FANFICTION COLLECTIVE : Tome 2

C'est ici que les artistes (en herbe ou confirmés) peuvent présenter leurs compositions personnelles : images, musiques, figurines, etc.
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Ra Mu
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Re: FANFICTION COLLECTIVE : Ecrivains-Dessinateurs-Photomonteurs

Message par Ra Mu »

nonoko a écrit : 03 févr. 2017, 13:25 Oui, mais la bière, j'y connais rien, je laisse ça aux spécialistes, je vais pas me risquer sur ce terrain mousseux et glissant..
Affligem, brassée depuis le moyen âge, et surtout l'Orval, Abbaye chouchou de Charles V. :-@
- On s'est tout de même embrassés, cela ne signifie donc rien?
- HEIN? T'as embrassé Ambrosius?
- *soupir* Allez, déblaie!
HOP HOP HOP! :x-):
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nonoko
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Re: FANFICTION COLLECTIVE : Ecrivains-Dessinateurs-Photomonteurs

Message par nonoko »

Petite livraison du jour bientôt (et sans bière, du moins pour l'instant..)
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Seb_RF
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Re: FANFICTION COLLECTIVE : Ecrivains-Dessinateurs-Photomonteurs

Message par Seb_RF »

Chapitre 4

En chemin vers le condor, Mendoza leur expliqua la route à suivre pour gagner les Pays-Bas, où se trouvait actuellement Charles Quint. Vu les frictions actuelles avec le roi de France, contre lequel il menait une guerre depuis 1542, il y avait de fortes chances pour qu’il soit en campagne on ne savait où, mais s’ils se rendaient au château du Coudenberg à Bruxelles, le siège officiel du pouvoir sur la région, ils avaient sûrement une chance de le trouver, ou d’apprendre où il était exactement.
Ils avaient convenu qu’Esteban piloterait le condor à l’aller, mais Zia avait insisté pour prendre les commandes au retour. « Je vois, la confiance règne ! » S’était exclamé Esteban pour détendre l’atmosphère, mais sa plaisanterie n’avait fait rire que lui. Tao était resté dans le cockpit pour lui tenir compagnie, car Mendoza avait exprimé le souhait de se reposer un peu, et Zia s’était éclipsée avec Isabella sous prétexte de préparer l’entrevue. Esteban l’avait laissée faire : de toute façon, c’est lui qui mènerait l’entretien au final.
Ils volèrent au-dessus de la péninsule ibérique durant cinq bonnes minutes, puis survolèrent les Pyrénées, qui étaient un très bel endroit selon Zia, et enfin passèrent au-dessus de Perpignan, en France.
Esteban eut un léger pincement au cœur en survolant ce pays, patrie de la défunte famille des De Sarles, dont le dernier représentant, Arthur, avait essayé de restaurer l’honneur perdu par la faute de son plus vil membre, Ambrosius, de sinistre mémoire.
Pendant ce temps, Zia s’était installée dans la grande salle avec Isabella, mais elle ne savait comment aborder naturellement le sujet qui la préoccupait, sans éveiller la méfiance de son amie, dont elle connaissait le caractère ombrageux. C’était déjà un sujet délicat en temps ordinaire, mais si en plus Isabella en faisait un secret ! Mendoza lui faisait trop d’honneur en croyant qu’elle serait capable de régler la situation. Surprise de la voir muette alors qu’elle avait semblé vouloir lui parler, Isabella entama la conversation.
I : Alors, Zia, tu ne m’as pas fait venir ici pour continuer à évoquer tes souvenirs de la Cour d’Espagne. Tu voulais des conseils pour l’entrevue avec Charles Quint, c’est bien ça ?
Zia hésita, mais n’eut pas le courage de se lancer. Ils risquaient d’arriver assez rapidement, et elle ne savait pas quel tour allait prendre sa conversation avec Isabella. D’un autre côté, une pareille occasion ne se représenterait sans doute pas avant qu’ils soient revenus en Sardaigne.
I : On dirait que quelque chose te préoccupe…tu crains qu’Esteban ne fasse un faux pas ? Il est vrai que Charles Quint n’est pas Philippe, Esteban n’aura pas cette fois l’avantage de l’âge face à l’Empereur... mais il n’est pas si impressionnant, n’est-ce pas ? De plus, on le dit souffrant et las de son pouvoir.
