Tout le début de ce nouveau passage concernant les retrouvailles entre Catalina et Isabella m’a fait grandement sourire (on dirait moi avec mes amis irlandais en ce moment, donc niveau d’empathie élevé). J’aime cette atmosphère pétillante et joyeuse.
« Je veux une descendance nombreuse »

Huit, si je me rappelle bien ? Sauf si tu comptes Esteban, Zia et Tao en enfants adoptifs, ce qui ramènerait le compte à 5. Dans tous les cas, Mendoza, on ne dit pas « je veux », non mais !
Les enfants en salivaient d'avance.

Ils ne sont pas les seuls ! J’ai les crocs, tout d’un coup !
La mousseline empesée, cependant fort stricte, et qui ne parvenait pas à figer des traits sans cesse animés d'ondes émotives, de mouvements d'humeur, de bouffés d'enthousiasme ou d'indignation, la lingerie de deuil encadrait, en cette éclatante fin de journée, une expression de joie sans ombre.

J’aime particulièrement cette phrase, très fine et si joliment formulée. Il y a quelque chose qui me touche vraiment, là-dedans. Je comprends, à un niveau émotionnel, ce que tu veux dire et cela rend Catalina très attachante, très humaine.
Jolie réflexion sur la pérennité de l’art par rapport à nos éphémères existences.
Tout l’aspect mythologique me plaît évidemment beaucoup (et je vais le redire : merci d’avoir pensé à ajouter une carte géographique, c’est très pratique).
J’adoooore le fait que l’on revienne à l’épisode du
Sacre via la légende du
Caleuche !! Et tu nous laisses sur une sacrée faim ! J'ai hête d'en savoir plus !
