FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

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Anza
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

Un pop-up est un autre mot pour "notification" mais genre intempestif.

Def : fenêtre qui s'affiche, sans avoir été sollicitée par l'utilisateur, devant la fenêtre de navigation principale lorsqu'on navigue sur Internet.


Et Pop-Up, comme tu vas le comprendre, a tendance à "faire ça"... ;)
8) Fane absolue de la 1ère saison, certes imparfaite, mais avec tant de qualités qu'on peut lui passer beaucoup de choses !
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

Impossible de trouver le sommeil, Tyrias observait le sommier à ressorts situé au-dessus de lui et qui grinçait à chaque mouvement du Caporal. Ce n’était pas le bruit ou l’inconfort qui étaient à l’origine de son insomnie, quoi que ça n’arrangeait rien, mais plutôt qu’il ressassait encore et encore, dans sa tête, les étapes de leur plan, à lui et à Rana-Ori.

Il n’avait pas choisi cette garnison pour jouer les surhommes, loin de là, mais précisément parce qu’elle était près de la frontière avec les territoires müens. Et vu les pertes et disparitions qu’en registrait cette garnison, il lui serait facile de filer à l’Anglaise, lors d’une bataille, et de passer pour mort, le cadavre pulvérisé par un obus solaire. Le plan était parfait. Une fois de l’autre côté de la frontière, Rana-Ori lui avait promis que des sympathisants viendraient le récupérer pour l’emmener auprès d’elle, en lieu sûre. De là, ils pourraient œuvrer de concert, faisant jouer leurs relations, afin d’essayer de mettre fin à cette guerre inepte.

Le cœur serré, Tyrias serra son point. Dans sa main, se trouvait son petit holoprojecteur avec des représentations de Rana-Ori. Il mourrait d’envie de les regarder pour se donner du courage et trouver la force de ne pas craquer, mais c’était trop risquer, un de ses compagnon de chambré pouvait le voir, et s’ils découvraient son identité… le Commandant de la garnison avait raison : il ne se ferait pas que des copains.

Il revoyait en pensées les images de la journée. Ca l’avait salement secoué. Avoir conscience qu’il était un nanti était une chose, mais le toucher du doigt en était une autre. D’un regard circulaire, il observa, dans la pénombre, les deux jeunes soldats qui dormaient à moins d’un mètre de lui. Ces jeunes gens, au prétexte de n’être que des sous-castes, autrement dit des « mal nés », étaient sacrifiés sans le moindre remord par des bureaucrates et des politicards qui n’avaient jamais mis les pieds dans leur enfer. C’était intolérable, il fallait qu’il mette fin à tout ce gâchis !

Au-dessus de lui, le Caporal s’était retourné dans son sommeil et les grincements du sommier métallique ramenèrent Tyrias sur le plancher des vaches. C’était bien beau son plan, mais encore fallait-il ne pas vraiment se faire tuer sur le champ de bataille.

Pour se calmer, il inspira et expira plusieurs fois.

« De toutes façons, là, tout de suite, je ne peux rien faire, donc mieux vaut essayer de dormir un peu. »

Il ferma les yeux, résolu à trouver un peu de repos, essayant de repousser tous ses doutes, peurs et révoltes loin de son esprit, tentant d’oublier l’expression du visage de sa mère, tandis qu’il peinait à la rassurer avant son départ.

"Elle serait anéantie en apprenant son décès."

Et pour la énième fois, il se jura de lui faire savoir qu’il était en vie au plus vite dès qu’il serait en sécurité sous la protection de son amante.
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

Ca ne faisait que deux nuits qu’il dormait sur ce vieux sommier à ressorts, mais son dos le lui faisait déjà payer et Mitard avait du mal à émerger, tant son sommeil avait été peu récupérateur.

Pop-Up bondit, sorti de nulle part, à la hauteur du visage du Caporal.

– Faut se magner, paraît que c’est le Commandant qui nous passe en revue ce matin.

Le Caporal fit la grimace et tenta de se soustraire à une attaque invisible.

– Putain ! Pop ! Lave-toi les dents avant de parler aux gens, c’est criminel !

L’autre souffla dans sa main pour se faire une opinion personnelle et fit une moue d’acceptation.

– Ha oui, un peu faisandé.

