Bah dis donc... je ne sais plus où me mettre, moi qui ai failli effacer ce chapitre hier peu après l'avoir publié parce que je le trouvait "trop"...
Pas simple de trouver la juste mesure pour réhabiliter un méchant sans tomber dans l'excès de violons, mais suffisant quand-même; mais pas trop au final, rester sur la réserve.
J'avais l'impression de ne pas avoir trouvé cette juste mesure, cette "sobriété" où les choses sont plus à imaginer qu'à décrire.
De plus, c'est un chapitre que j'ai en tête depuis un bon moment et donc quand vient le moment de l'écrire, c'est difficile parce qu'on a eu 50 idées différentes pour y parvenir et que finalement on y arrive par une histoire de piments qui n'était pas du tout prévue au programme... tout ça à cause d'une olive... MDR
Pour ce qui est de Mendoza et cette mission suicide et bien, déjà si tu te souviens plus tôt dans ma fic, je parle de Mendoza et de la perte de sa mère qui l'a profondément affecté quand il avait onze ans suite à une maladie.
Et bien, déjà ça explique pourquoi il ne veut pas finir dans un lit avec la mort qui vient l'y chercher ! Mais tu as raison, c'est pas tout et les vieux démons vont bientôt refaire surface ! Parce que notre "hombre" (olè! roulement de castagnettes !!!) est loin d'être une personnalité lisse
En fait, là, c'était la traversée, qui était un huit-clos, puisque pratiquement aucun élément extérieur ne pouvait intervenir, mais maintenant qu'ils vont toucher terre, le rythme va s'accélérer un peu. J'ai grosso merdo fait l'état des lieux de la psycho de mes persos et les voilà prêts à passer à "autre-chose", j'ai presqu'envie de dire, l'aventure en elle-même !
En plus, l'histoire parallèle se déroulant dans le passé, va bientôt rejoindre celle qu'on connait déjà, pour là aussi passer à la vitesse supérieur x-)
On verra si j'arrive à articuler ce que j'ai dans la caboche LOL
J'ai du pain sur la planche !
Tiens oui, bon à savoir.
Cette fic me pose juste parfois un souci de "langue"... quelle langue parle tout ce joli monde. L'Espagnol ? C'est sur ce postulat que je suis partie, mais je ne peux m'empêcher de vous filer un tuyau :
Dans ma tête, qd j'écris, Jiménez a un accent espagnol à couper au couteau.
Explication : mon père, un Andalou pure souche, malgré ses 42 ans en Belgique, n'a pas perdu une miette de son accent plein de "R" roulés, de "U" prononcés "OU", j'en passe et des meilleures !
Donc quand je fais parler Jiménez, j'entends chanter l'accent de mon paternel. Mais je ne l'ai pas traduit à l'écrit parce que ce n'était pas logique puisque tout le monde est sensé parler Espagnol. Donc juste pour info, si ça vous amuse, les interventions de Jiménez peuvent être imaginées de la sorte :
"Yè nè commprrends brraiment pas pourrquoi tou t'obstines asi (="comme ça" en Espagnol, oui mon père arrête pas de glisser des petits mots d'Espagnol par-ci par-là qui rend sa façon de parler incompréhensible pour ceux qui n'ont pas le lexique MDR) dans cettè dirrectionn.
Ceci étant dit...

Bonne journée !