Re: FANFICTION COLLECTIVE : Jeu
Posté : 18 nov. 2016, 16:38
Suite modifiée partiellement, écriture à quatre mains NNK et SEB.
E: MENDOZA, mais qu'est-ce que tu fais là? et Tao?
M: plus tard, toi qu'est -ce que tu fais là? As-tu revu Maria?
E: Maria, tu parles, elle m'a assommée après Roberto est arrivé chez toi puis elle m'a aidé à m'enfuir et pour finir l'autre ordure me poursuit depuis une demie heure avec son fouet...
T M: Roberto? tu l'a semé au moins!
E:oui oui, je pense, je ne me serais pas arrêté autrement!
M: PARFAIT...mais viens à l'intérieur, on n'est jamais trop prudent... Bon maintenant Roberto nous a tous dans le colimateur, c'est trop risqué de retourner en ville, il faut trouver un moyen d'enquêter en sécurité.
E: mais on a pas le temps, qui sait ce que ce monstre fait subir à Zia en attendant! Quand Roberto me poursuivait avec son fouet, j'ai cru halluciner, je croyais voir le Docteur Laguerra, Mendoza, c'est horrible!
T: eh bien en parlant de Zia on a une idée de ce qui risque de lui arriver, et ça ne te plaira sûrement pas ...
E: Tao! mais..tu es blessé!
T: laisse, c'est rien...content de te revoir sain et sauf, hein, vieux frère!
E: Comment c'est arrivé? Et c'est quoi votre idée? Vas-y on est plus des gosses je peux l'encaisser!
Tao lui raconta toute l'infiltration, la lettre, et les innombrables mariages de Laguerra...
Tao: et donc, on peut craindre que...
E: te fatigue pas, Tao, Maria m'a déjà tout dit....Zia...mariée à ...non, il faut empêcher ça!
T: y'a intérêt, et on n'a pas de temps à perdre! Alors maintenant tu vas rester avec nous, au lieu de te tirer pour faire cavalier seul, tu crois que tu peux sauver Zia sans nous, hein, tout ce que t'as réussi à faire c'est de te faire assommer par une vieille et poursuivre par un tueur à gages, bravo, tandis que nous...
E: vous n'avez trouvé aucun indice! vous avez risqué votre vie pour rien! bravo!
M: ça suffit! vos querelles n'avancent à rien!
T: mais qui dit que je n'ai pas une idée, moi? Hein, la nuit porte conseil...
E: et tu penses à quoi, hein, Tao?
T: au condor!
E: le condor! oui, si on parvient à l'atteindre, on sera en sécurité..
T: et on pourra faire des recherches tranquilles, depuis le ciel, on pourrait peut-être, je sais pas..
E: apercevoir Zia? mouais...
T: t'as une meilleure idée? eh ben vas-y!
M: il est pas trop loin j'espère...
E: sur un ile à deux jours d'ici, avec le navire de Tao.
M: d'accord, mais vous pouviez pas atterrir plus près? Vous vous étiez bien posés par ici avant la Chine, l'endroit est parfait!
E: Tao tenait absolument à frimer avec ses inventions, il voulait montrer son dernier gadget, le fameux bateau sans équipage!
T: Oh, ça va, c'est pas ma faute si tes ancêtres ne t'ont légué aucun savoir!
E: rrrrr...... Bon, par contre j'ai bien l'impression que Maria m'a pris mon médaillon pendant mon inconscience, il va falloir le récupérer avant d'y aller...
T: c'est pas vrai! t'as plus ton médaillon? mais quel..
E: eh, j'y peux rien, comment je pouvais prévoir!
M: du calme, si c'est elle qui l'a pris, il suffit de la retrouver...j'espère simplement que Roberto ne lui a rien fait..
À ce moment-là une voix se fit entendre derrière eux.
- on parle de moi?
Ils se retournèrent tous et découvrirent avec horreur le tueur à gages qui les menaçait de son épée. Comment avait-il fait pour approcher sans se faire remarquer?
- enfin je vous retrouve, bande de fouineurs, et je vais vous faire passer l'envie de vous mêler de mes affaires! je t'ai raté une fois, Mendoza, je ne te raterai pas deux fois!
- bats-toi à la loyale, alors, empoisonneur!
