FANFICTION COLLECTIVE : Tome 2

[TEEGER59]

s'habillerk- pour y passer de l'eau de l'eau fraîche.

[TEEGER59]

Quel superbe chapitre!
Je lui foutrai bien une paire de taloches, à cette Hava!
Quelle sal****ie!

[Akaroizis]

Je plussoie Tiger ! Vraiment bien ce chapitre ! un peu long, mais sinon ça va ^^

Enfin, ce Mendodo doute sur son Gonzalo. Il était temps !
Vraiment bizarre, cette dame ! Et nous savons donc qu'Hava est la "mère" de Gonzalo...

La suite, madame !

[Seb_RF]

Aka c'est un sous chapitre

ce n'est que la deuxième partie ...

[nonoko]

Je plussoie Tiger ! Vraiment bien ce chapitre ! un peu long, mais sinon ça va ^^

Enfin, ce Mendodo doute sur son Gonzalo. Il était temps !
Vraiment bizarre, cette dame ! Et nous savons donc qu'Hava est la "mère" de Gonzalo...

La suite, madame !

Ah ben c'est long, c'est long...faut bien faire durer le plaisir! Et en plus, comme le précise Seb, c'est que la 2ème partie! (et c'est pas un paragraphe non plus...)
Merci en tout cas pour les caresses et la pâtée! Et encore un petit rappel: Isabella n'est pas la femme (l'épouse) de Mendoza ici, même si c'est la mère de son enfant...
La suite? Ben, euh, patience...

[Chaltimbanque]

Chose promise, chose due. J'ai pris soin de ne pas lire les commentaires des autres pour ne pas me faire trop spoiler... Donc, en avant la musique !

Impressions en cours de lecture (chapitre 16 ~ Partie 3)

Mais la puanteur des corps n’est rien comparée à celle des âmes. J’aime beaucoup l’image !

Elle se jure de ne pas toucher d’un doigt l’argent qu’elle pourra ainsi récupérer. On reste dans le domaine de la saleté, sauf que cette fois il s’agit d’argent. Quoi qu’il en soit, cette genre de droiture me plaît grandement, pour des raisons diverses et variées.

« Il vaut peut-être mieux que nous ne l’ayons pas récupéré. Cela n’a été qu’une source d’ennuis, depuis le début. » Enfin un peu de bon sens, qui pourtant ne servira pas à grand-chose (parce que sinon, il n’y aurait pas d’histoire ! ^^).

N : Je veux dire que…je vous admire beaucoup, tous les deux, et je donnerais ma vie pour vous ! Je ne veux pas jouer les trouble-fêtes, mais je trouve que c’est de mauvais augure pour notre ami Nacir… Et ce n’est pas la première fois que tu le laisses sous-entendre. Dis-moi, ça t’amuse de jouer avec mes nerfs ?

« Hum…seuls les crabes le savent. Ils auront tout leur temps désormais pour étudier ce mystérieux objet et déterminer à quoi il pouvait servir, mais si tu veux mon avis, ce n’était qu’un bijou. Ou une pièce de quelque mécanisme dont nous ignorons la nature. » D’accord, je comprends mieux le titre, maintenant ! ^^ Évidemment, ce bijou (Atlante ou Müen ?) risque de revenir sur le tapis… Si c’est une partie d’un mécanisme, peut-être a-t-elle son rôle à jouer dans l’arme Atlante qu’Esteban doit retrouver et détruire ? Mmm.

Impressions en cours de lecture (chapitre 16 ~ Partie 4)

Quand ils sont arrivés Tripoli, il s’est embarqué avec le chevalier de Lastic petite coquille ! Quand ils sont arrivés à Tripoli, …….

un certain Umberto Babucci, un Sarde polyglotte qu’on confondrait aisément avec un pirate Sicilien ou un marchand Lybien : il adapte son langage et son apparence selon les interlocuteurs qu’il doit tromper. un vrai caméléon, en fait !

Il adore se fondre dans une foule et être à la merci d’une erreur de compréhension ou d’expression qui le mettrait à découvert, même si cela est peu probable. Chacun son trip, hein ! En gros, il aime vivre dangereusement !

Merci pour la petite leçon d’Histoire sur Benghazi !

on utilise des chandelles déjà bien entamées, et comme la transaction doit être réglée avant que la chandelle ait fini de se consumer Ouah, le stress !!!

il préférerait se passer de cette étape et aller directement à la galère pirate, libérer les prisonniers grâce à une attaque surprise rondement menée et s’éclipser en trucidant tous ceux qui lui barreraient le passage :arrow : Tout à fait d’accord ! C’est moins subtil, mais peut-être plus efficace ! Je vote pour !

