-Quoi? Je vais remonter dans votre estime dès l’instant où j’aurai vomi mes tripes par-dessus bord ?

: C’est pas impossible…
La "cuisson" à point!
Un petit florilège: on s'en fout! Cons d'Espagnols, la lui "faire à l’envers"...
Une petite marquise avec laquelle il avait longuement conversé plus tôt dans la journée, saurait lui apporter le réconfort dont il avait besoin. Et s’il savait s’y prendre, peut-être que ses deux dames de compagnie feraient aussi partie de la nuit.
WAOUH! Il est chaud, le Mendodo!
Quand on pense qu'il ne sait déjà pas garder Isabella Laguerra à ses côtés!
A cette heure il était encore entre les bras, ou les jambes, de sa dernière conquête.

J'ai une image qui me vient à l'esprit et je n'arrive plus à m'en défaire... je devrais peut être arrêter les photomontages (je te l'enverrai en MP).

: Tu fais la gueule ?
-Non.

: C’est bien imité pourtant.

J'adore tes répliques. Elles sont très drôles.
Calmèque prenait conscience de la merde dans laquelle ils se trouvaient.

Tu m'étonnes! Ça poque du derche, mais violent!
-Vous avez pas plus lourd ? Non parce que celle-là elle fait deux fois mon poids.

: Démerde-toi.

La brindille ne sait plus porter un cure-dent!
Rien n’égalait cette impression de liberté qu’offrait l’Océan à qui savait le comprendre. Et Mendoza aimait le bruit des voiles dans le vent, l’odeur des embruns et du sel, l’immensité de l’eau qui savait le calmer quand son cœur débordait d’émotions, le mystère des profondeurs cachés sous la coque, les coups de gueule de l’Océan, sa force et son implacabilité et puis… le plaisir de regagner un port après une longue traversée…
La Mer le rappelait toujours. Où qu’il soit.

C'est tellement beau que j'en ai la larme à l'œil.
Ces brutes abuseraient d’elle sans relâche jusqu’à ce qu’ils la revendent et qu’elle finisse sa vie dans la puanteur d’un bordel quelque part sur une île au large de nulle part, repère de flibustiers entre deux traversées. Elle deviendrait une putain exotique dont les marins raffolent. Cette pensée lui fila la chair de poule.

Une jolie fin pour cette
SAL**E!
Elle était un peu secouée. Mais l’idée était bonne. Si on la retrouvait à bord du bateau pirate, on la prendrait pour une prisonnière et… elle pourrait réintégrer La Myrta officiellement.

C'est qu'elle est futée, la crevette!
Dans le registre du labrador battu, elle faisait fort.

Normal pour une chienne!
Les corps de l’équipage de La Myrta se verraient quant à eux, offrir un office religieux avant d’aller tailler une bavette avec le plancton.
J'ADORE!
Les fautes corrigées (car maître Capello aime ça).
CHAPITRE 4.
...ses nerfs commençaient à
(pas de "la") lâcher après plus de 34 jours de mer
(s), de privations et de peurs.
Calmèque lu
ttait pour garder un minimum de lucidité...
-Vous prenez vos désires pour des réalités…
pas de "e" à désirs.
Il tendit le bras et la saisit. La relu
t.
CHAPITRE 5.
...et c’est avec un rare plaisir qu’elle lu
t la missive.
Si j’étais restée là-dedans cette nuit, je me serais faite be
cquet
er par les rats !
Elle le vit chipoter quelques minutes avant d’insérer une des planche
s dans la cache...
Il s’apprêtait à entendre ton
ner les canons.
Certains navires se débarrassaient de leur armement afin d’alléger leurs ca
les et pouvoir embarquer plus de trésors...
Le navire des pirates était à présent presque à porté de tir
s, mais pas encore dans la bonne position.
Il se mit en garde et coupa autant de cordages qu’il pu
t, ce qui mit quelques pirates à l’eau.
Les premiers pirates parvenant à mettre un pied sur la nef furent accueillis par une ma
rée humaine déchaînée...
CHAPITRE 6.
Quand il eut occis sans difficulté un pirate déjà à moitié mort qui arriva à sa portée
, il échangea un salut de la main avec un matelot...

Le verbe occire ne se conjugue pas au présent.
Dès qu’elle fut dehors, il tapa du pied dans les planches qui barraient l’accès au reste de l’entre-ca
le jusqu’à ce qu’elles cèdent.
...à cet endroit, on pouvait voir le fond de la ca
le recouverte d’une épaisse grille de fer.
...et qui s’était enrôlé sous la bannière espagnole pour voi
r du pays alors qu’il venait d’Angleterre. « Thomas »… c’était il y a si longtemps.
L
e Capitaine Diaz vint à la rencontre de son Navigateur et de Jiménez.
Je n'ai qu'une chose à dire: c'est du Grand art! L'histoire est très bien écrite, il y a du suspense, les dialogues sont souvent à mourir de rire et l'avenir de Calmèque est toujours incertain. C'est un pur bonheur à lire.
Vivement la suite!