FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

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Anza
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

Atlanta a écrit : 25 juin 2021, 08:51 et j'aime trop sa description !
Le plus chiant qu'on aie ! :tongue: :lol:
Ca lui correspond bien :lol:
8) Fane absolue de la 1ère saison, certes imparfaite, mais avec tant de qualités qu'on peut lui passer beaucoup de choses !
Perso préféré : Calmèque, cherchez pas, mon psy a jeté l'éponge ! MDR

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Atlanta
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Atlanta »

oui. le plus bizzard, aussi
Man sieht nur mit dem Herzen gut. Das Wesentliche ist für die Augen unsichtbar Le petit prince, le renard
Il n'est pas venu le jour où une femme me donnera des ordres !
:Gaspard: Et bien si justement ! Il faut une première à tout !
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Anza
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

NOTE DE L'AUTEUR : j'ai pris le parti de glisser des références anachroniques, telle que Shakespeare ou autres. Je sais fort bien qu'en toute logique, les Atlantes ne connaissent pas ces références, mais c'est un parti pris, une licence poétique comme diraient certains. Et j'assume ;)

____________________________________________________________________________________________

Intimidé, Tyrias fixait le sol, tenant entre ses bras ses maigres bagages, un sac de toile de couleur noire. Accompagné du Caporal, ils évoluaient dans la caserne depuis cinq minutes. Ils n’avaient pas échangé un mot et notre Atlante, de nature un peu effacée, se sentait très mal à l’aise.

Soudain, au détour d’un couloir, le Caporal sortit enfin de son silence.

– Ici, dit-il, en entrant dans une vaste pièce d’où provenaient des gémissements, c’est l’infirmerie. L’hôpital le plus proche est à plus de deux cent kilomètres, donc les blessés très graves y sont envoyés et pour les autres, on fait de notre mieux, un médecin vient deux fois par semaine.

– C’est tout ? s’indigna Tyrias. Vous n’avez aucun médecin en poste ?

Le Caporal lui lança une mine désabusée.

– Aucun médecin ne veut être parqué dans ce trou et je peux les comprendre. On est déjà bien content d’avoir quelques infirmiers à demeure.

Médusé, Tyrias avait l’impression de visiter un dispensaire du Tiers-Monde. Il balaya des yeux le spectacle affligeant des lits dégoutants, des civières de fortune, de la masse de blessés, souvent brûlés, reliés à des perfusions et couverts de bandages suppurants,… il faillit tourner de l’œil, et le Caporal s’en rendit compte mais ne fit aucun commentaire. Ils poursuivirent donc leur visite. A l’infirmerie succéda la cantine, les salles d’entraînement et, enfin, les dortoirs, situés dans l’aile la moins exposée, si on pouvait, toutefois, considérer qu’à moins de dix kilomètres de la frontière müenne, il existait des endroits « moins exposés ».

Autrefois, Mü et Atlantide étaient deux continents distincts, mais les conflits s’enlisant depuis près d’un siècle, Atlantide avait petit à petit perdu du terrain et une partie de ses territoires sud avaient été envahis et annexés par l’Empire de Mü. Tiennsy était la dernière ligne de défense sur ce front déserté et l’ensemble de la population atlante avait été évacuée vers le centre du continent. Quelques millier d’hommes laissés là plus par bravade que par réelle efficacité. Si Mü décidait de forcer le passage, la garnison de Tiennsy ne pourrait rien empêcher.

Mais pour l’heure, L’Empire ne semblait pas vouloir avancer davantage dans les terres de son ennemi, et les deux factions s’observaient comme des chiens de faïence, lançant tour à tour des petites attaques éclaires, plus destinées à user les troupes qu’à les anéantir.

Une fois le tour des installations fait, le Caporal mena le nouveau à leur chambre, pour qu’il puisse prendre ses marques. Quand il ouvrit la porte, Tyrias découvrit deux autres jeunes gens couchés sur des lits étroits dans une pièce minuscule. L’un d’eux fumant un truc dont l’odeur était très dérangeante.

– Putain, Bis’ ! s’exclama le Caporal en traversant la pièce rikiki en deux enjambées pour atteindre le fond et ouvrir une fenêtre qui ressemblait plus à une meurtrière. Je t’ai déjà demandé d’ouvrir un peu quand tu fumes ta merde. Que tu veuilles te tuer par fumigation, c’est ton problème, mais épargne-nous !

Le concerné se fendit d’un sourire bienheureux.

– T’as tort, Cal, ça te détendrait un peu.

Et il lui tendit le pétard.

– T’en veux ?

Le Caporal coula vers lui un regard un peu désabusé.

– Eteints-moi ça !

