double médaillon dans la fente et la stèle se mit à descendre lentement.
M- Vite, tout le monde dessus !
Une fois qu’ils furent tous dessus, la stèle descendit plus vite et le passage au-dessus de leur tête se fermait. Zarès, Gaspard et Gomez entrèrent dans la salle mais celle-ci était vide, les olmèques arrivaient en trombe et se préparaient déjà à la lutte. Le combat semblait gagné d’avance pour le olmèques, mais c’était sans compter sur l’exosquelette de Zarès, ils l’attaquaient par deux voire trois soldats en même temps mais Zarès les renvoyait à chaque fois. Gaspard et Gomez se débrouillaient comme ils pouvaient mais les olmèques étaient trop nombreux.
Go- On ne tiendra jamais le coup !
Za- Imaginez Mendoza à la place des olmèques !
Ces mots les avaient remotivés comme jamais, la vingtaine d’olmèques de départ diminuait mais des renforts arrivaient. Du sous-sol, nos héros entendaient le bruit des épées contre les lances.
E- Eh bien, ça n’a pas l’air de rigoler en haut.
P- Si on attendait que ça se calme pour remonter ?
Sancho et Pedro étaient pétrifiés à l’idée de remonter.
T- Avant de penser à ça, il faudrait d’abord qu’on trouve ce parchemin qui nous indiquera le chemin à suivre.
En haut, les olmèques venaient de battre en retraite, Zarès les avait terrorisés. Gaspard et Gomez étaient à bout de souffle mais le champ de bataille était monstrueux, un grand nombre d’olmèques gisaient au sol dans un terrible bain de sang.
Go- Que faisons-nous maintenant ?
Za- Nous allons tendre un piège à ces gamins et nous devrons récupérer Laguerra. Je ne veux aucun mort, Gaspard, vous ferrez en sorte que Mendoza sache où nous allons mais pas précisément. Vous lui direz le nord du Canada, je vous donne une carte au cas où nous serions séparés.
G- Pourquoi Laguerra ? Et pourquoi le Canada ?
Za- Sous la torture, je suis sûr de pouvoir récupérer des informations sur le lieu où ils vont et puis, j’ai une base secrète au Canada, on enfermera notre prisonnière dans une tour et on attendra que Mendoza vienne la chercher pour les tuer tous les deux. Partons maintenant.
En bas, nos protagonistes avançaient dans un long et étroit couloir, l’air était humide et de petites gouttelettes d’eau fraiche tombaient sur le sol boueux
T- On est éclairait par de la mousse phosphorescente…
E-…comme en Amérique.
Ils arrivèrent dans une salle en dalle noire avec une petite salle pour seul ameublement.
Z- Regardez, il y a un parchemin sur la table.
T- C’est une carte !
E-Oui mais elle est bizarre.
M- Ca représente le Groenland, voici donc notre prochaine destination.
L- Tu y es déjà allé ?
M- Non.
P- Qu’est-ce qu’on attend pour partir allons-y !
S-Les ci…ci…cités d’o…d’or ne…ne…ne sont pas…pas loin…loin.
Ils firent demi-tour le sourire aux lèvres et du baume au cœur, pensant que Zarès était hors d’état de nuire. En remontant, ils découvrir avec effroi la scène qui s’était passé quelques minutes plus tôt.
P- C’est…c’est juste un avis mais…si on partait.
T- Je suis d’accord avec toi.
Ils se dépêchèrent de sortir sans savoir qu’un guétapant les attendait. Après avoir fait quelques mètres hors de la grotte, Zarès, Gaspard et Gomez se positionnaient face à eux.
M- Courez vous mettre à l’abri dans le condor, on vous rejoindra !
Les enfants, Sancho et Pedro partirent en courant en direction de la plage où se trouvait le condor mais Gaspard d’interposa.
G- Hep là !! Pas si vite !
Esteban courut vers Gaspard, lui fit perdre l’équilibre et le fit tomber, les autres en avaient profités pour s’échapper et Le jeune Atlante ne mis pas longtemps à les rejoindre. Pendant ce temps, Laguerra et Mendoza se battaient corps et âmes contre Zarès et Gomez. Gomez ne faisait pas le poids face à Mendoza mais celui-ci revenait toujours à la charge, Zarès venait de se débarrasser de toute les armes de la femme, le prit par les hanches et sauta jusqu’à la nef en criant :
Za- Gomez ! A la nef !
Il s’exécuta tandis que Mendoza voyait « sa » emporté par Zarès, se débattant inutilement car elle savait que ses chances d’évasion face à Zarès étaient de 0%.
M- Isa !!! Non !!!!!!
Seul Gaspard n’était pas à bord de l’engin, Mendoza le saisit par le col et le souleva à dix centimètre au-dessus du sol.
M- Où l’emmènent-t-ils ?
G- Je sais pas.
M- Répond moi ou je te transforme en petits dés que je jette aux requins !!!
G- D’accord, ils l’emmènent à Inuvik, c’est…c’est au Nord du Canada, voici la carte.
Mendoza s’empara de la carte et laissa Gaspard s’effondrer au sol, pétrifié de peur. La nef faisait déjà demi-tour pour le récupérer mais Mendoza ne pouvait pas le voir, il courait vers le condor, anéantit par la colère et la rage. Une fois dans le condor, tous les regards se posèrent sur lui.
E/Z/T- Et Laguerra ?
M- Je…je n’ai pas réussi à la sauver, Zarès l’a enlevée. Je… je n’ai rien pu faire.
Sa voix était triste et mélancolique, ses yeux noirs semblaient vides, c’étaient comme si son âme était partit avec Laguerra.
E- Où l’ont-ils emmenée ?
M- Au Nord du Canada, à Inuvik, voici la carte.
E- Alors en route, ne perdons pas de temps !
M- Une fois là-bas vous me déposerez puis repartirez, je ne veux pas que vous couriez le moindre risque. Sancho et Pedro veilleront sur vous.
Z- Mais comment allez-vous nous rejoindre ?
M- En bateau. Regarde, j’ai dessiné le chemin à suivre. T- Avec le condor, on sera là-bas d’ici deux ou trois jours.
Sans que personne ne puisse s’en rendre compte, une larme coula sur la joue de Mendoza, il serait dans sa main un médaillon représentant la lune.
P- C’est quoi ce que tu as dans la main ?
M- Le médaillon de Laguerra…
La nuit venait de tomber, nos héros étaient rentrés au condor. Sancho et Pedro s’affairaient à faire la cuisine, Tao apprenait à Zia et Esteban comment lire le langage Mu tandis que Mendoza apprenait à Laguerra comment se repérer grâce aux astres.
M- C’est quand même incroyable qu’une fille aussi cultivé et intelligente que toi n’ai jamais appris ça.
L- Oh tu sais moi et l’école… j’allais en cours mais celui d’astrologie était en dernier alors je pensais plus à ce que j’allais faire après. Si j’allais sortir, rester tranquille dans mon appartement ou si j’allais passer la soirée chez une amie.
M- J’aurais adoré vous voir quand vous étiez en cours.
S/P- C’est prêt !!!
T- On arrive !!
Après le repas, tous partirent se coucher pour être en forme le lendemain, tous ? Non, Laguerra et Mendoza étaient restés dans le cockpit, un verre de vin à la main.
L- Mendoza, si je disparaissais du jour au lendemain, tu ferais quoi ?
M- Je partirais à ta recherche, je te chercherai jour et nuit jusqu’à te retrouver. Pourquoi cette question ?
L- Parce que…arrivé à la stèle de la lune, je vais disparaitre quelques heures après.
M- Pourquoi tu devrais disparaitre ?
L- Je ne sais pas, je sais que ça à un rapport avec les cités d’or.
M- Et… ça durerait combien de temps ?
L- Jusqu’à ce que vous trouviez la prochaine cité je pense.
M- Pourvu que ça ne soit pas long alors.
L- J’espère aussi, si on allait dans la chambre maintenant, il se fait tard et l’excursion de demain ne sera pas une promenade de santé.
M- Bonne idée.
Le lendemain, tout le monde étaient sur le pied de guerre, motivés et gonflés à bloc. Ils pénétrèrent dans le tunnel puis, arrivés au niveau du passage que Mendoza et Laguerra avaient emprunté la veille, tout le monde se tue. Mendoza déboucha le trou qu’ils avaient creusé.
M- Pas d’olmèque en vue.
L- Dépêchons nous, nous sommes suivis.
Et Laguerra n’avait pas tort, Zarès et sa troupe les suivaient depuis qu’ils avaient pénétré dans la grotte. Arrivé devant la stèle, tous l’examinèrent attentivement.
Z- Là, il y a une fente !
T- Super, dépêchons nous, on entend déjà les cris des olmèques.
Tao glissa le double médaillon dans la fente et la stèle se mit à descendre lentement.
M- Vite, tout le monde dessus !