Il espère juste qu’ils n’ont pas l’intention d’entamer une conversation, car il ne se sent pas d’humeur pour les banalités. On dirait moi quand je vais dans un salon de coiffure ! (ce qui arrive environ 2 fois par an)


Il annonce que pour contenter tout le monde, les marchandises seront présentées selon une alternance entre produits de la mer et produits de la terre. Mais c’est qu’il a de l’humour, ce Ouerfelli ! Bon, un humour de *****, mais c’est déjà ça.

le chevalier a de plus en plus de mal à garder son calme face à ce spectacle désolant, où hommes, femmes et enfants sont exhibés sans ménagement Oui, ça reste toujours aussi triste, ça. Désolant, c’est vraiment le mot.

Blasé, il ne songe même plus à s’indigner de cette humanité dégradée, mais il fendrait bien en deux le crâne de quelques acquéreurs, à commencer par ses voisins qui participent bruyamment à l’ambiance festive. Décidément, je l’aime bien, ce Romegas ! ^^

Une femme dans la foule ? Te connaissant, tu n’as pas mis ça par hasard. Qui est-elle, que fait-elle là, et d’ailleurs, comment se fait-il qu’elle soit là ?

Assommé par cette tirade débitée d’une traite, l’auditoire ne réagit tout d’abord pas. L’auditoire n’est pas le seul ! Quel baratineur !

D’emblée, il est conquis par Mendoza. Cependant, Gonzales le trouble. Le trouble ? Le trouble comment ? Sans rire, Romegas aussi sent qu’il y a un truc qui cloche au premier coup d’œil ? C’est rageant…

J’aime beaucoup le retournement de situation de la foule contre Galifredi !

Cette fois, pas de doute : c’est bien la femme. Tu sais, Nonoko, je suis en train de t’imaginer en train d’écrire ce passage et la façon dont tu as dû jubiler, à ce moment-là, en sachant l’effet que ça allait produire. Bien joué !

Ghemazi hausse les épaules. Cette affaire ne le concerne plus…sauf si les chevaliers veulent lui emprunter de l’argent, auquel cas il calcule déjà le taux d’intérêt qu’il appliquera. MDR ! Il ne perd pas le nord, celui-là !

Mais le cri que tous ont entendu, c’est celui de Mendoza. Ce dernier semble furieux, et tous ont remarqué qu’il regarde dans la direction de l’acheteuse. Donc, il la connaît… Alors, voyons voir… Passage en revue des différents personnages féminins croisés jusque-là qui seraient susceptibles de susciter une telle réaction. Je n’en vois qu’une : Hava ? Mais pourquoi ?

Romegas bondit, prêt à venger l’affront qu’un moqueur vient de lui faire Ah, voilà qui répond à ma boutade de tout à l’heure !

Ooooh, belle manœuvre de Mendoza !

« t’en tires une tête…regarde donc ton copain, il fait pas cette tête d’enterrement, lui ! » Et pour cause !

Mendoza regarde Gonzales. Se pourrait-il qu’il ne l’ait pas reconnue ? :arrow : Mais RAAAAAAAAAH, C’EST PAS VRAI, ÇA !! Tu vas arrêter de te voiler la face, oui ou flûte ?!?

Isabella s’est débrouillée pour lui envoyer de l’aide. Et sans Hava, il serait maintenant sur le chemin de la liberté. Il reste un mince espoir. Quel que soit le moment où les inconnus décideront d’attaquer, il fera tout pour les aider. Mais évidemment, tout ne sera pas aussi facile, hein ?

Il reste à prévenir Gonzales sans qu’Hava ne remarque quoi que ce soit. This is getting ridiculously hopeless. I’m shutting up.

Ne jamais sous-estimer une femme. Romegas s’en souviendra. Il aurait pourtant dû se méfier, après avoir côtoyé, quoique brièvement, la senorita Laguerra. Comme le disait ce bon vieux William Congreve dans sa pièce The Mourning Bride, « Hell hath no fury like a woman scorned » ! (« L'Enfer n'a pas de fureur qui égale celle d'une femme dédaignée »)

Quelle valeur ont à ses yeux les deux marins, pour qu’elle paye deux mille écus et s’ingénie à disparaître dans la nature avec eux ? Merci, mon cher Romegas, de te faire le porte-parole de mes propres interrogations, c’est très pratique !