L’étage en-dessous, Tyrias était témoin de ces chamailleries, un sourire ému aux lèvres. Ces gars se savaient en sursis, pouvant mourir à chaque instant, et ils trompaient leur peur en faisant comme si la mort n’était pas à leur porte. Une sorte de déni dans une pantomime de bonne humeur. Ou alors avaient-ils accepté leur sort, résignés, évitant d’y penser, simplement ?

Biscotte, quant à lui, s’était retourné face au mur et avait recouvert sa tête de sa couverture. Mitard descendit de sa couchette et lui fila un coup d’oreiller tout en baillant.

– Bouge-toi, vieux, si t’es pas à ton poste à l’heure, je te couvrirai pas comme la dernière fois !

Un « mmmmmmmmm » proche du grognement de mécontentement émergea de dessous les draps.

– On est d’accord, acquiesça le Caporal.

Ce dernier se tourna vers Tyrias et constata avec étonnement qu’il était déjà en uniforme. En voilà un, au moins, qu’il ne devrait pas houspiller tous les matins. Et La jeune recrue lui sourit avec cette bonhomie qui lui était caractéristique.

– Lavé et tout, Roméo ? interrogea le Caporal.

– Je sens la rose, assura Tyrias.

– Merveilleux !

Après leur petit déjeuner, dans un réfectoire bondé et pourtant incroyablement silencieux, on se serait cru dans une bibliothèque, la garnison fut regroupée au grand complet dans la cours interne de la caserne. Quatre mille hommes dans les yeux desquels se lisait principalement de la lassitude. Le ciel était bas et rougeâtre, comme à son habitude, conséquence des armes solaires qui avaient modifié l’atmosphère et permis aux longueurs d’ondes les plus basses du spectre visible (donc les rouges) de s’imposer en maîtres, donnant à tout une teinte oscillant continuellement entre le grenat et la terre de sienne. Il faisait aussi chaud et moite, de ces chaleurs désagréables qui font coller les vêtements à la peau et ne permettent à rien de sécher correctement.

Tout le monde était tendu, ce genre de rassemblement n’auguraient jamais rien de bon.

– On va encore nous envoyer au casse-pipe, maugréa Biscotte, qui n’était clairement pas du matin.

– Et en grandes pompes en plus, ajouta le Caporal. Ca sent les grandes manœuvres.

– Vous croyez qu’une bataille se prépare ? questionna Tyrias, un poil inquiet.

– Ca ou autre chose, de toute façon, toutes ces conneries n’ont aucun sens, c’est comme si on était cantonné à de la figuration militaire, mais à balles réelles, déplora le Caporal.

Au bout du rang, le Sergent d’infanterie, un certain Shikoun (oui… nom bizarre…), tourna sa tête en direction de l’Unité 11, celle de Tyrias et de ses trois nouveaux amis. Et d’un pas lent, il remonta la rangée pour venir se poster devant le Caporal, l’air pas commode. Tyrias se raidit. A part lui, tout le monde savait très bien ce qui était sur le point de se passer. Le Sergent Shikoun avait, depuis longtemps, pris le petit Caporal en grippe et lui cherchait des noises à tout moment. C’était presque devenu une tradition.

– Une réflexion à nous faire partager, Caporal Calmèque ?

– Non Sergent, répondit l’autre en focalisant son regard sur les galons de son supérieur pour ne pas avoir à croiser ses yeux.

Il aurait pu s’arrêter là et l’incident aurait été clos, mais le Caporal était en conflit naturel avec l’autorité et il ne put s’empêcher d’ajouter :

– En tous cas, rien que vous ne soyez en mesure d’appréhender… mon Sergent…

Le Sergent d’approcha encore d’avantage du jeune officier, mettant à mal toute les règles de distanciations sociales.

– Je rêve où vous venez de me traiter de con ?

Court petit silence.

– Pure interprétation de votre part, mon Sergent, déclara le Caporal d’une voix claire et calme, je ne me permettrais jamais de dire ça tout haut.

On vit la mâchoire de Shikoun se serrer à outrance.

– Combien de fois vais-je devoir vous envoyer au trou pour vous apprendre le respect, Caporal ?

Calmèque ne répondit rien.

– Mais ça me ferait mal que vous restiez en sécurité au mitard pendant que vos camarades affrontent l’ennemi, surenchérit le Sergent.

Et il fit volte-face et partit rejoindre une estrade où le Commandant venait de se positionner. Ce dernier allait sûrement leur adresser un discours sur l’importance de leur rôle et la nécessité de leur sacrifice,… blablabla…

Un peu impressionné par ce qu’il venait de se produire, Tyrias s’adressa discrètement à son voisin de droite, Pop-Up.