Le fumeur n’insista pas.

C’est à cet instant, que l’autre occupant des lieux sembla réaliser que le Caporal n’était pas seul. Ce dernier toisa Tyrias sans ménagement avec une profonde circonspection.

– Un nouveau ?

– Oui, souffla le Caporal, et il va dormir dans cette chambre.

Les deux autres occupants bondirent sur leur couchette dans un « hein ! » d’indignation.

– Mais c’est un blague, c’est déjà une cellule prévue que pour deux à la base et on est trois !

– Je sais ! cassa le Caporal d’un ton péremptoire. Et c’est pas mon idée ! Mais va falloir qu’on se pousse !

Tyrias percevait bien que sa présence était source de crispations et, se sentant de trop, mû par son habituelle tendance à la conciliation, il proposa de trouver une place ailleurs, pour ne pas les déranger.

– Parce que tu crois que tu vas faire le tour des chambres et choisir celle qui te plaît ? ironisa le Caporal.

Les deux autres rirent sous cape tandis que l’officier, qui était plus petit que lui d’une bonne demi-tête, lui ordonna de poser son paquetage et de l’accompagner pour lui trouver un lit. Tyrias s’exécuta sans dire un mot et ressortit avec le petit homme.

– Bon alors, fit brusquement le Caporal alors qu’ils cheminaient vers la réserve dans l’espoir d’y dégoter un lit superposer, vu l’exigüité de leur chambre, impossible de faire autrement, tu viens d’où, Menkine ?

Le grand Atlante châtain clair lui lança un regard hésitant. Mais il lui répondit ce qu’il avait prévu de raconter afin de ne pas révéler son identité.

– Une garnison aérienne, basée au centre, mentit-il.

– Oh ! fit le petit blond. Tu es pilote ?

Effectivement, Tyrias avait une formation de pilote, mais il n’avait jamais eut à monter dans un cockpit pour livrer bataille. Il avait fait ses classes dans une prestigieuse académie militaire pour les castes supérieures, et en était ressorti bardé de félicitation pour son assiduité et son sérieux. Il avait étudié les grands noms de l’histoire militaire, l’art de la stratégie, ainsi que la politique, mais ses connaissances se limitaient à la théorie, et il avait la sensation qu’il ne ferait pas illusion très longtemps dans ce décors.

– Oui, répondit Tyrias. J’ai une formation de pilote.

– Cool ! fit l’autre, admiratif. Mais ça te servira pas à grand-chose ici, j’en ai peur. Notre dernier appareil s’est craché y’a trois ans et on n’a pas été foutu de nous en fournir de nouveaux. On est vraiment les laissés pour compte de cette guerre de merde, siffla le Caporal sur un ton de ressentiment.

Il détailla Tyrias de ses yeux bleus ciel.

– Cartes sur table ! annonça-t-il. Y’a que deux types de gars dans cette garnison du bout de l’enfer : des sous-castes, qui n’ont pas eu d’autres choix que de venir où on les a affectés, ou… des gars envoyés ici parce qu’ils ont fait une monstrueuse connerie, en mode : punition ultime.

Vissant ses prunelles azures dans celles de Tyrias, l’officier reprit.

– Alors ? Vu que tu n’es, de toutes évidences, pas un gars du coin, t’as fait quoi, comme connerie ?

Tyrias n’avait pas envisagé de devoir s’inventer des états de services entachés, mais il réalisait que le raisonnement du Caporal était logique, un gars du Nord, comme lui, n’avait aucune raison de se retrouver dans cette garnison perdue au Sud s’il n’avait commis une terrible erreur. Et c’est dans la précipitation qu’il imagina une bévue qui aurait pu lui valoir de se retrouver affecté dans cette galère.

– J’ai, commença-t-il en cherchant ses mots, couché avec la fille du gars qui fallait pas.

Ce qui, à bien y réfléchir, n’était pas tout à fait faux !

Le Caporal partit d’un rire franc.

– Sérieux ? Pour une histoire de cul ?

Le visage de Tyrias s’assombrit un peu.

– Oh ! remarqua le Caporal. C’était plus sérieux que ça on dirait.

Contrit, le grand Atlante lui adressa une mine un peu fade.

– Oui, c’était assez…

Mais il ne poursuivit pas sa phrase, la laissa en suspens et revit en pensée sa jolie Rana-Ori, ses longs cheveux blonds, ses yeux clairs, en amande, doux et rieurs, son petit nez mutin et sa peau couleur miel… comme elle lui manquait !

« Encore un peu de patience, ma chérie. »

Pensant qu’il avait commis un impair, le jeune Caporal, préféra détourner la conversation.

– Nous y voilà ! annonça-t-il.