- le pire c'est que je n'avais rien contre toi personnellement, avant cette nuit...les clients me payent, j'exécute...ma soeur semblait bien t'aimer, mais que veux-tu les affaires sont les affaires...
- ta soeur! elle a failli mourir par ta faute!
- ah, je vois, elle a bu le poison à ta place, la vieille gourmande, tss tss tss...
- oui, et je l'ai sauvée!
- comme c'est noble de ta part...mais tu aurais mieux fait de la laisser crever, car à côté des tortures que je lui réserve pour sa trahison, l'empoisonnement aurait été une mort bien douce pour cette vieille carne!
- tu sais ce qu'elle te dit, la vieille carne?
Roberto n'eut pas le temps de se retourner, il s'effondra, assommé par la poigne de fer de Maria, qui lui avait asséné un bon coup de jambon de bayonne sur le crâne.
- Maria! tu tombes à pic!
- tu peux remercier mon âne Zephiro, Mendoza, il a couru plus vite que l'éclair, mais j'ai tout de même eut un peu de mal à le faire avancer quand on est sortis de la ville, avec toute cette herbe il s'arrêtait tout le temps pour brouter.
- mais comment as-tu fait pour nous retrouver?
- j'ai suivi Roberto qui suivait Esteban...
- mon médaillon, c'est toi qui l'a, n'est-ce pas?
- le médaillon? ah, oui, oui, il est bien au chaud au fond de ma poche, avec l'autre...attends voir un peu....ah? je le trouve plus....Aaah!! Me secouez pas, si si , je les ai ici, tenez, voilà! je pensais que ça serait le seul moyen de te retenir pour te faire rester chez Mendoza mais tu connais la suite...
Esteban prit les médaillons mais Tao s'exclama:
- Eh, une minute le deuxième médaillon c'était un faux! regarde! le tien reprend son éclat!
- on ne sait jamais , prends les deux, Esteban ça peut toujours servir. Et maintenant, le temps presse,les garçons, il faut embarquer , mais avant il faut empêcher Roberto de nuire, et passer soigner Tao..
- t'inquiète pas pour moi, Mendoza, j'ai une trousse de secours à bord du navire. Alors, prêt à piloter un navire sans équipage de mon invention?
- cela va me rappeler le bon vieux temps!
- Et Roberto? on en fait quoi?

E: MENDOZA, mais qu'est-ce que tu fais là? et Tao?
M: plus tard, toi qu'est -ce que tu fais là? As-tu revu Maria?
E: Maria, tu parles, elle m'a assommée après Roberto est arrivé chez toi puis elle m'a aidé à m'enfuir et pour finir l'autre ordure me poursuit depuis une demie heure avec son fouet...
T M: Roberto? tu l'a semé au moins!
E:oui oui, je pense, je ne me serais pas arrêté autrement!
M: PARFAIT...mais viens à l'intérieur, on n'est jamais trop prudent... Bon maintenant Roberto nous a tous dans le colimateur, c'est trop risqué de retourner en ville, il faut trouver un moyen d'enquêter en sécurité.
E: mais on a pas le temps, qui sait ce que ce monstre fait subir à Zia en attendant! Quand Roberto me poursuivait avec son fouet, j'ai cru halluciner, je croyais voir le Docteur Laguerra, Mendoza, c'est horrible!
T: eh bien en parlant de Zia on a une idée de ce qui risque de lui arriver, et ça ne te plaira sûrement pas ...
E: Tao! mais..tu es blessé!
T: laisse, c'est rien...content de te revoir sain et sauf, hein, vieux frère!
E: Comment c'est arrivé? Et c'est quoi votre idée? Vas-y on est plus des gosses je peux l'encaisser!
Tao lui raconta toute l'infiltration, la lettre, et les innombrables mariages de Laguerra...
Tao: et donc, on peut craindre que...
E: te fatigue pas, Tao, Maria m'a déjà tout dit....Zia...mariée à ...non, il faut empêcher ça!
T: y'a intérêt, et on n'a pas de temps à perdre! Alors maintenant tu vas rester avec nous, au lieu de te tirer pour faire cavalier seul, tu crois que tu peux sauver Zia sans nous, hein, tout ce que t'as réussi à faire c'est de te faire assommer par une vieille et poursuivre par un tueur à gages, bravo, tandis que nous...
E: vous n'avez trouvé aucun indice! vous avez risqué votre vie pour rien! bravo!
