Épisode sympa, bien mené et riche en actions - mais un peu trop cartoon à mon goût...
Les modulations de voix d'Ambrosius, dans l'épisode précédent notamment, nous préparaient à ce grand retour de Zarès.
L'affrontement Zarès/Esteban/Itchiro dans la forêt est bien vu puisqu'il place un double-échec devant un ennemi puissant : Esteban rend la boussole et perd le message de Mendoza. Et ça glisse un beau suspens pour la suite (à quel point leurs plans peuvent capoter?!).
Quelle est belle notre petite Zia, dans la lumière de la pleine lune, les cheveux dans le vent...
J'ai trouvé ça sympa d'introduire sa nostalgie de son petit village des Andes. Notre nostalgie à nous est réveillée aussi, et ça donne de la profondeur au personnage. Par contre, l'intrigue amoureuse - je suis pas vraiment preneur.
Mendoza a définitivement la classe dans son rôle d'aventurier enfin de retour.
Bref, ça le fait. Ma note : 6/10
Le "TOO MUCH EFFECT" : Zarès et ses bonds vertigineux qui ne brisent pas la moindre tuile. Zarès qui se déplace sans faire de bruit. Zarès qui flotte au-dessus d'un toit (il lévite ou quoi?). Zarès qui se déplace à la vitesse de l'éclair. Vu le poids de son exosquelette mécanique, c'est totalement incohérent ! A la limite, ça aurait été plus crédible qu'il se déplace en volant ou en lévitant - c'est pour dire ! Léger ou lourd, va falloir choisir - d'autant que dans un des épisodes suivants
un de ses bonds génère une sorte de cratère sous ses pieds !!!