Re: Poème (non MCO)
Posté : 18 mars 2017, 21:03
Et pour rester dans le thème :
Phrase 19 : Vie Donnée
Il est tard le soir, ou tôt le matin, et le réveil sonne déjà.
J'ai les yeux qui piquent, je me sens fatigué, mais pour la bonne cause, n'est-ce pas ?
Je prenais mon repas, me préparais, et commençai mon rituel quotidien.
Seul, évidemment, il y a une conviction à laquelle je tiens.
Enfin, depuis quelques jours, je ne sais plus que croire.
Chaque jour, ces questions me reviennent et me hantent devant mon miroir.
Plus je me regarde, et plus je me demande,
S'il mérite autant d'offrandes.
Qui a besoin de voir le monde tel qu'il est actuellement ?
Mes actes ont-ils eut plus d'importance, par autant ?
(À) Qui et que dois-je écouter ? Regarder ? Parler ?
Est-ce un besoin de l'Homme d'espérer qu'il ait pu exister ?
Malgré ma vie et le rythme de mon quotidien
Ces questions ne partent pas, elles s'accrochent.
Et moi, toujours avec mon symbole dans ma poche,
Symbole d'une mort de plus, qui n'a servi à rien.
Ma matinée est terminée, je me vêtis de ma seconde peau.
Blanc nacré, brodé au fil d'or, ce costume si beau,
Devenu le symbole terrible de mon triste quotidien, de cette vaste blague.
Qu'Il a créé aussi facilement qu'on offre une bague.
La musique est enclenchée, je dois avancer.
Et je vois un rêve, que je ne peux exaucer.
"Unis devant Dieu", quelle magnifique phrase !
Pourquoi a-t'il fallu que je le fasse ?
Mais bon, on a besoin de moi pour accomplir ce travail,
D’apparence pur, qui cache un sale goût d'ail.
Après tout, j'ai donné ma vie à Dieu !
Alors, quel serait le problème d'unir deux âmes pures ?
Je commence à parler, je souhaite et exprime mes vœux.
Oui, je suis le prêtre de cette ville, et ceci n'est pas une heureuse sinécure.
Rayan
Phrase 19 : Vie Donnée
Il est tard le soir, ou tôt le matin, et le réveil sonne déjà.
J'ai les yeux qui piquent, je me sens fatigué, mais pour la bonne cause, n'est-ce pas ?
Je prenais mon repas, me préparais, et commençai mon rituel quotidien.
Seul, évidemment, il y a une conviction à laquelle je tiens.
Enfin, depuis quelques jours, je ne sais plus que croire.
Chaque jour, ces questions me reviennent et me hantent devant mon miroir.
Plus je me regarde, et plus je me demande,
S'il mérite autant d'offrandes.
Qui a besoin de voir le monde tel qu'il est actuellement ?
Mes actes ont-ils eut plus d'importance, par autant ?
(À) Qui et que dois-je écouter ? Regarder ? Parler ?
Est-ce un besoin de l'Homme d'espérer qu'il ait pu exister ?
Malgré ma vie et le rythme de mon quotidien
Ces questions ne partent pas, elles s'accrochent.
Et moi, toujours avec mon symbole dans ma poche,
Symbole d'une mort de plus, qui n'a servi à rien.
Ma matinée est terminée, je me vêtis de ma seconde peau.
Blanc nacré, brodé au fil d'or, ce costume si beau,
Devenu le symbole terrible de mon triste quotidien, de cette vaste blague.
Qu'Il a créé aussi facilement qu'on offre une bague.
La musique est enclenchée, je dois avancer.
Et je vois un rêve, que je ne peux exaucer.
"Unis devant Dieu", quelle magnifique phrase !
Pourquoi a-t'il fallu que je le fasse ?
Mais bon, on a besoin de moi pour accomplir ce travail,
D’apparence pur, qui cache un sale goût d'ail.
Après tout, j'ai donné ma vie à Dieu !
Alors, quel serait le problème d'unir deux âmes pures ?
Je commence à parler, je souhaite et exprime mes vœux.
Oui, je suis le prêtre de cette ville, et ceci n'est pas une heureuse sinécure.
Rayan