Une fois qu’ils furent tous dessus, la stèle descendit plus vite et le passage au-dessus de leur tête se fermait. Zarès, Gaspard et Gomez entrèrent dans la salle mais celle-ci était vide, les olmèques arrivaient en trombe et se préparaient déjà à la lutte. Le combat semblait gagné d’avance pour le olmèques, mais c’était sans compter sur l’exosquelette de Zarès, ils l’attaquaient par deux voire trois soldats en même temps mais Zarès les renvoyait à chaque fois. Gaspard et Gomez se débrouillaient comme ils pouvaient mais les olmèques étaient trop nombreux.
Go- On ne tiendra jamais le coup !
Za- Imaginez Mendoza à la place des olmèques !
Ces mots les avaient remotivés comme jamais, la vingtaine d’olmèques de départ diminuait mais des renforts arrivaient. Du sous-sol, nos héros entendaient le bruit des épées contre les lances.
E- Eh bien, ça n’a pas l’air de rigoler en haut.
P- Si on attendait que ça se calme pour remonter ?
Sancho et Pedro étaient pétrifiés à l’idée de remonter.
T- Avant de penser à ça, il faudrait d’abord qu’on trouve ce parchemin qui nous indiquera le chemin à suivre.
En haut, les olmèques venaient de battre en retraite, Zarès les avait terrorisés. Gaspard et Gomez étaient à bout de souffle mais le champ de bataille était monstrueux, un grand nombre d’olmèques gisaient au sol dans un terrible bain de sang.
Go- Que faisons-nous maintenant ?
Za- Nous allons tendre un piège à ces gamins et nous devrons récupérer Laguerra. Je ne veux aucun mort, Gaspard, vous ferrez en sorte que Mendoza sache où nous allons mais pas précisément. Vous lui direz le nord du Canada, je vous donne une carte au cas où nous serions séparés.
G- Pourquoi Laguerra ? Et pourquoi le Canada ?
Za- Sous la torture, je suis sûr de pouvoir récupérer des informations sur le lieu où ils vont et puis, j’ai une base secrète au Canada, on enfermera notre prisonnière dans une tour et on attendra que Mendoza vienne la chercher pour les tuer tous les deux. Partons maintenant.
En bas, nos protagonistes avançaient dans un long et étroit couloir, l’air était humide et de petites gouttelettes d’eau fraiche tombaient sur le sol boueux
T- On est éclairait par de la mousse phosphorescente…
E-…comme en Amérique.
Ils arrivèrent dans une salle en dalle noire avec une petite salle pour seul ameublement.
Z- Regardez, il y a un parchemin sur la table.
T- C’est une carte !
E-Oui mais elle est bizarre.
M- Ca représente le Groenland, voici donc notre prochaine destination.
L- Tu y es déjà allé ?
M- Non.
P- Qu’est-ce qu’on attend pour partir allons-y !
S-Les ci…ci…cités d’o…d’or ne…ne…ne sont pas…pas loin…loin.
Ils firent demi-tour le sourire aux lèvres et du baume au cœur, pensant que Zarès était hors d’état de nuire. En remontant, ils découvrir avec effroi la scène qui s’était passé quelques minutes plus tôt.
P- C’est…c’est juste un avis mais…si on partait.
T- Je suis d’accord avec toi.
Ils se dépêchèrent de sortir sans savoir qu’un guétapant les attendait. Après avoir fait quelques mètres hors de la grotte, Zarès, Gaspard et Gomez se positionnaient face à eux.
M- Courez vous mettre à l’abri dans le condor, on vous rejoindra !
Les enfants, Sancho et Pedro partirent en courant en direction de la plage où se trouvait le condor mais Gaspard d’interposa.
G- Hep là !! Pas si vite !
Esteban courut vers Gaspard, lui fit perdre l’équilibre et le fit tomber, les autres en avaient profités pour s’échapper et Le jeune Atlante ne mis pas longtemps à les rejoindre. Pendant ce temps, Laguerra et Mendoza se battaient corps et âmes contre Zarès et Gomez. Gomez ne faisait pas le poids face à Mendoza mais celui-ci revenait toujours à la charge, Zarès venait de se débarrasser de toute les armes de la femme, le prit par les hanches et sauta jusqu’à la nef en criant :
Za- Gomez ! A la nef !
Il s’exécuta tandis que Mendoza voyait « sa » emporté par Zarès, se débattant inutilement car elle savait que ses chances d’évasion face à Zarès étaient de 0%.
M- Isa !!! Non !!!!!!
Seul Gaspard n’était pas à bord de l’engin, Mendoza le saisit par le col et le souleva à dix centimètre au-dessus du sol.
M- Où l’emmènent-t-ils ?
G- Je sais pas.
M- Répond moi ou je te transforme en petits dés que je jette aux requins !!!
G- D’accord, ils l’emmènent à Inuvik, c’est…c’est au Nord du Canada, voici la carte.
Mendoza s’empara de la carte et laissa Gaspard s’effondrer au sol, pétrifié de peur. La nef faisait déjà demi-tour pour le récupérer mais Mendoza ne pouvait pas le voir, il courait vers le condor, anéantit par la colère et la rage. Une fois dans le condor, tous les regards se posèrent sur lui.
E/Z/T- Et Laguerra ?
M- Je…je n’ai pas réussi à la sauver, Zarès l’a enlevée. Je… je n’ai rien pu faire.
Sa voix était triste et mélancolique, ses yeux noirs semblaient vides, c’étaient comme si son âme était partit avec Laguerra.
E- Où l’ont-ils emmenée ?
M- Au Nord du Canada, à Inuvik, voici la carte.
E- Alors en route, ne perdons pas de temps !
M- Une fois là-bas vous me déposerez puis repartirez, je ne veux pas que vous couriez le moindre risque. Sancho et Pedro veilleront sur vous.
Z- Mais comment allez-vous nous rejoindre ?
M- En bateau. Regarde, j’ai dessiné le chemin à suivre. T- Avec le condor, on sera là-bas d’ici deux ou trois jours.
Sans que personne ne puisse s’en rendre compte, une larme coula sur la joue de Mendoza, il serait dans sa main un médaillon représentant la lune.
P- C’est quoi ce que tu as dans la main ?
M- Le médaillon de Laguerra…
La vie est courte alors profites en !!!:D
Tout seul tu vas plus vite, avec lui tu vas plus loin
YouTube : Elisa Vanryssel
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- zaza59
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Re: fanfic mco4 :D
Avis aux dessinateurs et aux photo-monteurs:
Si quelqu'un veut participer à le fanfic en faisant des dessins ou des photo-montages, allez-y!!! Envoyez-les moi en MP!
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La vie est courte alors profites en !!!:D
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Re: fanfic mco4 :D
Pauvre Isabella, son retour du côté de nos héros n'aura pas duré longtemps... Je me demande ce qu'ils vont découvrir au Canada ^^
Au niveau de la forme, j'ai relevé beaucoup moins de fautes d'orthographe. Certaines sont passées au travers des mailles du filet, mais ça reste correct. A part ça, je trouve que Mendoza et Laguerra se sont vite attachés. Je voyais Mendoza un peu moins "fleur bleue", mais ma foi, pourquoi pas ^^
Laguerra n'est pas un personnage que j'apprécie particulièrement, mais j'aime assez ce que tu en as fait. Attention cela dit aux anachronismes : dans le dialogue du début, on a l'impression d'entendre parler une jeune femme tout droit sortie du XXIème siècle... Les études et la vie à l'époque n'étaient pas ce qu'elles sont aujourd'hui (en particulier pour les femmes !). Petite précision aussi : la science de l'observation des astres c'est l'astronomie, pas l'astrologie
Sinon, ça se voit que tu as fait un effort sur les scènes d'action, je les ai trouvées plus dynamiques. La carte est aussi une bonne idée, ça permet de mieux visualiser leur périple
Au niveau de la forme, j'ai relevé beaucoup moins de fautes d'orthographe. Certaines sont passées au travers des mailles du filet, mais ça reste correct. A part ça, je trouve que Mendoza et Laguerra se sont vite attachés. Je voyais Mendoza un peu moins "fleur bleue", mais ma foi, pourquoi pas ^^
Laguerra n'est pas un personnage que j'apprécie particulièrement, mais j'aime assez ce que tu en as fait. Attention cela dit aux anachronismes : dans le dialogue du début, on a l'impression d'entendre parler une jeune femme tout droit sortie du XXIème siècle... Les études et la vie à l'époque n'étaient pas ce qu'elles sont aujourd'hui (en particulier pour les femmes !). Petite précision aussi : la science de l'observation des astres c'est l'astronomie, pas l'astrologie
Sinon, ça se voit que tu as fait un effort sur les scènes d'action, je les ai trouvées plus dynamiques. La carte est aussi une bonne idée, ça permet de mieux visualiser leur périple
"Pardonne-moi Esteban, mais la mort ne m'émeut plus."
- zaza59
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Re: fanfic mco4 :D
Merci Smilemma!! Dsl pour les fautes restente et pour la astrologie à la place de astronomie . Promis je ferais attention pour rester au 16 ème siècleet ne pas transformer ça en roman à l'eau de rose .
La vie est courte alors profites en !!!:D
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Re: fanfic mco4 :D
C'est trop bien cest quand la suite
- zaza59
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Re: fanfic mco4 :D
Chapitre 4
Laguerra était ligotée à l’escalier, elle essayait de se libérer mais ses efforts étaient vain, la corde était beaucoup trop épaisse et trop serrée.