– Il l’a manqué de peu.

– Oh, fit-t-il, ce n’est que partie remise, aie confiance, ironisa le soldat.

Au seuil d’une comédie dont plus personne n’était dupe, le Commandant finit par annoncer que les renseignements généraux avaient intercepté des messages codés destinés à coordonnées une attaques müenne prévue pour dans cinq jours, et que les troupes de l’ennemi, massées derrière la frontière, allaient tenter une percée décisive.

Des directives furent données et le Sergent Shikoun prit plaisir à venir prévenir la petite Unité 11, qu’ils étaient désignés volontaires pour une mission de reconnaissance, le soir même.

« C’est qui le con, maintenant ? » avait raillé le Sergent à l’attention du Caporal.


Un peu plus tard, silencieux, les quatre militaires se rendirent à l’armurerie pour y préparer leur paquetage et nettoyer leurs armes.

– C’est pas un peu idiot une mission de reconnaissance cinq jours à l’avance ? demanda Tyrias.

– C’est complètement débile, répondit Biscotte.

– Je suis désolé, accorda le Caporal, ce connard de Shikoun nous punit tous à cause de moi.

– Oh, fit Pop-Up, c’est pas comme si on ratait quelque chose, le menu de la cantine est le même tous les jours depuis six mois, au moins nos rations survie nous changeront !

Un petit rire crispé perla sur les quatre compagnons.

– N’empêche, cette guerre c’est n’importe quoi, se hasarda Tyrias.

Il était curieux de voir ce que ces trois militaires pensaient de ce conflit, eux qui y étaient plongés jusqu’au cou.

– Les guerres, commença Calmèque, prennent toujours leur source dans une petite rivalité entre des personnes de pouvoir et quand ces gens se crêpent le chignon, ça entraîne des nations… tout ça pour une broutille, une histoire de sous ou d’orgueil égratigné,… c’est forcément stupide. Mais on est rien pour ces gens-là. On est que des cul-terreux, la lie de notre société et nous envoyer nous faire sauter la cervelle en jouant au « Stratégo » dans les bureaux de l’Etat Major, ça leur pose aucun souci.

– Oui, poursuivit Pop-Up, je les imagine, le cul enfoncé dans des fauteuils de cuir, à boire un apéro en commentant les effectifs perdus, un cigare planté dans le bec pour finir par se raconter la dernière anecdote de leur week-end avec bobonne dans leur propriété du Lac de Kressy, où je-ne-sais-où…

Cette réflexion glaça le pauvre Tyrias de par sa terrible et implacable réalité : il avait passé son enfant dans la propriété familiale du Lac de Kressy...
Et un pesant silence accabla la scène un moment.

– Vous venez d’où ? demanda-t-il finalement, pour essayer d’alléger l’atmosphère.

– De Bleïné, un peu à l’est d’ici, mais la ville a été évacuée y’a des mois. Ma famille est dans un camp de réfugiés au centre, près d’Atlantis, répondit Pop-Up, toujours plus prompt que les autres à répondre.

– Eblirine, mais j’ai pas de famille. Du coup, j’ai pas ça à m’inquiéter, je peux crever tranquille ! déclara Biscotte dans une parodie de sourire.

Nouveau court silence.

– Et toi ? fit Tyrias en fixant le Caporal.

Ce dernier sourit de façon un peu étrange en terminant d’enfoncer un chargeur de minutions dans une arme de poing.

– Tout comme Mathias, répondit-il, personne dont il faille que je m’inquiète ! Et toi ? renvoya le Caporal en évitant, de cette manière, un peu la question.

Tyrias réfléchit un instant.

– Oh, Delia, mentit-il, un peu plus au Nord d’ici. Au moment des évacuations massives, ma famille a pu être accueillie par un oncle qui vit près d’Atlantis. Je peux pas me plaindre, conclut-t-il.

Il n’était pas fier de son mensonge, mais qu’aurait-il pu leur dire, à ces gars qui avaient perdu leur foyer, parfois bien pire. Qu’il était né le cul bordé de nouilles, à des milliers de kilomètres des conflits et qu’il faisait partie, d’une certaine façon, de ces connards, assis dans des fauteuils de cuir, décidant d’un revers de bras de la vie de milliers d’Atlantes en fonction de leur humeur ou de leurs intérêts personnels, en bougeant des pions sur une carte géante ?