Z : Dans mon souvenir, tout le monde à la Cour était impressionnant…
I : Tu étais bien jeune alors. Cela n’a pas dû être facile. Moi-même, j’ai été heureuse de pouvoir échapper à cette atmosphère étouffante. Un bon conseil : reste humble sans paraître soumise, ni te montrer obséquieuse, Charles Quint, comme tous les monarques, aime à reconnaître chez les autres ceux qui pourraient être ses égaux, s’ils n’étaient de rang inférieur. Mais je ne t’apprends sans doute rien, ta fierté et ta sérénité ont dû faire des merveilles autrefois, et je n’ai pas de leçons à donner à une descendante du peuple de Mu…
Z : Je crois que je peux me débrouiller en effet...
I : Alors si nous abordions franchement le sujet qui te préoccupe vraiment ?
Le ton d’Isabella était poli, mais ferme. Zia sentit qu’elle ne pourrait plus se dérober. Finalement, c’était aussi bien qu’Isabella prenne ainsi l’initiative.
Z : Eh bien…hier j’ai cru remarquer…
Si Isabella voulait jouer franc-jeu, autant y aller franchement, se dit Zia. Si la jeune femme cachait la vérité, une confrontation brutale était peut-être le meilleur moyen de la déstabiliser. Soit elle nierait farouchement, soit elle craquerait. Zia prit une profonde inspiration, consciente de la tempête qu’elle risquait de déchaîner.
Z : ...que tu étais enceinte.
Isabella resta de marbre, parfaitement immobile, sans même ciller, pendant quelques secondes qui parurent des heures à Zia, puis elle se cala lentement au fond de son fauteuil et croisa les jambes sans quitter des yeux son interlocutrice, qui parvint à rester elle aussi très calme. Sereine, Zia sentait monter en elle la force et la détermination qui lui manquaient jusque-là, et qui lui permettraient de maîtriser la situation, elle en était certaine à présent. Enfin Isabella se décida à répondre. Sa voix se voulait moqueuse, mais il était trop tard, sa première réaction l’avait trahie, et son ton sonnait faux.
I : En voilà une idée ! Et qu’est ce qui a bien pu te faire croire que c’était le cas ? Je n’ai pas l’impression que mon corset me serre trop pourtant...et si c’était le cas, je serais la première à m’en rendre compte, tu ne crois pas ?
Z : Bien sûr ... mais Mendoza pense que tu es enceinte. Il se fait du souci pour toi.
Isabella plissa les yeux et s’efforça de respirer plus lentement. Son pouls s’accéléra et sa poitrine se serra. Son assurance était en train de disparaître ; pour le cacher, elle feignit de prendre les dernières paroles de Zia à la légère et répliqua avec désinvolture.
I : Parce qu’il me trouve fatiguée, c’est ça ? Alors tu peux le rassurer, je ne suis pas…enceinte ! Et je vais parfaitement bien !
Z : Alors je pense que tu devrais le lui dire toi-même, parce qu’il est persuadé du contraire.
I : Te moques-tu de moi ? Moi, je devrais lui parler, alors qu’il t’envoie pour parler à sa place ? Et d’ailleurs, que veux-tu que je lui dise de plus ? Je n’arrête pas de lui dire que tout va bien ! Pourquoi ne me croit-il pas ?
Z : Parce qu’il t’aime, et qu’il se rend très bien compte que tu ne vas pas bien.
I : C’est ridicule ! Vous vous faîtes des idées tous les deux ! Alors c’est pour ça qu’il tenait tant à vous accompagner et qu’il a laissé en plan ce pauvre Gonzales ? Pour que tu me fasses cracher le morceau ? Ecoute-moi bien Zia, tu peux aller lui dire qu’il s’est trompé, puisqu'il n’ose pas aborder lui-même le sujet avec moi, et qu’il semble croire que je lui mens !
Elle commençait à s’emporter, mais Zia était décidée à vaincre sa colère.
Z : Très bien. Je ne sais pas quelles raisons te poussent à vouloir lui cacher la vérité, à lui fermer ton cœur et ton âme, mais je suis sûre d’une chose : cet enfant que tu portes en toi, c’est votre enfant, à tous les deux. Tu n’es pas seule, Isabella, tu n’as pas à assumer cette situation seule.