Go- Vous êtes bien énervé señorita. Calmez-vous, nous ne vous faisons aucun mal.
L- Où est ce que vous m’emmenez ? Que me voulez-vous ?
Am- Que de question Laguerra, nous, voulons juste savoir où en est votre quête.
L- Plutôt mourir que de te parler et de trahir mes amis !
Am- Tu réagis comme une enfant, soit coopérative et…Mendoza et les enfants s’en tireront bien…
L- Que veux-tu leur faire ?!
Am- Nous avons fait en sorte que Mendoza sache à peu près où nous nous rendons, il va forcément essayer de te libérer et là, nous l’attendrons, lui et les enfants pour les tuer. Mais si tu parles, nous leur feront juste peur.
Le visage de Laguerra s’obscurcit, elle savait qu’Ambrosius arriverait à ses fins si personne ne les prévenait. Mais comment les avertir? Du côté de nos héros, Mendoza était pensif et tous l’avaient remarqué.
Z- Tu t’inquiètes pour Laguerra ?
M- Oui mais je me dis aussi que si Gaspard m’as dit aussi facilement où ils allaient, ce n’est pas pour qu’on la libère et qu’on parte tranquillement.
E- Tu penses qu’ils nous ont tendus un piège ?
M- Oui, ils ne doivent pas avoir choisis le Canada par hasard…
T- Il a peut-être une base là-bas, comme celle qu’il y avait en Inde.
M- C’est bien possible oui…
E- Alors on vient avec toi !
M- Non ! C’est beaucoup trop dangereux !
P- Mendoza, les enfants ont raison et tu le sais très bien…Tu ne pourras jamais affronter Gaspard, Gomez et Ambrosius tout seul.
M- Et si il vous arrive quelque chose? Je fais quoi moi ?
Z- Ne t’inquiète pas pour nous, il ne nous arrivera rien.
M- Bon d’accord, mais si ça foire vous me promettez de partir sur le champ !
E/T/Z- Promis !!!!
M- Vous êtes quand même de sacrés gamins.
Les enfants lui sourirent puis se reconcentrèrent sur le trajet. Quant à Laguerra, elle n’allait pas tarder à subir l’interrogatoire que lui avait préparé Ambrosius. Il arriva avec son petit sourire en coin et se planta devant elle.
L- Assit-toi ça risque d’être long.
La voix de Laguerra était sèche et ses yeux d’un noir intense fixaient le petit homme en face d’elle.
Am- Ne t’inquiètes pas pour ça, je serais te faire parler.
L- Jamais je ne les trahirais tu m’entends ?! Jamais !
Am- Gomez…
Go- Avec joie messire.
Le commandant s’approcha de la jeune femme et la gifla violemment.
L- Ce n’est pas avec de simples claques que tu me feras parler, faut-il que je te rappelle par qui j’ai été élevé ?
Am- Oh ne t’inquiète pas je le sais très bien mais…pense à ce que je t’ai dit tout à l’heure, Mendoza et les enfants pourraient en payer le prix, Agustín aussi.
L- Tu n’es qu’un misérable lâche !! Jamais je ne parlerais à un serpent tel que toi !
Am- Je te laisse le temps de réfléchir à ma proposition, si tu ne nous as rien dit une fois arrivé, nous commencerons par Mendoza et les enfants. Si tu n’es toujours pas décidée nous nous occuperons d’Agustín.
Presque trois jours plus tard, la nef se posait dans l’immense cour d’un somptueux palais. Laguerra était enfermé dans une immense tour gardée jour et nuit par Gomez et Gaspard. Ambrosius montait voir si Isabella était enfin décidé à parler.
Am- Alors Gomez, comment va notre prisonnière ?
Go- Elle a froid mais elle n’a toujours pas dit un mot.
Am- Ouvre la porte, je vais la voir.
Gomez exécuta l’ordre et Ambrosius entra dans la petite pièce. Laguerra était assise sur son lit et ne bougeait pas.
Am- Toujours pas décidé hein ? Ce n’est pas grave, vois-tu, j’attends Mendoza et sa clique de pied ferme.
L- Si c’est avec Gaspard et Gomez que tu comptes les arrêter, laisse-moi partir ça reviendra au même.
Am- Ils ne seront pas seul, les gardes du palais sont là aussi. Je vois que tu recommences à manger un peu.
L- Qu’est-ce que ça peut te faire que je mange ou que je ne mange pas, tu me tueras quoi qu’il advienne.
Am- Loin de là, je ne tuerais pas car vous-tu, tu étais une très bonne associer et j’aimerais que tu reviennes de mon côté.
L- Moi ? Revenir avec toi ? Mais n’y pense même pas !
Am- On verra bien au moment venu, Gomez ! Vous apporterez de quoi manger à notre chère amie.
Go- Bien messire Ambrosius.
L- C’est bon ? Tu as finis ? Tu pourrais peut-être partir maintenant non ?
Ambrosius ne répondit pas et quitta la pièce. Une femme assez âgée faisait le ménage dans la pièce voisine. Ambrosius stoppa Gomez et chuchota.
Am- Avant que tu ne lui donne son repas, je vais lui mettre un peu de poudre d’hablarigisfus.
Go- C’est quoi ?
Am- Une sorte de poison pour qu’elle nous dise tout ce qu’elle sait.
Gomez repris l’assiette et l’amena dans la chambre d’Isabella, la veille dame qui avait tout entendu, attendis que Gomez ferme la porte pour sortir de la pièce où elle se trouvait, elle avança jusqu’à la porte que gardait Gomez.
Femme- Vous avez gardé la chambre toute la nuit, il ne faudrait pas que vous changiez avec votre collègue ?
Go- Vous avez raison madame, j’y vais de ce pas.
Pendant que Gomez partait voir Gaspard pour qu’il prenne son tour de garde, la femme sortit son trousseau de clés et entra dans la chambre de la jeune prisonnière.
Femme- Ne mangez pas ça, L’homme aux cheveux orange y a mis un poison.
L- Merci infiniment. Partez ! Il revient !
De leur côté, nos héros avaient laissé le condor à l’abri des regards dans une épaisse forêt, ils se mirent ensuite en route pour la ville de Inuvik.
T- Tu as un plan pour trouver Laguerra ?
M- On va demander aux commerçants s’ils ont vu la nef ou Ambrosius lui-même, ça nous avancera déjà un peu.
E- Et une fois que l’on sera où Laguerra est retenu, on aura plus qu’à les attaquer avec le grand condor.
M- On ne peut pas foncer tête baissée Esteban, il faudra d’abord élaborer un plan.
E- Pffff. Tiens, commençons par ce forgeron, la nef n’as pas dû passer inaperçu ici.
Z- Bonjour, avez-vous vu une femme et trois hommes passés par ici ?
Forgeron- Désolé petite mais je n’ai vu aucun étranger à ^part vous depuis longtemps.
T- Ils ont un accent bizarre par ici…
M- Vous n’auriez pas vu un bateau volant se poser non lion d’ici ?
Forgeron- J’ai bien vu un bateau volant mais il est au château du gouverneur t il y est très compliqué d’y entrer. Pour en revenir sur ce que tu disais petit, c’est vrai que les occidentaux trouvent l’accent canadien étrange, mais, toi et ton amie vous êtes plus colorés que vos compagnons.
Z- Oui, Tao viens des îles Galápagos et je viens d’Amérique du Sud.
Forgeron- Ah ! Donc tu as surement déjà entendu parler d’une cité d’or ?
Z- Oui, nous l’avons découverte mais elle a été détruite.
Forgeron- Détruite !?
T- Oui mais c’est une longue histoire.
M- Venez les enfants, nous devons aller au château pour libérer Laguerra.
Forgeron- Si j’ai un conseil à vous donner, c’est d’y aller demain à l’aube ou cette nuit, le soleil est encore haut et vous pourriez vous faire repérer. Voilà des gardes, venez chez moi !
Le forgeron les fit entrer et retourna dehors pour surveiller les attentions des gardes.
Forgeron- Ils fouillent les maisons, cachez-vous ici !
Gardes- Ouvrez !! C’est la garde du gouverneur !
Forgeron- J’arrive !
L’homme leur ouvrit et les gardes pénétrèrent chez lui.
Forgeron- Vous recherchez quelqu’un ? Cela fait trois fois en trois jours que vous fouillez toute la ville.
Gardes- Nous cherchons trois marins espagnols et trois enfants avec un petit perroquet.
Sur ces mots, le garde rappela ses hommes et repartit.
Forgeron- Vous pouvez sortir, les gardes sont partis.
Nos héros sortirent du tas de foin où le vieil homme les avait cachés.
M- On dirait qu’Ambrosius nous a réservé un comité d’accueil.
E- C’est trop gentil de sa part il aurait pas dû…
Forgeron- Au fait, moi c’est Gabriel, que chercher vous ici ? Et que vous veut ce monsieur ?
Z- Ambrosius a enlevé notre amie et la retient prisonnière.
Gabriel- Quel triste nouvelle. Ne vous inquiétez pas je vais vous aider à entrer dans le château, par contre, Marie ne pourra faire rentrer qu’une seule personne.