La réserve était un grand hangar au toit éventré et aux murs lézardés paraissant plus tenir par habitude que par réelle solidité. C’est donc méfiant, ne cessant de regarder en l’air pour vérifier que le reste du toit n’allait pas leur tomber sur la tête, que Tyrias suivit le Caporal dans le capharnaüm qui s’entassait devant eux. Il y avait de tout, des restes de meubles, des armes cassées, de la tôle froissée, un vieux blindé en piteux état, qui avait dû se prendre un abus solaire parce qu’il était plus noir que du charbon, et tout un tas d’autre choses pas toujours définissables. Une sorte de cabinet de curiosités, façon apocalypse. Et c’est au milieu de ce foutoir, que le Caporal repéra ce qu’ils étaient venus chercher.

– Là ! fit-il en pointant un vieux lit superposé en métal. J’étais certain d’en avoir vu un ! déclara-t-il plus pour lui-même qu’autre chose.

Ils mirent bien dix minutes à dégager tout un tas de cochonneries qui ensevelissaient la structure métallique et quand elle fut enfin désenclavée, Tyrias fit la grimace.

– Ce truc va tomber en miettes.

– Mais non, on va un peu le rafistoler ici et là avec une petit soudure et ça ira ! Je prendrai le lit du dessus, par précaution, plaisanta le Caporal un petit air de connivence, je suis un poids plume.

De retour dans la chambre avec leur encombrant bagage, les deux autres occupants des lieux se mirent en devoir de les aider. Il ne fut pas aisé de manœuvrer dans l’espace réduit qu’offraient ces murs. Mais aux prix de gros efforts, les quatre hommes arrivèrent à leur fin.
Le lit fut ensuite garni de deux matelas aussi fins qu’élimés et peu confortables, mais Tyrias n’était pas là pour faire le difficile.

L’endroit ne paraissait plus pouvoir contenir d’oxygène en suffisance, tant il était encaqué, mais ils n’avaient guère le choix. L’expression « A la guerre, comme à la guerre » prenait tout son sens.

Vaille que vaille, ils s’installèrent comme ils purent et une fois chacun sur leur couche, l’atmosphère se détendit. Le fumeur de substances louches se présenta en premier :

-Je m’appelle Mathias Alby, mais on m’appelle Biscotte, lui dit-il en lui tendant une poignée de main franche.

Tyrias répondit à cette main tendue, un peu étonné par le curieux sobriquet, et se présenta à son tour.

– Tyrias Menkine…

– Bien venu dans l’antichambre de la mort, l’apostropha d’une voix enjouée, celui qui se trouvait sur la couche à côté du premier, moi c’est Cody Katell, mais on m’appelle Pop-Up.

– Pop-Up ?

– Oui, répondit platement le Caporal qui s’était lancé dans la lecture d’un livre aidé d’une petite lampe de poche. Ici on a tous un surnom. Lui c’est parce qu’il est comme une notification intempestive qui débarque n’importe quand, sans crier gare pour nous raconter des trucs dont on a rien à foutre… un pop-up…

Celui qui portait le pseudonyme étrange sourit malicieusement.

– Ouaip ! C’est tout moi !

– Et ? fit Tyrias à l'égard du fumeur.

Le dénommé Biscotte se mit en devoir de s’expliquer.

– J’ai le record de fractures de toute la garnison.

Une grimace d’incompréhension vint jouer avec les traits de Tyrias et le Caporal étaya.

– On le pousse un peu trop fort et… « crack » ,fit-il en mimant une biscotte qu’il beurrait et qui se brisait entre ses mains.

Pour la première fois de la journée, Tyrias sourit de bon cœur.

– Et vous ? demanda-t-il au Caporal ?

– Premièrement, commença l’officier, moi c’est pas « vous », c’est « tu ». On va laisser ces simagrées aux connards qui nous dirigent et se croient importants. Pour le reste, je m’appelle Arani Calmèque, et le petit nom que ces cons m'ont trouvé, c'est « Mitard », s’amusa-t-il.

– Parce que le Caporal a le record de mise au trou pour insubordinations, expliqua Pop-Up.

Et les trois soldats ne purent s’empêcher de rire devant la mine visiblement déconfite de leur nouveau compagnon de chambré.
Au bout d’un moment, les rires s’éteignirent et le Caporal reprit la parole, une mimique malicieuse accrochée au visage.

– D’ailleurs, je crois que j’ai trouvé le surnom de Menkine.

– Déjà ? S’étonna Pop-Up.

Tyrias fit une tête pas franchement rassurée.

– Notre ami a quelque chose de « Shakespearien », déclara l’officier en se penchant pour regarder celui qui occupait la couchette sous la sienne.