I : Et pourquoi pas ? Je me suis toujours très bien débrouillée toute seule ! Je n’ai de conseils ni d’ordres à recevoir de personne, et sûrement pas de toi !
Z : Alors explique-moi juste pourquoi tu ne t’es pas débarrassé de l’enfant ? Pourquoi l’avoir gardé ? Tu pouvais te débrouiller pour l’éliminer s’il te gênait tant ! Tu dois t’y connaître en plantes aussi bien que moi, certaines sont radicales contre ce genre de désagrément !
I : Tais-toi !
Z : A moins que tu ne comptes te débarrasser de l’enfant après l’accouchement, mais j’avoue que je n’en vois pas l’intérêt, mais tu as tes raisons, sans doute ... cela risque de poser plus de problèmes…
I : Comment oses-tu ! Vas-tu te taire !!
Z : C’est toi qui hurles, tu vas inquiéter Mendoza…
I : qu’il aille au diable, et toi aussi ! Laisse-moi !
Z : Non, je ne te laisserai pas, et lui non plus. Tu as déjà accepté en toi cette nouvelle vie, même si tu luttes encore contre cette évidence. Tu as abdiqué ta liberté, tu as lié ta propre vie à celle de ton enfant, accepte aussi que nous te soutenions !
I : Que vous me souteniez ! Mais vous ne pouvez rien, absolument rien pour moi ! Et je n’ai pas besoin de vous ! De votre sollicitude, de vos petites attentions, de votre tendresse fade ! Oui, je porte la vie, et je risque d’en mourir, alors laissez-moi garder le contrôle de ma vie tant que je le peux encore !
Elle s’arrêta, haletante et comme égarée. Zia jugea alors qu’il était temps d’arrêter là la confrontation, sans quoi les émotions risquaient de submerger Isabella. Elle se leva, s’approcha de la jeune femme, prit ses mains dans les siennes et les tira doucement pour l’inviter à se lever elle aussi. Isabella tressaillit, tenta de résister, mais devant la calme détermination de la jeune mueenne, elle céda. Zia l’enveloppa alors de ses bras et Isabella s’abandonna à son étreinte apaisante. Elle ressentait au plus profond d’elle-même la force qui émanait de son amie et qui détendait tout son être, dénouant ses tensions et la plongeant dans un état semi-hypnotique. Son pouls se ralentit, sa respiration retrouva sa régularité. Elle entendit Zia murmurer à son oreille.
Z : Il est temps de parler à Mendoza, tu ne crois pas ?
Quelques instants plus tard, Zia rejoignit Esteban et Tao. Elle avait laissé Isabella seule dans la grande salle. Son rôle était terminé, du moins pour le moment. Il ne restait plus à Isabella qu’à faire le premier pas, et à cesser de jouer la comédie. Le ferait-elle ? Zia n’en doutait plus, même si cela ne serait pas facile. Elle savait qu’attendre son premier enfant pouvait être une expérience déstabilisante pour une femme, mais elle n’avait jamais été confrontée à cette réalité, et elle-même n’avait jamais envisagé la naissance d’un enfant que comme un événement heureux. Pourtant elle connaissait les risques, et savait que la mère et son enfant étaient destinés à traverser une épreuve qui pouvait laisser l’un ou l’autre, et même les deux, sur les rives de la mort. Elle n’aurait jamais imaginé qu’une femme telle qu’Isabella recule devant une telle épreuve, elle qui avait tant de fois vu la mort de près et n’avait jamais hésité à mettre sa vie en péril. On ne connait jamais vraiment les gens, songea-t-elle. Il avait suffi d’une conversation pour que son regard sur Isabella change. Et ce n’était pas la première fois…les êtres que nous côtoyons, que nous aimons même, seraient donc voués à rester des mystères pour nous, et sans doute pour eux-mêmes ? C’est la tête emplie de ces réflexions qu’elle s’assit aux côtés d’Esteban. Le ciel lumineux du Sud avait laissé place à un ciel plus laiteux, à la luminosité plus diffuse, qui donnait au paysage une atmosphère étrange, presque irréelle.
Z : On arrive bientôt ?
E : Oui, je pense. Si tu pouvais prévenir Mendoza, j’aimerais bien savoir où me diriger à présent. A quoi ressemble donc cette ville de Bruxelles ?
Z : Aucune idée.