E- Qui est Marie ?
Gabriel- C’est ma femme elle travaille au château comme femme de ménage et elle fait la nuit aujourd’hui.
P/S- Les femmes de ménage travaillent la nuit maintenant ?
Gabriel- Elle doit servir le repas, faire la vaisselle, nettoyer la cuisine et la salle où mange le gouverneur et ses invités.
E- Qui ira avec Marie ce soir ?
M- J’irais, vous les enfants vous m’attendrez avec Sancho et Pedro. A 11 h pétante, vous devrez être sous un rempart.
Gabriel- Je vous conseille le Nord, il est très peu gardé car le passage entre le mur d’enceinte et celui du palais est très étroit.
M- Parfait, vous auriez une corde ?
Gabriel- Bien sûr, voilà Marie, expliquez lui le plan.
Ils partirent voir la vieille femme qui rentrait et lui expliquèrent tous ce qui s’étaient passés et ce qu’ils avaient prévus de faire.
Marie- Pas de problème, je vous ferez passer pour mon fils et ensuite je vous indiquerais la tour où se trouve votre amie. Sa cellule est gardé par les hommes de main d’Ambrosius, cette nuit, ce sera celui avec son maillot rouge, il a une grosse tête avec une petite barbe.
M- Gaspard ?! Ambrosius ne pouvait pas mettre quelqu’un de plus compétant que lui ?
E- Les soldats compétents, ça ne court pas les rues Mendoza, Ambrosius fait avec ce qu’il a. Je plaints Laguerra quand même, devoir le supporter une fois sur deux.
Marie- Il prend très souvent la relève.
M- Oh ça, ça ne me surprend pas ! C’est même bizarre qu’il n’eût pas supplié Ambrosius pour avoir la garde permanente de sa cellule.
Marie- Vous avez l’air de bien le connaitre.
T- Disons qu’à force de voir Mendoza lui mettre une raclée, on essaye de comprendre pourquoi il est si nul et pourquoi il essaye encore de plaire à Laguerra.
Marie- C’est votre compagne monsieur ?
M- Euh…non.
Pi- Pas encoreeee ! Hi hi hi ! L’amourrrrrrrr !!!
Les enfants éclatèrent de rire.
Marie- Ambrosius est vraiment prêt à tout pour qu’elle parle vous savez, quand j’étais au château cet après-midi, il voulait lui faire manger un poison qui lui aurait fait dire tous ce qu’elle savait. Heureusement, j’ai pu entendre la conversation à temps.
M-Nous vous devons une fière chandelle madame. Par contre, quand nous seront partit, Ambrosius va sans doute s’apercevoir qu’il n’y avait que vous et votre mari pour nous aider. Vous devriez partir…
Gabriel- En effet, je pense que c’est mieux pour nous et puis nous avons toujours rêvé de partir autour du monde.
Marie- Je faire nos affaires pendent que vous mangez, tu leur donneras des vêtements plus chaud et tu prévoiras des vêtements pour leur amie.
Gabriel- Bien sûr, ils ne vont pas affronter le froid comme ça. Venez manger, ça va être froid.
M- Pichu, va voir dans quelle tour est Laguerra.
Pi- Pas de soucis !!!!!
Pichu parti tandis que nos amis se mirent à table.
T- Qu’est-ce-que c’est ?
Gabriel- Des fèves au lard au sirop d’érable.
Marie descendit soudain de l’escalier.
Marie- Il faut y aller monsieur.
M- Très bien, donnez-moi juste des vêtements chauds pour Laguerra et on y va.
Marie- Et vous ? Vous n’en voulais pas ?
M- Ne vous inquiétez pas pour moi, les enfants prendront pour moi.
Sur ses mots, ils partirent en direction du château laissant les enfants, Sancho et Pedro chez le forgeron. Mendoza était méconnaissable sous sa cape noir ébène. Arrivé devant les portes, les gardes stoppèrent la ménagère.
Garde- Qui est-il ?
Marie- C’est mon fils, il vient m’aider à nettoyer. A mon âge, on a bien le droit d’avoir un peu d’aide.
Garde- C’est bon.
A ce moment même, Pichu vint au-dessus de Mendoza, une fois les gardes dépassé, il se posta devant Mendoza.
Pi- La tour du milieu, côté Sud mon capitaine.
M- Tu vas me servir d’éclaireur, il faudra que tu me dises s’il y a un garde sur notre route histoire de ne pas être pris par surprise.
Pi- Bien mon capitaine !
Marie- Bonne chance.
M- Vous allez réussir à sortir ?
Marie- Oui, par les cuisines, je risque de croiser les enfants.
M- Au revoir et merci.
Marie- Au plaisir de vous recroiser.
Ils se séparèrent et Mendoza se mit à courir vers les parois dans l’ombre.
M- On a 30 minutes, ça devrait suffire.
Pichu volait au-devant indiquant à chaque croisement s’il y avait un garde mais jusque-là, il n’y en avait eu que un ou deux.
Pi- Attention !! Un avant l’escalier !!
Le soldat, avertit par le bruit de Pichu se préparait déjà à recevoir l’attaque de quelqu’un mais personne ne venait. Il s’approcha jusqu’à faire dépasser sa tête du coin de mur, Mendoza en profita pour l’assommer et cacher son arquebuse pour quand il reviendrait avec Laguerra.
Pi- Après les escaliers, à droite, c’est la cellule de Laguerra. Gaspard est presque endormi, il n’est pas armé et il a les armes de Laguerra.
M- Merci Pichu, tu peux attendre les enfants côté Nord et leur dire de mettre la corde à un créneaux et de se cacher.
Pichu parti et Mendoza s’approcha de la cellule de la jeune femme. Gaspard était à moitié endormi comme lui avait dit Pichu, avant toute chose il récupéra le pistolet de Laguerra. Gaspard se réveilla.
G- Tiens tiens, mais qu’est-ce que tu fais là toi ?
M- On m’avait dit qu’Ambrosius avait pris de grosses précautions pour garder cette cellule mais je vois qu’ils se sont trompés.
G- Comment oses-tu ?
Gaspard sortit son épée mais Mendoza avait été plus rapide et lui asséna plusieurs coups à la tête et au corps, Gaspard tomba K.O. Mendoza défonça la porte et vit sa belle courir vers lui. Ils se prirent les bras et Mendoza l’entraina par dehors.
L- Que fait-on maintenant ?
M- Les enfants nous attendent à la façade Nord.
L- Ne les faisons pas attendre alors.
M- Tiens, tes armes.
Laguerra les prit et ils partirent vers la façade Nord, arrivé à la façade Est, le jeune couple tomba nez à nez avec quatre soldats, la bataille fût rondement mené vu l’état des soldats.
L- Eh bien, il ne plaisante pas les canadiens sur l’alcool, t’as vau comme ils sont ivres.
M- Il faut bien lutter contre le froid comme on dit, et puis, on ira plus vite si on n’a pas à se battre à chaque intersection.
L- Tu as raison, dépêchons-nous, je n’ai pas envie de croiser Ambrosius.
M- Si il est aussi bourré que les gardes, ça peut être drôle.
L- Pas faux mais il ne boit pas beaucoup quand il sait qu’une tentative d’évasion peut arriver à tout moment.
M- On est presque arrivé, plus que deux escaliers à monter.
Ils montèrent les marches quatre par quatre jusqu’à arriver en haut, là, une corde les attendait.
Une fois descendu, les enfants, Sancho et Pedro les rejoignirent et ils se mirent à courir jusqu’à la sortie de la ville quand Laguerra s’arrêta.
L- C’est quand même étrange que personne n’est prévenu le gouverneur ou Ambrosius de mon évasion.
M- Tu as raison ça sent le piège à plein nez.
E- De toute façon on n’a pas le choix, il n’y a que cette sortie et si ne venons pas ce soir, ils nous attendront au condor.
Z/T- Esteban a raison il faut y aller.
L- Vous avez raison, de toute façon, ce ne sont pas une poignée de garde qui nous feront peur.
S/P- Et puis, Gabriel nous a donné des arquebuses.
M- Ne nous attardons pas ici.
Ils partirent dans la forêt et arrivèrent jusqu’à la pleine où ils avaient laissé le condor quand soudain, une quinzaine de soldats les encerclèrent.
Laguerra était ligotée à l’escalier, elle essayait de se libérer mais ses efforts étaient vain, la corde était beaucoup trop épaisse et trop serrée.
Go- Vous êtes bien énervé señorita. Calmez-vous, nous ne vous faisons aucun mal.
L- Où est ce que vous m’emmenez ? Que me voulez-vous ?
Am- Que de question Laguerra, nous, voulons juste savoir où en est votre quête.
L- Plutôt mourir que de te parler et de trahir mes amis !
Am- Tu réagis comme une enfant, soit coopérative et…Mendoza et les enfants s’en tireront bien…
L- Que veux-tu leur faire ?!
Am- Nous avons fait en sorte que Mendoza sache à peu près où nous nous rendons, il va forcément essayer de te libérer et là, nous l’attendrons, lui et les enfants pour les tuer. Mais si tu parles, nous leur feront juste peur.
