Je trouve que tu as fait de sacrés progrès, notamment en réalisme, même si la tête de Zia reste encore très enfantine malgré les déformations.
En tout cas, le jaune lui va bien!
- On s'est tout de même embrassés, cela ne signifie donc rien?
- HEIN? T'as embrassé Ambrosius?
- *soupir* Allez, déblaie!
HOP HOP HOP!
Moi aussi j'aime beaucoup ce montage (sauf la tête de Zia qui est un peu déformée).
En plus je trouve un certain aspect assez sympathique, comme un vrai dessin (surtout le vêtement) qui est agréable à l’œil.
Encore bravo mon vieux ^^ (pas si vieux que ça mais bon)
Oui je rejoins mes camarades, comme sur pas mal de montages de ta confection je trouve les têtes souvent légèrement petites. M'enfin ce n'est pas grave
Et la robe est très sympa aussi, je ne sais pas d'où tu déniche ces fonds et habits mais ils sont très beaux !
Bref, une belle confection !
Sinon pour le montage d'avant, je disais qu'Esteban avait des tâches parce que sur son torse, je ne sais pas si c'est du sable ou de la crème solaire, mais en tout cas ça ressemble à des tâches voilà tout ^^
Le présent, le plus important des temps. Profitons-en !
Saison 1 : 18.5/20
Saison 2 : 08/20
Saison 3 : 12.5/20
Saison 4 : pas pire que la 3ème, mais pas mieux... quoique...
Moi j'aime bien Zia/Indali sous la tente, quant à Esteban en caleçon bleu, wouahhhh!!!! ça en jette!!!!
"On savoure mieux ce qu'on a désiré plus longtemps, n'est-ce pas Mendoza?" Unagikami mon amour "It was a skyfall, and a rebirth, a bloody honeymoon, for both of us" Yokai Circus
Bon, comme on peut "illustrer" Zia de toutes les manières qu'on veut, voici un petit one-shot calme et posé, centré sur notre amie.
Bonne lecture.
Vingt-Quatre Heures
L'aube brisait le froid et la terreur de la nuit en un merveilleux tableau aux mille couleurs, aux dégradés harmonieux passant du violet sombre au jaune flamboyant, bravant le chemin de la teinte sucrée de l'orange et au vif rouge qui rappelait tout sauf le sang.
L'aurore encourageait le dieu Soleil de partager sa vie et son éclat au sol du Nouveau-Monde, n'hésitant pas à le pousser de son lit pour que l'horizon soit percé des premières rondeurs de l'astre. Enfin, son lever, battant à plates coutures du plus banal au plus fin des artistes de toutes cités, inondait le ciel d'une vague jaune or intense qui virait mystérieusement au bleu après quelques minutes de spectacle.
Ce spectacle, Zia y assistait de la prunelle de ses yeux, à la naissance de sa vingt-quatrième année.
Vingt-quatre ans de voyage et d'aventures et de paysages et de rencontres, à savourer cet instant, répétitif et éternel, qui signifiait pour elle tout son parcours.
La nuit qu'à été le début de sa vie, la septième heure étant la plus dure et la plus traumatisante, l'heure où la nuit avait commencé sa danse de doutes, de désespoir et d'effroi et qui avait duré...oh, elle ne sait plus combien de temps.
Puis, aux environs de midi, heure où le zénith commençait, un miracle, une seule petite rencontre transforma le cauchemar qu'était devenu son destin en un rêve éveillé, une quête au bonheur qu'elle n'attendait plus, elle était sur le top départ ! Tout s'accélérait désormais.
Le ciel qu'elle vit n'était pas que bleu, elle ne voyait pas qu'une toile vierge de tout sens : du blanc, du jaune, du rouge, du noir, du marron, toutes les couleurs imaginables ! Tous les mélanges et tous les métissages possibles !
Un vol au dessus d'un orage tumultueux qu'un coup de chance lui avait permis de passer au-dessus.
Vers sa quinzième heure, son corps piquant et chauffant à n'importe quel situation et ses sentiments si peu profondément cachés virent enfin le jour, en un coup de vent, en un souffle uni et divin, en un contact si proche et si inespéré, si intime et si chaste, rendirent sa vie encore plus magique.
Cette fois, le soleil était bien haut dans le ciel, et peu importe les barrières et les obstacles, aucune place à l'ombre ne salira son œuvre d'art.
Et la voilà, ici, à sa vingt-quatrième heure, fin de la première partie de sa vie, devant son second lever de soleil, devant la nouvelle bouffée d'air frais que lui offrait les dieux, ou Dieu, ou elle-ne-sais encore. Ce monde est bien trop grand, vingt vies n'auraient pas suffi à tout découvrir !
Alors, perché sur une colline, à quelques pas d'un vaste monde elle sourit, encore, quand soudain une main ferme vint tendrement toucher son épaule.
Esteban s'assit aux côtés de sa compagne de toujours, de sa meilleure amie, de son amour, et contempla avec elle la vaste forêt qui s'étendait à perdue de vue. Mais ils en voulaient plus. Toujours plus. Ils étaient avides.
De savoir, de culture, d'exploration, de stimulations, de rires, de pleurs, de danses, de chants, d'arts, de sciences...
Ils voulaient tout.
Esteban, passa sa main sur le ventre de Zia, qui la regarda droit dans les yeux et l'embrassa amoureusement, comme à chaque fois.
Un nouveau jour, deux nouvelles vies, trois nouvelles têtes.
Joyeux anniversaire Zia, et prends soin de ton fils, aime-le comme le soleil et toi le font avec Esteban.
Vis un nouveau jour.
FIN.
Modifié en dernier par Raang le 28 mai 2017, 17:39, modifié 2 fois.