S : Oui, mais vous savez bien qu’en ce moment, j’ai pas de chance avec les femmes…

Mais il enverrait bien ce Babucci expliquer à sa place à la senorita Laguerra qu’ils ont perdu toute trace de ses compagnons. En voilà une riche idée !!

Impressions en cours de lecture (chapitre 16 ~ Partie 5)

Bon, j’avais déjà lu une bonne partie du début, alors je ne m’attarde pas trop dessus.

Zia s’était brusquement écroulée, comme vidée de toute force ; Indali avait tout juste eu le temps de la retenir pour qu’elle ne s’effondre pas au sol. Elle l’entendit murmurer « Il faut les aider… ». Ah ! Les rêves de Zia vont servir de pont pour les relier à Mendoza et Cie.

« il y a des yeux, des yeux de feu qui me transpercent » Gonzales, sors de ce corps ! Enfin, de cette tête ! Littéralement !

« je tiens quelque chose entre mes bras, je lutte, la chose…la chose grandit et je veux m’en débarrasser, elle va m’écraser, m’étouffer, elle rit ! » un écho au propre cauchemar d’Isabella ? Intéressant. Donc les rêves de Zia ne sont pas juste prémonitoires. Ils lui donnent la vision des autres, au point de vivre des cauchemars qui ne sont même pas les siens. C’est… peu enviable.

Moi, je me souviens juste que le partenaire commercial de Sancho et Pedro a imposé sa présence à Mendoza… C’est vrai. Et vu qu’on sait que Gonzales agit sous les ordres de quelqu’un d’autre (Ruiz ? Hava ? Les deux ? Ou encore une autre personne ?) Ruiz l’a-t-il fait exprès, ou y a-t-il lui-même été forcé, ou a-t-il encore été « convaincu » par quelque monnaie sonnante et trébuchante ? Tant de possibilités !

« L’homme qui se noie, c’est peut-être Hakim, et c’est sa présence qui t’oppresse et t’étouffe. » Mouais. Bien tenté, mais non !

Bah, moi, tu sais, en ce qui concerne les traitres, je suis toujours à côté de la plaque, alors… Non, juste un peu… têtu !

Malik ajouta qu’il n’avait jamais vraiment payé sa dette envers Mendoza, et qu’il était prêt à le faire à tout moment. Ah, ça, ça me fait plaisir ! J’aime bien la relation que ces deux-là ont nouée, et j’apprécierais qu’ils se retrouvent, effectivement !

Elle savait que Tao croyait bien faire en proposant cela, mais l’idée d’une fouille dans la demeure même de ses amis la révulsait Oui, fouiller dans l’intimité des gens, même avec des intentions honorables, ce n’est jamais agréable…

Dommage qu’ils n’aient pu voir Ruiz. J’aurais bien aimé pouvoir lire cette conversation.

Tiens, si ça se trouvait, l’homme qui se noie, c’était une allusion à leur affaire avec Ruiz, les éclairs, c’était la tempête financière qui mettait en péril leur association, et les yeux de feu, c’était la colère divine contre les ambitieux qui ne se contentent pas de faire fructifier honnêtement leur argent à la sueur de leur front. Encore une fois, bien essayé !

Sancho le fit taire d’un coup de coude : il commençait à se rendre compte qu’ils avaient été complètement à côté de la plaque, et tenta de persuader son camarade d’aller rendre visite à Ruiz Brave Sancho ! ^^

Le mugissement du vent leur semblait être un chant désespéré, la plainte d’une âme en perdition, tantôt lancinante et triste, tantôt violente et vindicative. Belle image. Triste, mais belle.

Quand les premiers éclairs zébrèrent le ciel, il sursauta, le cœur battant. Se pouvait-il que cette nuit... Nom d’un Pichu !

Devant eux, trempée et tremblante, soutenue par deux hommes, se tenait Isabella. Un troisième homme se tenait derrière elle. Bon sang ! Quel twist !!!

À très bientôt pour le chapitre 17 !

[nonoko]

Je me suis franchement éclatée avec tes impressions, une fois de plus....merci!!

[Chaltimbanque]

Je me suis franchement éclatée avec tes impressions, une fois de plus....merci!!

De rien... La suite arrivera demain !

[TEEGER59]

Vivi, ne lit pas ce qui suit.
Je ne souhaite qu'une chose:

Qu'Isabella apprenne ce qui s'est passé dans cette chambre et dans un excès de rage, trucide Hava!

[Akaroizis]

Je pense que tout le monde voudrait cela, Tiger !
Nonoko, si tu nous entends... tu sais ce qu'il te reste à faire...