Le visage de Laguerra s’obscurcit, elle savait qu’Ambrosius arriverait à ses fins si personne ne les prévenait. Mais comment les avertir? Du côté de nos héros, Mendoza était pensif et tous l’avaient remarqué.
Z- Tu t’inquiètes pour Laguerra ?
M- Oui mais je me dis aussi que si Gaspard m’as dit aussi facilement où ils allaient, ce n’est pas pour qu’on la libère et qu’on parte tranquillement.
E- Tu penses qu’ils nous ont tendus un piège ?
M- Oui, ils ne doivent pas avoir choisis le Canada par hasard…
T- Il a peut-être une base là-bas, comme celle qu’il y avait en Inde.
M- C’est bien possible oui…
E- Alors on vient avec toi !
M- Non ! C’est beaucoup trop dangereux !
P- Mendoza, les enfants ont raison et tu le sais très bien…Tu ne pourras jamais affronter Gaspard, Gomez et Ambrosius tout seul.
M- Et si il vous arrive quelque chose? Je fais quoi moi ?
Z- Ne t’inquiète pas pour nous, il ne nous arrivera rien.
M- Bon d’accord, mais si ça foire vous me promettez de partir sur le champ !
E/T/Z- Promis !!!!
M- Vous êtes quand même de sacrés gamins.
Les enfants lui sourirent puis se reconcentrèrent sur le trajet. Quant à Laguerra, elle n’allait pas tarder à subir l’interrogatoire que lui avait préparé Ambrosius. Il arriva avec son petit sourire en coin et se planta devant elle.
L- Assit-toi ça risque d’être long.
La voix de Laguerra était sèche et ses yeux d’un noir intense fixaient le petit homme en face d’elle.
Am- Ne t’inquiètes pas pour ça, je serais te faire parler.
L- Jamais je ne les trahirais tu m’entends ?! Jamais !
Am- Gomez…
Go- Avec joie messire.
Le commandant s’approcha de la jeune femme et la gifla violemment.
L- Ce n’est pas avec de simples claques que tu me feras parler, faut-il que je te rappelle par qui j’ai été élevé ?
Am- Oh ne t’inquiète pas je le sais très bien mais…pense à ce que je t’ai dit tout à l’heure, Mendoza et les enfants pourraient en payer le prix, Agustín aussi.
L- Tu n’es qu’un misérable lâche !! Jamais je ne parlerais à un serpent tel que toi !
Am- Je te laisse le temps de réfléchir à ma proposition, si tu ne nous as rien dit une fois arrivé, nous commencerons par Mendoza et les enfants. Si tu n’es toujours pas décidée nous nous occuperons d’Agustín.
Presque trois jours plus tard, la nef se posait dans l’immense cour d’un somptueux palais. Laguerra était enfermé dans une immense tour gardée jour et nuit par Gomez et Gaspard. Ambrosius montait voir si Isabella était enfin décidé à parler.
Am- Alors Gomez, comment va notre prisonnière ?
Go- Elle a froid mais elle n’a toujours pas dit un mot.
Am- Ouvre la porte, je vais la voir.
Gomez exécuta l’ordre et Ambrosius entra dans la petite pièce. Laguerra était assise sur son lit et ne bougeait pas.
Am- Toujours pas décidé hein ? Ce n’est pas grave, vois-tu, j’attends Mendoza et sa clique de pied ferme.
L- Si c’est avec Gaspard et Gomez que tu comptes les arrêter, laisse-moi partir ça reviendra au même.
Am- Ils ne seront pas seul, les gardes du palais sont là aussi. Je vois que tu recommences à manger un peu.
L- Qu’est-ce que ça peut te faire que je mange ou que je ne mange pas, tu me tueras quoi qu’il advienne.
Am- Loin de là, je ne tuerais pas car vous-tu, tu étais une très bonne associer et j’aimerais que tu reviennes de mon côté.
L- Moi ? Revenir avec toi ? Mais n’y pense même pas !
Am- On verra bien au moment venu, Gomez ! Vous apporterez de quoi manger à notre chère amie.
Go- Bien messire Ambrosius.
L- C’est bon ? Tu as finis ? Tu pourrais peut-être partir maintenant non ?
Ambrosius ne répondit pas et quitta la pièce. Une femme assez âgée faisait le ménage dans la pièce voisine. Ambrosius stoppa Gomez et chuchota.
Am- Avant que tu ne lui donne son repas, je vais lui mettre un peu de poudre d’hablarigisfus.
Go- C’est quoi ?
Am- Une sorte de poison pour qu’elle nous dise tout ce qu’elle sait.
Gomez repris l’assiette et l’amena dans la chambre d’Isabella, la veille dame qui avait tout entendu, attendis que Gomez ferme la porte pour sortir de la pièce où elle se trouvait, elle avança jusqu’à la porte que gardait Gomez.
Femme- Vous avez gardé la chambre toute la nuit, il ne faudrait pas que vous changiez avec votre collègue ?
Go- Vous avez raison madame, j’y vais de ce pas.
Pendant que Gomez partait voir Gaspard pour qu’il prenne son tour de garde, la femme sortit son trousseau de clés et entra dans la chambre de la jeune prisonnière.
Femme- Ne mangez pas ça, L’homme aux cheveux orange y a mis un poison.
L- Merci infiniment. Partez ! Il revient !
De leur côté, nos héros avaient laissé le condor à l’abri des regards dans une épaisse forêt, ils se mirent ensuite en route pour la ville de Inuvik.
T- Tu as un plan pour trouver Laguerra ?
M- On va demander aux commerçants s’ils ont vu la nef ou Ambrosius lui-même, ça nous avancera déjà un peu.
E- Et une fois que l’on sera où Laguerra est retenu, on aura plus qu’à les attaquer avec le grand condor.
M- On ne peut pas foncer tête baissée Esteban, il faudra d’abord élaborer un plan.
E- Pffff. Tiens, commençons par ce forgeron, la nef n’as pas dû passer inaperçu ici.
Z- Bonjour, avez-vous vu une femme et trois hommes passés par ici ?
Forgeron- Désolé petite mais je n’ai vu aucun étranger à ^part vous depuis longtemps.
T- Ils ont un accent bizarre par ici…
M- Vous n’auriez pas vu un bateau volant se poser non lion d’ici ?
Forgeron- J’ai bien vu un bateau volant mais il est au château du gouverneur t il y est très compliqué d’y entrer. Pour en revenir sur ce que tu disais petit, c’est vrai que les occidentaux trouvent l’accent canadien étrange, mais, toi et ton amie vous êtes plus colorés que vos compagnons.
Z- Oui, Tao viens des îles Galápagos et je viens d’Amérique du Sud.
Forgeron- Ah ! Donc tu as surement déjà entendu parler d’une cité d’or ?
Z- Oui, nous l’avons découverte mais elle a été détruite.
Forgeron- Détruite !?
T- Oui mais c’est une longue histoire.
M- Venez les enfants, nous devons aller au château pour libérer Laguerra.
Forgeron- Si j’ai un conseil à vous donner, c’est d’y aller demain à l’aube ou cette nuit, le soleil est encore haut et vous pourriez vous faire repérer. Voilà des gardes, venez chez moi !
Le forgeron les fit entrer et retourna dehors pour surveiller les attentions des gardes.
Forgeron- Ils fouillent les maisons, cachez-vous ici !
Gardes- Ouvrez !! C’est la garde du gouverneur !
Forgeron- J’arrive !
L’homme leur ouvrit et les gardes pénétrèrent chez lui.
Forgeron- Vous recherchez quelqu’un ? Cela fait trois fois en trois jours que vous fouillez toute la ville.
Gardes- Nous cherchons trois marins espagnols et trois enfants avec un petit perroquet.
Sur ces mots, le garde rappela ses hommes et repartit.
Forgeron- Vous pouvez sortir, les gardes sont partis.
Nos héros sortirent du tas de foin où le vieil homme les avait cachés.
M- On dirait qu’Ambrosius nous a réservé un comité d’accueil.
E- C’est trop gentil de sa part il aurait pas dû…
Forgeron- Au fait, moi c’est Gabriel, que chercher vous ici ? Et que vous veut ce monsieur ?
Z- Ambrosius a enlevé notre amie et la retient prisonnière.
Gabriel- Quel triste nouvelle. Ne vous inquiétez pas je vais vous aider à entrer dans le château, par contre, Marie ne pourra faire rentrer qu’une seule personne.
E- Qui est Marie ?
Gabriel- C’est ma femme elle travaille au château comme femme de ménage et elle fait la nuit aujourd’hui.
P/S- Les femmes de ménage travaillent la nuit maintenant ?
Gabriel- Elle doit servir le repas, faire la vaisselle, nettoyer la cuisine et la salle où mange le gouverneur et ses invités.
E- Qui ira avec Marie ce soir ?
M- J’irais, vous les enfants vous m’attendrez avec Sancho et Pedro. A 11 h pétante, vous devrez être sous un rempart.
Gabriel- Je vous conseille le Nord, il est très peu gardé car le passage entre le mur d’enceinte et celui du palais est très étroit.