A cet instant, il se sentit tellement minable qu’il aurait aimé disparaître, mais il se rappela que sa tromperie était faite pour une noble cause. Et il se reprit.

Il se remémora comment il avait rencontré Rana-Ori. C’était à un repas de dignitaires, organisés en hauts lieux, regroupant des hauts dirigeants des deux continents afin d’essayer de trouver un accord de paix. Ca n’avait nullement abouti, mais, traîné là par son père, il avait croisé la fille de l’Empereur de Mü, et le coup de foudre fut réciproque et instantané. Ils avaient ensuite passé la soirée à discuté de leur aversion commune pour cette guerre. Et de leur volonté d’y mettre un terme, s’ils en avaient un jour le pouvoir,…

Et c’est en toute clandestinité qu’ils avaient entamé leur relation, conscients, l’un et l’autre, que si ça venait à se savoir, ils pourraient être considérés comme des traitres.
Modifié en dernier par Anza le 28 juin 2021, 08:51, modifié 4 fois.
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par TEEGER59 »

Anza a écrit : 27 juin 2021, 17:09 – Putain ! Pop ! Lave-toi les dents avant de parler aux gens, c’est criminel !
:arrow: :lol:
Anza a écrit : 27 juin 2021, 17:09 – En tous cas, rien que vous ne soyez en mesure d’appréhender… mon Sergent…
Le Sergent d’approcha encore d’avantage du jeune officier, mettant à mal toute les règles de distanciations sociales.
– Je rêve où vous venez de me traiter de con ?
:arrow: Pour un con, il a compris! :x-):
Anza a écrit : 27 juin 2021, 17:09 – Oui, poursuivit Pop-Up, je les imagine, le cul enfoncé dans des fauteuils de cuir, à boire un apéro en commentant les effectifs perdus, un cigare planté dans le bec pour finir par se raconter la dernière anecdote de leur week-end avec bobonne dans leur propriété du Lac de Kressy, où je-ne-sais-où…
Anza a écrit : 27 juin 2021, 17:09 Qu’il était né le cul bordé de nouilles...
:arrow: :x-): :x-): :x-):
Anza a écrit : 27 juin 2021, 17:09 Et c’est en toute clandestinité qu’ils avaient entamé leur relation, conscients, l’un et l’autre, que si ça venait à se savoir, ils pourraient être considérés comme des traitres.
:arrow: Un peu, mon neveu!
:Laguerra: : AH! Comme on se retrouve!
:Mendoza: : Ma première leçon ne t'a pas SUFFIT?
:Laguerra: : Cette fois, tu ne t'en sortiras pas si FACILEMENT!
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

Merci Teeger ;)
Faut que tu saches que personnellement, je m'exprime réellement comme j'écris : mélangeant le beau Français et des phrases parfois très crues.
Ce grand écart m'a déjà été reproché...
Donc sorry pour ceux que ça pourrait choquer.
D'autre part, je sais que cette mini fic est beaucoup moins fouillée que mon autre "Au delà des Mers". Je la voulais comme une sorte de longue nouvelle.
Du coup, je ne m'attarde pas trop et j'essaye d'avancer ds l'histoire.
J'espère que ce style un peu "facile" voir "expédié" n'est pas trop problématique.
J'avais juste une trame en tête que je voulais coucher sur papier et partager pour ceux que ça intéressent.
Bizzzz aux lecteurs.
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par TEEGER59 »

Bah pour un style "un peu facile" et "expédié" comme tu dis, c'est vachement bien écrit!
:Laguerra: : AH! Comme on se retrouve!
:Mendoza: : Ma première leçon ne t'a pas SUFFIT?
:Laguerra: : Cette fois, tu ne t'en sortiras pas si FACILEMENT!
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

TEEGER59 a écrit : 27 juin 2021, 22:27 Bah pour un style "un peu facile" et "expédié" comme tu dis, c'est vachement bien écrit!
C'est gentil Dame Teeger :)
Ca me rassure que mon manque de peaufinage de se remarque pas trop.
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Atlanta »

Anza a écrit : 28 juin 2021, 08:50
TEEGER59 a écrit : 27 juin 2021, 22:27 Bah pour un style "un peu facile" et "expédié" comme tu dis, c'est vachement bien écrit!
C'est gentil Dame Teeger :)
Ca me rassure que mon manque de peaufinage de se remarque pas trop.
non pas du tout, je te rassures ! et magnifique !
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Atlanta »

et la suite ??????
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Message par Atlanta »

LA SUITE !
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