M: ça suffit! vos querelles n'avancent à rien!
T: mais qui dit que je n'ai pas une idée, moi? Hein, la nuit porte conseil...
E: et tu penses à quoi, hein, Tao?
T: au condor!
E: le condor! oui, si on parvient à l'atteindre, on sera en sécurité..
T: et on pourra faire des recherches tranquilles, depuis le ciel, on pourrait peut-être, je sais pas..
E: apercevoir Zia? mouais...
T: t'as une meilleure idée? eh ben vas-y!
M: il est pas trop loin j'espère...
E: sur un ile à deux jours d'ici, avec le navire de Tao.
M: d'accord, mais vous pouviez pas atterrir plus près? Vous vous étiez bien posés par ici avant la Chine, l'endroit est parfait!
E: Tao tenait absolument à frimer avec ses inventions, il voulait montrer son dernier gadget, le fameux bateau sans équipage!
T: Oh, ça va, c'est pas ma faute si tes ancêtres ne t'ont légué aucun savoir!
E: rrrrr...... Bon, par contre j'ai bien l'impression que Maria m'a pris mon médaillon pendant mon inconscience, il va falloir le récupérer avant d'y aller...
T: c'est pas vrai! t'as plus ton médaillon? mais quel..
E: eh, j'y peux rien, comment je pouvais prévoir!
M: du calme, si c'est elle qui l'a pris, il suffit de la retrouver...j'espère simplement que Roberto ne lui a rien fait..
À ce moment-là une voix se fit entendre derrière eux.
- on parle de moi?
Ils se retournèrent tous et découvrirent avec horreur le tueur à gages qui les menaçait de son épée. Comment avait-il fait pour approcher sans se faire remarquer?
- enfin je vous retrouve, bande de fouineurs, et je vais vous faire passer l'envie de vous mêler de mes affaires! je t'ai raté une fois, Mendoza, je ne te raterai pas deux fois!
- bats-toi à la loyale, alors, empoisonneur!
- le pire c'est que je n'avais rien contre toi personnellement, avant cette nuit...les clients me payent, j'exécute...ma soeur semblait bien t'aimer, mais que veux-tu les affaires sont les affaires...
- ta soeur! elle a failli mourir par ta faute!
- ah, je vois, elle a bu le poison à ta place, la vieille gourmande, tss tss tss...
- oui, et je l'ai sauvée!
- comme c'est noble de ta part...mais tu aurais mieux fait de la laisser crever, car à côté des tortures que je lui réserve pour sa trahison, l'empoisonnement aurait été une mort bien douce pour cette vieille carne!
- tu sais ce qu'elle te dit, la vieille carne?
Roberto n'eut pas le temps de se retourner, il s'effondra, assommé par la poigne de fer de Maria, qui lui avait asséné un bon coup de jambon de bayonne sur le crâne.
- Maria! tu tombes à pic!
- tu peux remercier mon âne Zephiro, Mendoza, il a couru plus vite que l'éclair, mais j'ai tout de même eut un peu de mal à le faire avancer quand on est sortis de la ville, avec toute cette herbe il s'arrêtait tout le temps pour brouter.
- mais comment as-tu fait pour nous retrouver?
- j'ai suivi Roberto qui suivait Esteban...
- mon médaillon, c'est toi qui l'a, n'est-ce pas?
- le médaillon? ah, oui, oui, il est bien au chaud au fond de ma poche, avec l'autre...attends voir un peu....ah? je le trouve plus....Aaah!! Me secouez pas, si si , je les ai ici, tenez, voilà! je pensais que ça serait le seul moyen de te retenir pour te faire rester chez Mendoza mais tu connais la suite...
Esteban prit les médaillons mais Tao s'exclama:
- Eh, une minute le deuxième médaillon c'était un faux! regarde! le tien reprend son éclat!
- on ne sait jamais , prends les deux, Esteban ça peut toujours servir. Et maintenant, le temps presse,les garçons, il faut embarquer , mais avant il faut empêcher Roberto de nuire, et passer soigner Tao..
- t'inquiète pas pour moi, Mendoza, j'ai une trousse de secours à bord du navire. Alors, prêt à piloter un navire sans équipage de mon invention?
- cela va me rappeler le bon vieux temps!
- Et Roberto? on en fait quoi?