M- Parfait, vous auriez une corde ?
Gabriel- Bien sûr, voilà Marie, expliquez lui le plan.
Ils partirent voir la vieille femme qui rentrait et lui expliquèrent tous ce qui s’étaient passés et ce qu’ils avaient prévus de faire.
Marie- Pas de problème, je vous ferez passer pour mon fils et ensuite je vous indiquerais la tour où se trouve votre amie. Sa cellule est gardé par les hommes de main d’Ambrosius, cette nuit, ce sera celui avec son maillot rouge, il a une grosse tête avec une petite barbe.
M- Gaspard ?! Ambrosius ne pouvait pas mettre quelqu’un de plus compétant que lui ?
E- Les soldats compétents, ça ne court pas les rues Mendoza, Ambrosius fait avec ce qu’il a. Je plaints Laguerra quand même, devoir le supporter une fois sur deux.
Marie- Il prend très souvent la relève.
M- Oh ça, ça ne me surprend pas ! C’est même bizarre qu’il n’eût pas supplié Ambrosius pour avoir la garde permanente de sa cellule.
Marie- Vous avez l’air de bien le connaitre.
T- Disons qu’à force de voir Mendoza lui mettre une raclée, on essaye de comprendre pourquoi il est si nul et pourquoi il essaye encore de plaire à Laguerra.
Marie- C’est votre compagne monsieur ?
M- Euh…non.
Pi- Pas encoreeee ! Hi hi hi ! L’amourrrrrrrr !!!
Les enfants éclatèrent de rire.
Marie- Ambrosius est vraiment prêt à tout pour qu’elle parle vous savez, quand j’étais au château cet après-midi, il voulait lui faire manger un poison qui lui aurait fait dire tous ce qu’elle savait. Heureusement, j’ai pu entendre la conversation à temps.
M-Nous vous devons une fière chandelle madame. Par contre, quand nous seront partit, Ambrosius va sans doute s’apercevoir qu’il n’y avait que vous et votre mari pour nous aider. Vous devriez partir…
Gabriel- En effet, je pense que c’est mieux pour nous et puis nous avons toujours rêvé de partir autour du monde.
Marie- Je faire nos affaires pendent que vous mangez, tu leur donneras des vêtements plus chaud et tu prévoiras des vêtements pour leur amie.
Gabriel- Bien sûr, ils ne vont pas affronter le froid comme ça. Venez manger, ça va être froid.
M- Pichu, va voir dans quelle tour est Laguerra.
Pi- Pas de soucis !!!!!
Pichu parti tandis que nos amis se mirent à table.
T- Qu’est-ce-que c’est ?
Gabriel- Des fèves au lard au sirop d’érable.
Marie descendit soudain de l’escalier.
Marie- Il faut y aller monsieur.
M- Très bien, donnez-moi juste des vêtements chauds pour Laguerra et on y va.
Marie- Et vous ? Vous n’en voulais pas ?
M- Ne vous inquiétez pas pour moi, les enfants prendront pour moi.
Sur ses mots, ils partirent en direction du château laissant les enfants, Sancho et Pedro chez le forgeron. Mendoza était méconnaissable sous sa cape noir ébène. Arrivé devant les portes, les gardes stoppèrent la ménagère.
Garde- Qui est-il ?
Marie- C’est mon fils, il vient m’aider à nettoyer. A mon âge, on a bien le droit d’avoir un peu d’aide.
Garde- C’est bon.
A ce moment même, Pichu vint au-dessus de Mendoza, une fois les gardes dépassé, il se posta devant Mendoza.
Pi- La tour du milieu, côté Sud mon capitaine.
M- Tu vas me servir d’éclaireur, il faudra que tu me dises s’il y a un garde sur notre route histoire de ne pas être pris par surprise.
Pi- Bien mon capitaine !
Marie- Bonne chance.
M- Vous allez réussir à sortir ?
Marie- Oui, par les cuisines, je risque de croiser les enfants.
M- Au revoir et merci.
Marie- Au plaisir de vous recroiser.
Ils se séparèrent et Mendoza se mit à courir vers les parois dans l’ombre.
M- On a 30 minutes, ça devrait suffire.
Pichu volait au-devant indiquant à chaque croisement s’il y avait un garde mais jusque-là, il n’y en avait eu que un ou deux.
Pi- Attention !! Un avant l’escalier !!
Le soldat, avertit par le bruit de Pichu se préparait déjà à recevoir l’attaque de quelqu’un mais personne ne venait. Il s’approcha jusqu’à faire dépasser sa tête du coin de mur, Mendoza en profita pour l’assommer et cacher son arquebuse pour quand il reviendrait avec Laguerra.
Pi- Après les escaliers, à droite, c’est la cellule de Laguerra. Gaspard est presque endormi, il n’est pas armé et il a les armes de Laguerra.
M- Merci Pichu, tu peux attendre les enfants côté Nord et leur dire de mettre la corde à un créneaux et de se cacher.
Pichu parti et Mendoza s’approcha de la cellule de la jeune femme. Gaspard était à moitié endormi comme lui avait dit Pichu, avant toute chose il récupéra le pistolet de Laguerra. Gaspard se réveilla.
G- Tiens tiens, mais qu’est-ce que tu fais là toi ?
M- On m’avait dit qu’Ambrosius avait pris de grosses précautions pour garder cette cellule mais je vois qu’ils se sont trompés.
G- Comment oses-tu ?
Gaspard sortit son épée mais Mendoza avait été plus rapide et lui asséna plusieurs coups à la tête et au corps, Gaspard tomba K.O. Mendoza défonça la porte et vit sa belle courir vers lui. Ils se prirent les bras et Mendoza l’entraina par dehors.
L- Que fait-on maintenant ?
M- Les enfants nous attendent à la façade Nord.
L- Ne les faisons pas attendre alors.
M- Tiens, tes armes.
Laguerra les prit et ils partirent vers la façade Nord, arrivé à la façade Est, le jeune couple tomba nez à nez avec quatre soldats, la bataille fût rondement mené vu l’état des soldats.
L- Eh bien, il ne plaisante pas les canadiens sur l’alcool, t’as vau comme ils sont ivres.
M- Il faut bien lutter contre le froid comme on dit, et puis, on ira plus vite si on n’a pas à se battre à chaque intersection.
L- Tu as raison, dépêchons-nous, je n’ai pas envie de croiser Ambrosius.
M- Si il est aussi bourré que les gardes, ça peut être drôle.
L- Pas faux mais il ne boit pas beaucoup quand il sait qu’une tentative d’évasion peut arriver à tout moment.
M- On est presque arrivé, plus que deux escaliers à monter.
Ils montèrent les marches quatre par quatre jusqu’à arriver en haut, là, une corde les attendait.
Une fois descendu, les enfants, Sancho et Pedro les rejoignirent et ils se mirent à courir jusqu’à la sortie de la ville quand Laguerra s’arrêta.
L- C’est quand même étrange que personne n’est prévenu le gouverneur ou Ambrosius de mon évasion.
M- Tu as raison ça sent le piège à plein nez.
E- De toute façon on n’a pas le choix, il n’y a que cette sortie et si ne venons pas ce soir, ils nous attendront au condor.
Z/T- Esteban a raison il faut y aller.
L- Vous avez raison, de toute façon, ce ne sont pas une poignée de garde qui nous feront peur.
S/P- Et puis, Gabriel nous a donné des arquebuses.
M- Ne nous attardons pas ici.
Ils partirent dans la forêt et arrivèrent jusqu’à la pleine où ils avaient laissé le condor quand soudain, une quinzaine de soldats les encerclèrent.
La vie est courte alors profites en !!!:D
Tout seul tu vas plus vite, avec lui tu vas plus loin
YouTube : Elisa Vanryssel
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- Xia
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Re: fanfic mco4 :D
Jolie suite qui me rappelle l'évasion de Mendoza, Sancho et Pedro de la prison de Barcelone !
La terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la terre (Tatanka Iyotaka)
Ma fanfic sur la préquelle des Mystérieuses Cités d'or, c'est par ici
MCO 1 : 20/20
MCO 2 : 14/20
MCO 3 : 15/20
MCO 4 : 19/20
Ma fanfic sur la préquelle des Mystérieuses Cités d'or, c'est par ici
MCO 1 : 20/20
MCO 2 : 14/20
MCO 3 : 15/20
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- Aurélien
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Re: fanfic mco4 :D
Quel super passage une fois de plus !! En revanche je pense qu'il n'y a pas que les canadiens qui on un accent !zaza59 a écrit : ↑30 oct. 2018, 19:54 Chapitre 4
Laguerra était ligotée à l’escalier, elle essayait de se libérer mais ses efforts étaient vain, la corde était beaucoup trop épaisse et trop serrée.
Go- Vous êtes bien énervé señorita. Calmez-vous, nous ne vous faisons aucun mal.
L- Où est ce que vous m’emmenez ? Que me voulez-vous ?
Am- Que de question Laguerra, nous, voulons juste savoir où en est votre quête.
L- Plutôt mourir que de te parler et de trahir mes amis !
Am- Tu réagis comme une enfant, soit coopérative et…Mendoza et les enfants s’en tireront bien…
L- Que veux-tu leur faire ?!
