Les Mystérieuses Cités d'Or

Dans la lumière déclinante, la pioche s'abattait avec régularité. Tao prit la pelle et ôta la terre ainsi dégagée, puis recommença avec le premier outil.




Comme ses amis, il répétait la manœuvre sans cesse, avec la constance absente d'un automate. Ils en étaient à la cinquième maison du village de cérémonie d'Orongo, abandonné depuis une éternité, et pour la cinquième fois il semblait bien que leurs efforts ne donneraient aucun résultat. Demain, le petit groupe viendrait remettre la terre en place, recouvrirait le sol des mêmes dalles, selon l'ordonnancement exact qu'elles avaient auparavant, et passerait à la maison suivante.

J'aime vraiment beaucoup ! Très belle atmosphère qui se dégage !

Estéban jeta un coup d'œil en contrebas, vers le lac qui occupait le fond du volcan éteint.


Un brouillard vaporeux se formait à la surface de l'eau, et la dépression circulaire évoquait le chaudron géant de quelque sorcière. Il regarda au loin. L'île au relief accidenté qui s'étendait à ses pieds affectait la forme grossière d'un triangle dont chaque pointe aurait été occupée par un volcan.

Wow, les montages sont sublimes. Rien à redire, tu maîtrises l'art du photomontage...
L'île de Pâques, une ambiance qui permet d'être extrêmement prometteuse !

Les poutres et les solives du plafond commençaient à céder. Des pans de bois carbonisés menaçaient d'en choir, barrant le passage.
A travers les tourbillons de fumée, les débris enflammés dont la chute s'accompagnait de nouvelles traînées de feu, suffoquant, à demi aveuglé, la gorge desséchée par l'air incandescent, la capitaine avançait pas à pas.



De son corps en nage, d'amers effluves de transpiration se dégageaient, qui, mêlés à l'âcre odeur du bois brûlé, emplissaient les narines d'Isabella.
Maintenue pressée contre la poitrine nue de son mari qui n'avait eu que le temps de passer son pantalon sous son ample manteau bleu et rouge, l'aventurière, épouvantée, sentait sa propre peau coller à celle du marin, sa propre sueur se mêler à la sienne...
Ils arrivèrent enfin à l'endroit où commençaient les degrés.

Bon, bah tu connais déjà mon avis.
Ce montage est encore une fois magnifique, mais cette fois, je crois que je ne me tromperais pas si je disais que c'est sûrement celui qui est le plus réussi.

Rah, mais tu nous mets l'eau à la bouche, on salive nous !

Magnifique, notre "tigresse" préférée !
Mais quel est ce vêtement inconnu que porte notre Isa enfumée ?

Et bien, c'est la cape de ...

Ne pas reconnaitre la cape, naaaan, j'y crois pas, tu nous mènes en bateau Yupanqui!
Le fond en flammes est très réussi, et la tête de Laguerra est bien en accord avec la situation, par contre j'ai l'impresssion d'être sur le topic des Têtes foirées avec Mendoza, il a quasiment une tête de vampire!

Pardon pour les puristes et le fan club très sélect (et surtout très féminin ) des admiratrices inconditionnelles du "beau" marin.
Je n'ai pas du m'imprégner assez de la "cap saoûle"!
C'est la couleur grise à cause de l'éclairage qui m'a trompé.
De toute façon Teeger nous a dessiné 2 tigres !
Ok, je sors...