Biscotte arqua ses sourcils et Pop-Up interrogea :

– Il a tué quelqu’un ?

–Non, fit le Caporal, toujours goguenard, observant son voisin du dessous. Ce n’est ni un « Hamlet », ni un « McBeth »…

Il laissa son propos se perdre dans un petit silence, le sourire aux lèvres, puis il accepta de livrer sa pensée, au seuil d’une petite attente un peu théâtrale.

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Message par TEEGER59 »

Tu changes d'univers, Anza! Je croyais que les Olmèques ne se reproduisait pas. :x-):
Le silence des agneaux. J'ai éclaté de rire.
:Laguerra: : AH! Comme on se retrouve!
:Mendoza: : Ma première leçon ne t'a pas SUFFIT?
:Laguerra: : Cette fois, tu ne t'en sortiras pas si FACILEMENT!
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

TEEGER59 a écrit : 25 juin 2021, 16:27 Tu changes d'univers, Anza! Je croyais que les Olmèques ne se reproduisait pas.
Bah si on s'en réfère la saison 1, les Olmèques ont lentement mutés à force de vivre sous terre (pour échapper aux radiations des armes utilisées par Mü et Atlantide dans le guerre fratricide) et sont devenus stériles (dixit Menator mots pour mots). D'où leur besoin de devenir immortels pour survivre. Il n'est nullement question de volonté de faire perdurer la guerre en endormant les soldats pour les réveiller dans le futur... ça c'est une invention BS/saison 4. Et que la mutation des Olmèques/Atlantes soient le résultat de leur trop long séjour en caissons cryogènes, c'est aussi une invention BS...

Mais bon, vu que cet axe a vu le jour et existe, pourquoi ne pas s'amuser un peu avec d'autres développements. Ca ouvre des horizons différents que je trouve sympa à explorer.

Et comme le personnage de Tyrias, un pacifiste, était le fils de Menator et le compagnon de Rana-Ori, ça donne des idées.

Cette fic sera courte, juste replacer les personnages dans un contexte, comme j'aime bien le faire. C'est une petite récréation :tongue: :tongue: :tongue:
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Atlanta »

Anza a écrit : 25 juin 2021, 12:17 NOTE DE L'AUTEUR : j'ai pris le parti de glisser des références anachroniques, telle que Shakespeare ou autres. Je sais fort bien qu'en toute logique, les Atlantes ne connaissent pas ces références, mais c'est un parti pris, une licence poétique comme diraient certains. Et j'assume ;)
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– Il a tué quelqu’un ?
–Non, fit le Caporal, toujours goguenard, observant son voisin du dessous. Ce n’est ni un « Hamlet », ni un « McBeth »…
Il laissa son propos se perdre dans un petit silence, le sourire aux lèvres, puis il accepta de livrer sa pensée, au seuil d’une petite attente un peu théâtrale.
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je crois que j'ai trouvé ! :lol: ;)
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

Atlanta a écrit : 25 juin 2021, 17:14 je crois que j'ai trouvé !
[/quJ'ai ote]

:lol: :lol: :lol:
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Atlanta »

Anza a écrit : 25 juin 2021, 17:47
Atlanta a écrit : 25 juin 2021, 17:14 je crois que j'ai trouvé !
[/quJ'ai ote]

:lol: :lol: :lol:
Ouais c'était mais tellement pas évident ! tu sais pas comment j'ai dû me creuser la tête ! :lol: :lol: :lol:
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Anza »

Oui... je sais... c'etait hyper subtile, à peine une allusion... on pouvait facilement passer à côté PTDR
:lol: :lol: :lol:

Mais si on coupe les cheveux en 4, y'a aussi la référence au Pop-Up, qui est anachronique, je sais que ces gus ont une sacrée technologie, proche de la nôtre, voir à certains égards, plus balèze, mais ça ne veut pas dire qu'ils ont développé les "mêmes" technologies que nous (smarthphone avec des applications et des notifications) et encore moins qu'elles portent les mêmes noms que les nôtres, d'autant que les nôtres sont tirées de l'Anglais, qui à leur époque n'est pas sensé exister ;)
Donc "Pop-Up" c'est aussi une liberté que j'ai prise ;)

Voiloù !
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Re: FANFIC - "Le passé de Tyrias" - courte fic

Message par Atlanta »

par contre j'ai pas complètement pigé pour pop up.
Man sieht nur mit dem Herzen gut. Das Wesentliche ist für die Augen unsichtbar Le petit prince, le renard
Il n'est pas venu le jour où une femme me donnera des ordres !
:Gaspard: Et bien si justement ! Il faut une première à tout !
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