Am- Nous avons fait en sorte que Mendoza sache à peu près où nous nous rendons, il va forcément essayer de te libérer et là, nous l’attendrons, lui et les enfants pour les tuer. Mais si tu parles, nous leur feront juste peur.
Le visage de Laguerra s’obscurcit, elle savait qu’Ambrosius arriverait à ses fins si personne ne les prévenait. Mais comment les avertir? Du côté de nos héros, Mendoza était pensif et tous l’avaient remarqué.
Z- Tu t’inquiètes pour Laguerra ?
M- Oui mais je me dis aussi que si Gaspard m’as dit aussi facilement où ils allaient, ce n’est pas pour qu’on la libère et qu’on parte tranquillement.
E- Tu penses qu’ils nous ont tendus un piège ?
M- Oui, ils ne doivent pas avoir choisis le Canada par hasard…
T- Il a peut-être une base là-bas, comme celle qu’il y avait en Inde.
M- C’est bien possible oui…
E- Alors on vient avec toi !
M- Non ! C’est beaucoup trop dangereux !
P- Mendoza, les enfants ont raison et tu le sais très bien…Tu ne pourras jamais affronter Gaspard, Gomez et Ambrosius tout seul.
M- Et si il vous arrive quelque chose? Je fais quoi moi ?
Z- Ne t’inquiète pas pour nous, il ne nous arrivera rien.
M- Bon d’accord, mais si ça foire vous me promettez de partir sur le champ !
E/T/Z- Promis !!!!
M- Vous êtes quand même de sacrés gamins.
Les enfants lui sourirent puis se reconcentrèrent sur le trajet. Quant à Laguerra, elle n’allait pas tarder à subir l’interrogatoire que lui avait préparé Ambrosius. Il arriva avec son petit sourire en coin et se planta devant elle.
L- Assit-toi ça risque d’être long.
La voix de Laguerra était sèche et ses yeux d’un noir intense fixaient le petit homme en face d’elle.
Am- Ne t’inquiètes pas pour ça, je serais te faire parler.
L- Jamais je ne les trahirais tu m’entends ?! Jamais !
Am- Gomez…
Go- Avec joie messire.
Le commandant s’approcha de la jeune femme et la gifla violemment.
L- Ce n’est pas avec de simples claques que tu me feras parler, faut-il que je te rappelle par qui j’ai été élevé ?
Am- Oh ne t’inquiète pas je le sais très bien mais…pense à ce que je t’ai dit tout à l’heure, Mendoza et les enfants pourraient en payer le prix, Agustín aussi.
L- Tu n’es qu’un misérable lâche !! Jamais je ne parlerais à un serpent tel que toi !
Am- Je te laisse le temps de réfléchir à ma proposition, si tu ne nous as rien dit une fois arrivé, nous commencerons par Mendoza et les enfants. Si tu n’es toujours pas décidée nous nous occuperons d’Agustín.
Presque trois jours plus tard, la nef se posait dans l’immense cour d’un somptueux palais. Laguerra était enfermé dans une immense tour gardée jour et nuit par Gomez et Gaspard. Ambrosius montait voir si Isabella était enfin décidé à parler.
Am- Alors Gomez, comment va notre prisonnière ?
Go- Elle a froid mais elle n’a toujours pas dit un mot.
Am- Ouvre la porte, je vais la voir.
Gomez exécuta l’ordre et Ambrosius entra dans la petite pièce. Laguerra était assise sur son lit et ne bougeait pas.
Am- Toujours pas décidé hein ? Ce n’est pas grave, vois-tu, j’attends Mendoza et sa clique de pied ferme.
L- Si c’est avec Gaspard et Gomez que tu comptes les arrêter, laisse-moi partir ça reviendra au même.
Am- Ils ne seront pas seul, les gardes du palais sont là aussi. Je vois que tu recommences à manger un peu.
L- Qu’est-ce que ça peut te faire que je mange ou que je ne mange pas, tu me tueras quoi qu’il advienne.
Am- Loin de là, je ne tuerais pas car vous-tu, tu étais une très bonne associer et j’aimerais que tu reviennes de mon côté.
L- Moi ? Revenir avec toi ? Mais n’y pense même pas !
Am- On verra bien au moment venu, Gomez ! Vous apporterez de quoi manger à notre chère amie.
Go- Bien messire Ambrosius.
L- C’est bon ? Tu as finis ? Tu pourrais peut-être partir maintenant non ?
Ambrosius ne répondit pas et quitta la pièce. Une femme assez âgée faisait le ménage dans la pièce voisine. Ambrosius stoppa Gomez et chuchota.
Am- Avant que tu ne lui donne son repas, je vais lui mettre un peu de poudre d’hablarigisfus.
Go- C’est quoi ?
Am- Une sorte de poison pour qu’elle nous dise tout ce qu’elle sait.
Gomez repris l’assiette et l’amena dans la chambre d’Isabella, la veille dame qui avait tout entendu, attendis que Gomez ferme la porte pour sortir de la pièce où elle se trouvait, elle avança jusqu’à la porte que gardait Gomez.
Femme- Vous avez gardé la chambre toute la nuit, il ne faudrait pas que vous changiez avec votre collègue ?
Go- Vous avez raison madame, j’y vais de ce pas.
Pendant que Gomez partait voir Gaspard pour qu’il prenne son tour de garde, la femme sortit son trousseau de clés et entra dans la chambre de la jeune prisonnière.
Femme- Ne mangez pas ça, L’homme aux cheveux orange y a mis un poison.
L- Merci infiniment. Partez ! Il revient !
De leur côté, nos héros avaient laissé le condor à l’abri des regards dans une épaisse forêt, ils se mirent ensuite en route pour la ville de Inuvik.
T- Tu as un plan pour trouver Laguerra ?
M- On va demander aux commerçants s’ils ont vu la nef ou Ambrosius lui-même, ça nous avancera déjà un peu.
E- Et une fois que l’on sera où Laguerra est retenu, on aura plus qu’à les attaquer avec le grand condor.
M- On ne peut pas foncer tête baissée Esteban, il faudra d’abord élaborer un plan.
E- Pffff. Tiens, commençons par ce forgeron, la nef n’as pas dû passer inaperçu ici.
Z- Bonjour, avez-vous vu une femme et trois hommes passés par ici ?
Forgeron- Désolé petite mais je n’ai vu aucun étranger à ^part vous depuis longtemps.
T- Ils ont un accent bizarre par ici…
M- Vous n’auriez pas vu un bateau volant se poser non lion d’ici ?
Forgeron- J’ai bien vu un bateau volant mais il est au château du gouverneur t il y est très compliqué d’y entrer. Pour en revenir sur ce que tu disais petit, c’est vrai que les occidentaux trouvent l’accent canadien étrange, mais, toi et ton amie vous êtes plus colorés que vos compagnons.
Z- Oui, Tao viens des îles Galápagos et je viens d’Amérique du Sud.
Forgeron- Ah ! Donc tu as surement déjà entendu parler d’une cité d’or ?
Z- Oui, nous l’avons découverte mais elle a été détruite.
Forgeron- Détruite !?
T- Oui mais c’est une longue histoire.
M- Venez les enfants, nous devons aller au château pour libérer Laguerra.
Forgeron- Si j’ai un conseil à vous donner, c’est d’y aller demain à l’aube ou cette nuit, le soleil est encore haut et vous pourriez vous faire repérer. Voilà des gardes, venez chez moi !
Le forgeron les fit entrer et retourna dehors pour surveiller les attentions des gardes.
Forgeron- Ils fouillent les maisons, cachez-vous ici !
Gardes- Ouvrez !! C’est la garde du gouverneur !
Forgeron- J’arrive !
L’homme leur ouvrit et les gardes pénétrèrent chez lui.
Forgeron- Vous recherchez quelqu’un ? Cela fait trois fois en trois jours que vous fouillez toute la ville.
Gardes- Nous cherchons trois marins espagnols et trois enfants avec un petit perroquet.
Sur ces mots, le garde rappela ses hommes et repartit.
Forgeron- Vous pouvez sortir, les gardes sont partis.
Nos héros sortirent du tas de foin où le vieil homme les avait cachés.
M- On dirait qu’Ambrosius nous a réservé un comité d’accueil.
E- C’est trop gentil de sa part il aurait pas dû…
Forgeron- Au fait, moi c’est Gabriel, que chercher vous ici ? Et que vous veut ce monsieur ?
Z- Ambrosius a enlevé notre amie et la retient prisonnière.
Gabriel- Quel triste nouvelle. Ne vous inquiétez pas je vais vous aider à entrer dans le château, par contre, Marie ne pourra faire rentrer qu’une seule personne.
E- Qui est Marie ?
Gabriel- C’est ma femme elle travaille au château comme femme de ménage et elle fait la nuit aujourd’hui.
P/S- Les femmes de ménage travaillent la nuit maintenant ?
Gabriel- Elle doit servir le repas, faire la vaisselle, nettoyer la cuisine et la salle où mange le gouverneur et ses invités.
E- Qui ira avec Marie ce soir ?