M : D’après les plans que j’ai pu en voir, elle ressemble à une goutte d’eau à double rempart. Et nous ne devrions pas en être loin.
E : Mendoza ! Tu m’as fait peur ! Comment as-tu su...je croyais que tu te reposais !
M : Que veux-tu, j’avais calculé approximativement notre temps de trajet, et comme j’ai une horloge naturelle dans la tête…
Z : Regardez ! On aperçoit une ville là-bas !
T : En forme de goutte d’eau ? Ils l’ont fait exprès ou quoi ? Parce que j’ai l’impression qu’il ne fait pas souvent beau par ici, avec un peu de chance on va rester coincé sous ce ciel bas qui ne me dit rien qui vaille..
E : Ne parle pas de malheur, tu sais bien qu’on doit ramener Mendoza et Isabella en Sardaigne dès demain !
T : Bah, au pire tu utiliseras tes pouvoirs et on se sauvera avant que l’Empereur ne décide de nous brûler en place publique pour sorcellerie…
Z : Arrêtez, vous deux, je vous rappelle que c’est vous qui avez voulu venir !
M : Ne t’inquiète pas, Zia, le ciel des Pays-Bas est très changeant, on aura bien un rayon de soleil pour repartir...Au fait, as-tu pu parler avec Isabella ?
T : C’est vrai ça, elle t’a donné de bons conseils ?
Z : Oui, oui, tout va bien se passer.
E : Peuh, évidemment que ça va bien se passer, puisque je suis là !
Zia ne put s’empêcher de sourire.
Z : Tu as raison. Je te fais entièrement confiance !
E : Ah, enfin !
Ils survolaient à présent la première ligne de remparts. Au loin, on pouvait apercevoir la deuxième ligne, à l’intérieur de laquelle se dressait la colline qui dominait la ville et sur laquelle était construit le château du Coudenberg.
M : Esteban, le château est là-bas !
E : Oui, et on dirait que cette fois il y a plus de place pour se poser … on a l’embarras du choix : alors Zia, tu choisis quoi ? La cour intérieure, la cour extérieure, le jardin, le parc ?
Z : Devant les escaliers monumentaux, là-bas, on va essayer de ne pas s’inviter au beau milieu du château comme la dernière fois, ça ne se fait pas...
E : D’accord, c’est toi qui connais mieux les usages de la Cour…
Pendant qu’Esteban entamait les manœuvres d’approche, Tao se tourna vers Zia.
T : Zia, tu es vraiment sûre de vouloir y aller ? Après tout tu as été prisonnière à la cour d’Espagne pendant plusieurs années …tu ne dois pas te sentir obligée de revoir cet homme…
Z : Je te remercie Tao, mais c’était il y a longtemps, ça a été très dur c’est vrai, mais au moins la femme à qui Pizarro m’avait offerte était quelqu’un de bien, elle me laissait assister à presque tous les événements, pour me distraire, et m’apprendre les convenances aussi, même si je n’y prêtais guère attention ; j’essayais juste d’obéir et de me faire oublier ... et je profitais du spectacle que m’offrait cet étrange monde qui était le tien, Esteban. Qu’est-ce que j’ai pu en voir des choses depuis ce balcon à Barcelone ! Ses filles aussi étaient gentilles avec moi, malgré leurs jeunes âges, elle les avait bien éduquées.
Esteban se mit à rougir.
Z : Que t’arrive-t-il Esteban ?
E : Non, rien je pensais juste que c’est à un de ces moments que je t’ai vue pour la toute première fois…
Zia rit légèrement en posent la main sur l’épaule de son fiancé.
Z : C’est vrai, c’était à la fête du port en 1532, on t’avait affublé d’une tenue ridicule avant de te hisser en haut du mat pour appeler le Soleil…
E : Il n’y a rien de drôle, ils ont failli me tuer ce jour-là, ils savaient pourtant que j’avais le vertige à cause de leurs idioties !
Tao rigolait franchement.
T : J’aurais bien voulu voir, ça ! Mais ça n’a plus d’importance, aujourd’hui tu es guéri de cet affreux vertige !
Z : C’est vrai, et pour répondre à ta question Tao, de toute façon venir lui faire comprendre de nous ficher la paix est pour moi comme un moment de libération ultime de mon passé, ça ne va pas être facile mais ça doit être fait. Et toi, Esteban, je te remercie pour avoir pris cette initiative … après tout.
Il tourna la tête vers elle et lui sourit, reconnaissant lui aussi.
note serie:
MCO1: 18/20