M- J’irais, vous les enfants vous m’attendrez avec Sancho et Pedro. A 11 h pétante, vous devrez être sous un rempart.
Gabriel- Je vous conseille le Nord, il est très peu gardé car le passage entre le mur d’enceinte et celui du palais est très étroit.
M- Parfait, vous auriez une corde ?
Gabriel- Bien sûr, voilà Marie, expliquez lui le plan.
Ils partirent voir la vieille femme qui rentrait et lui expliquèrent tous ce qui s’étaient passés et ce qu’ils avaient prévus de faire.
Marie- Pas de problème, je vous ferez passer pour mon fils et ensuite je vous indiquerais la tour où se trouve votre amie. Sa cellule est gardé par les hommes de main d’Ambrosius, cette nuit, ce sera celui avec son maillot rouge, il a une grosse tête avec une petite barbe.
M- Gaspard ?! Ambrosius ne pouvait pas mettre quelqu’un de plus compétant que lui ?
E- Les soldats compétents, ça ne court pas les rues Mendoza, Ambrosius fait avec ce qu’il a. Je plaints Laguerra quand même, devoir le supporter une fois sur deux.
Marie- Il prend très souvent la relève.
M- Oh ça, ça ne me surprend pas ! C’est même bizarre qu’il n’eût pas supplié Ambrosius pour avoir la garde permanente de sa cellule.
Marie- Vous avez l’air de bien le connaitre.
T- Disons qu’à force de voir Mendoza lui mettre une raclée, on essaye de comprendre pourquoi il est si nul et pourquoi il essaye encore de plaire à Laguerra.
Marie- C’est votre compagne monsieur ?
M- Euh…non.
Pi- Pas encoreeee ! Hi hi hi ! L’amourrrrrrrr !!!
Les enfants éclatèrent de rire.
Marie- Ambrosius est vraiment prêt à tout pour qu’elle parle vous savez, quand j’étais au château cet après-midi, il voulait lui faire manger un poison qui lui aurait fait dire tous ce qu’elle savait. Heureusement, j’ai pu entendre la conversation à temps.
M-Nous vous devons une fière chandelle madame. Par contre, quand nous seront partit, Ambrosius va sans doute s’apercevoir qu’il n’y avait que vous et votre mari pour nous aider. Vous devriez partir…
Gabriel- En effet, je pense que c’est mieux pour nous et puis nous avons toujours rêvé de partir autour du monde.
Marie- Je faire nos affaires pendent que vous mangez, tu leur donneras des vêtements plus chaud et tu prévoiras des vêtements pour leur amie.
Gabriel- Bien sûr, ils ne vont pas affronter le froid comme ça. Venez manger, ça va être froid.
M- Pichu, va voir dans quelle tour est Laguerra.
Pi- Pas de soucis !!!!!
Pichu parti tandis que nos amis se mirent à table.
T- Qu’est-ce-que c’est ?
Gabriel- Des fèves au lard au sirop d’érable.
Marie descendit soudain de l’escalier.
Marie- Il faut y aller monsieur.
M- Très bien, donnez-moi juste des vêtements chauds pour Laguerra et on y va.
Marie- Et vous ? Vous n’en voulais pas ?
M- Ne vous inquiétez pas pour moi, les enfants prendront pour moi.
Sur ses mots, ils partirent en direction du château laissant les enfants, Sancho et Pedro chez le forgeron. Mendoza était méconnaissable sous sa cape noir ébène. Arrivé devant les portes, les gardes stoppèrent la ménagère.
Garde- Qui est-il ?
Marie- C’est mon fils, il vient m’aider à nettoyer. A mon âge, on a bien le droit d’avoir un peu d’aide.
Garde- C’est bon.
A ce moment même, Pichu vint au-dessus de Mendoza, une fois les gardes dépassé, il se posta devant Mendoza.
Pi- La tour du milieu, côté Sud mon capitaine.
M- Tu vas me servir d’éclaireur, il faudra que tu me dises s’il y a un garde sur notre route histoire de ne pas être pris par surprise.
Pi- Bien mon capitaine !
Marie- Bonne chance.
M- Vous allez réussir à sortir ?
Marie- Oui, par les cuisines, je risque de croiser les enfants.
M- Au revoir et merci.
Marie- Au plaisir de vous recroiser.
Ils se séparèrent et Mendoza se mit à courir vers les parois dans l’ombre.
M- On a 30 minutes, ça devrait suffire.
Pichu volait au-devant indiquant à chaque croisement s’il y avait un garde mais jusque-là, il n’y en avait eu que un ou deux.
Pi- Attention !! Un avant l’escalier !!
Le soldat, avertit par le bruit de Pichu se préparait déjà à recevoir l’attaque de quelqu’un mais personne ne venait. Il s’approcha jusqu’à faire dépasser sa tête du coin de mur, Mendoza en profita pour l’assommer et cacher son arquebuse pour quand il reviendrait avec Laguerra.
Pi- Après les escaliers, à droite, c’est la cellule de Laguerra. Gaspard est presque endormi, il n’est pas armé et il a les armes de Laguerra.
M- Merci Pichu, tu peux attendre les enfants côté Nord et leur dire de mettre la corde à un créneaux et de se cacher.
Pichu parti et Mendoza s’approcha de la cellule de la jeune femme. Gaspard était à moitié endormi comme lui avait dit Pichu, avant toute chose il récupéra le pistolet de Laguerra. Gaspard se réveilla.
G- Tiens tiens, mais qu’est-ce que tu fais là toi ?
M- On m’avait dit qu’Ambrosius avait pris de grosses précautions pour garder cette cellule mais je vois qu’ils se sont trompés.
G- Comment oses-tu ?
Gaspard sortit son épée mais Mendoza avait été plus rapide et lui asséna plusieurs coups à la tête et au corps, Gaspard tomba K.O. Mendoza défonça la porte et vit sa belle courir vers lui. Ils se prirent les bras et Mendoza l’entraina par dehors.
L- Que fait-on maintenant ?
M- Les enfants nous attendent à la façade Nord.
L- Ne les faisons pas attendre alors.
M- Tiens, tes armes.
Laguerra les prit et ils partirent vers la façade Nord, arrivé à la façade Est, le jeune couple tomba nez à nez avec quatre soldats, la bataille fût rondement mené vu l’état des soldats.
L- Eh bien, il ne plaisante pas les canadiens sur l’alcool, t’as vau comme ils sont ivres.
M- Il faut bien lutter contre le froid comme on dit, et puis, on ira plus vite si on n’a pas à se battre à chaque intersection.
L- Tu as raison, dépêchons-nous, je n’ai pas envie de croiser Ambrosius.
M- Si il est aussi bourré que les gardes, ça peut être drôle.
L- Pas faux mais il ne boit pas beaucoup quand il sait qu’une tentative d’évasion peut arriver à tout moment.
M- On est presque arrivé, plus que deux escaliers à monter.
Ils montèrent les marches quatre par quatre jusqu’à arriver en haut, là, une corde les attendait.
cité d'or rempart.png
Une fois descendu, les enfants, Sancho et Pedro les rejoignirent et ils se mirent à courir jusqu’à la sortie de la ville quand Laguerra s’arrêta.
L- C’est quand même étrange que personne n’est prévenu le gouverneur ou Ambrosius de mon évasion.
M- Tu as raison ça sent le piège à plein nez.
E- De toute façon on n’a pas le choix, il n’y a que cette sortie et si ne venons pas ce soir, ils nous attendront au condor.
Z/T- Esteban a raison il faut y aller.
L- Vous avez raison, de toute façon, ce ne sont pas une poignée de garde qui nous feront peur.
S/P- Et puis, Gabriel nous a donné des arquebuses.
M- Ne nous attardons pas ici.
Ils partirent dans la forêt et arrivèrent jusqu’à la pleine où ils avaient laissé le condor quand soudain, une quinzaine de soldats les encerclèrent.
PS : A la dernière phrase lorsque tu as ecris jusqu'à la pleine" : tu voulais dire la plaine n'est pas ?
Les Mystérieuses Cités d'or
Die geheimnisvollen Städte des Goldes
The mysterious cities of gold
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As cidades misteriosas de ouro
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- zaza59
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- Localisation : dans la nef avec Laguerra
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Re: fanfic mco4 :D
oupssssssPS : A la dernière phrase lorsque tu as ecris jusqu'à la pleine" : tu voulais dire la plaine n'est pas ?
merci pour vos commentaire et tu as raison Xia je me suis beaucoup inspiré de l'évasion de nos trois marins dans la saison 2.
La vie est courte alors profites en !!!:D
Tout seul tu vas plus vite, avec lui tu vas plus loin
YouTube : Elisa Vanryssel
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Re: fanfic mco4 :D
C'est pas mal, amusant et rythmé, et on découvre des choses comme la poudre d'habla...bref le truc censé faire parler, c'est une de tes inventions ou ça sort de Harry Potter? On a aussi un aperçu de la gastronomie canadienne
"On savoure mieux ce qu'on a désiré plus longtemps, n'est-ce pas Mendoza?"
Unagikami mon amour
"It was a skyfall, and a rebirth, a bloody honeymoon, for both of us"
Yokai Circus
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