Trahison/Insulte totale:
MCO2: 7/20
MCO3: 4/20
MCO4: 3/20 (et je suis "gentil" par ce qu'il y a les effets visuels)

Fanarts: viewtopic.php?f=14&t=2301 :x-):
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Message par Akaroizis »

Le petit rappel de Zia à la cour, le sang-froid légendaire de Zia, le tempérament d'Isabella... Tout ce mélange donne un merveilleux cocktail de rêves et de bonheur ! Continuez ! Faut savoir ce que mijote ce Gonzalo !
Le présent, le plus important des temps. Profitons-en !

Saison 1 : 18.5/20
Saison 2 : 08/20
Saison 3 : 12.5/20
Saison 4 : pas pire que la 3ème, mais pas mieux... quoique...


Ma présentation : viewtopic.php?f=7&t=80&p=75462#p75462
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Re: FANFICTION COLLECTIVE : Ecrivains-Dessinateurs-Photomonteurs

Message par nonoko »

Gonzales! :x-):
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Message par Akaroizis »

Je sais mais c'est le diminutif que je lui ai donné :x-):
Le présent, le plus important des temps. Profitons-en !

Saison 1 : 18.5/20
Saison 2 : 08/20
Saison 3 : 12.5/20
Saison 4 : pas pire que la 3ème, mais pas mieux... quoique...


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Re: FANFICTION COLLECTIVE : Ecrivains-Dessinateurs-Photomonteurs

Message par nonoko »

Akaroizis a écrit : 04 févr. 2017, 20:33 Je sais mais c'est le diminutif que je lui ai donné :x-):
Je vois je vois, c'est fort bien trouvé! :x-):
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Re: FANFICTION COLLECTIVE : Ecrivains-Dessinateurs-Photomonteurs

Message par Ra Mu »

nonoko a écrit :E: Oui, et on dirait que cette fois il y a plus de place pour se poser … on a l’embarras du choix : alors Zia, tu choisis quoi ? La cour intérieure, la cour extérieure, le jardin, le parc ?
Z : Devant les escaliers monumentaux, là-bas, on va essayer de ne pas s’inviter au beau milieu du château comme la dernière fois, ça ne se fait pas...
:lol: :x-):

Je suggère près d'une brasserie, menfin, on est à Bruxelles!
Au menu: frites à la belge cuites en deux temps dans la graisse de bœuf et une bonne gueuze. (Je précise que c'est une bière, sinon Laguerra va assommer son compagnon à grand coup de traversin).

En espérant que Charles V ne va pas leur poser un lapin.
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Re: FANFICTION COLLECTIVE : Ecrivains-Dessinateurs-Photomonteurs

Message par nonoko »

t'inquiète, j'ai déjà écrit un petit clin d'oeil pour toi dans la suite... ;)
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Re: FANFICTION COLLECTIVE : Ecrivains-Dessinateurs-Photomonteurs

Message par Seb_RF »

Modifié en dernier par Seb_RF le 24 févr. 2017, 23:08, modifié 2 fois.
note serie:
MCO1: 18/20

Trahison/Insulte totale:
MCO2: 7/20
MCO3: 4/20
MCO4: 3/20 (et je suis "gentil" par ce qu'il y a les effets visuels)

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