[…] elle parvint à arracher un salut à de vieilles femmes au visage buriné qui la regardaient avec méfiance, voire hostilité. → Bravo, Indali ! Ce n’est pas un mince exploit, avec les caméras de surveillance version vintage de l’époque !

[…] quelques femmes s’étonnèrent perfidement d’apprendre qu’elle s’était mariée avec le capitaine sans que personne au village n’en sache rien. → Mmmmm, des personnes comme je les aime (niveau de sarcasme : élevé) ! Et d’ailleurs, au bout d’un moment, même si je peux comprendre qu’elles auraient bien voulu voir Mendoza se mettre sur son 31, c’est pas leurs oignons ! Na !

[…] elle prétendit que le mariage avait été célébré à Barcelone quelques mois auparavant, et feignit d’ignorer les remarques acerbes de ceux qui déploraient qu’ils n’aient pas choisi Porto Conte pour sceller leur union.→ Ce n’est pas bien de mentir mais, étant donné que dans le cas présent, cela relève quasiment du pieux mensonge, c’est tout à fait compréhensible. Par-contre, cela sous-entend aussi que si mariage il doit y avoir (hypothétiquement parlant, bien sûr… Je ne prends pas de risques !

I : Les femmes prient sans doute Dieu pour qu’il me punisse de mes péchés, quant aux hommes…je vous laisse imaginer, mais ils savent depuis longtemps que ma rapière n’est pas une coquetterie décorative. → Bah, les femmes sont juste jalouses – et non sans raison - parce qu’elles ne possèdent pas cette liberté. Les hommes… sages de se tenir à carreau.

[…] Je crois plutôt qu’il suffirait que ces femmes aient une place plus intéressante que celle qu’on leur assigne pour qu’elles se désintéressent de moi. → mais ça, ça va prendre encore un bon bout de temps… Et ce n’est pas fini.
GA : Mais les âmes simples peuvent aussi comprendre à leur manière la puissance du Créateur.
I : J’entends bien. Mais j’ai bien peur qu’elles se laissent aussi facilement manipuler. Sachez que je n’ai pas l’intention de renier ce que je suis pour me conformer à un rôle créé et imposé par les hommes, et non par Dieu. → [ Image Externe ] (dixit le Répurgateur dans Kaamelott). Moi, j’approuve !
Plus probablement, il garderait et ferait élever cet enfant qu’il désirait tant sans accorder aucune existence légale à sa mère. L’âge venant, Catherine aurait de la chance si elle pouvait encore retenir l’attention du chevalier. → Triste, mais réaliste.
De toute façon, le choix n’était pas encore une option, tant que Mendoza n’était pas de retour. → Ça, c’est sûr. Inutile de tirer des plans sur la comète pour le moment. Affaire à suivre.
Au moment du coucher, Zia décida qu’il était nécessaire d’aborder le sujet dont elle brûlait de parler avec Isabella depuis son arrivée → Les fameux rêves. Hâte de voir, moi aussi, ce que va en penser Isabella.

Développait-elle une sensibilité spéciale qui la reliait aux gens dont elle se sentait proche ? Dans ce cas, elle espérait pouvoir aussi ressentir leur joie ! → Je le lui souhaite, en tout cas, car il est vrai que ce serait autrement plus agréable ! ^^
Une seconde après, il sautait sur la corniche sans une explication après avoir poussé une exclamation de triomphe, se contentant simplement de crier à leur intention « Fermez la fenêtre ! J’en fais mon affaire ! ». → Je ne sais pas pourquoi, mais cela m’a fait penser aux Fourberies de Scapin ! Bref… Bonne chasse, chevalier !

I : Que comptes-tu faire ? Faire valser l’épée de Gabriel dans les airs ? →


Ils ont vérifié à l’aide de la boussole : l’objet est en orichalque → Couru d’avance ! Par-contre, petit oubli de typographie : il manque un point après « orichalque ».

Un Solaris II avec des voiles en orichalque ?! La méga-classe !



<Gabriel d’Aubusson> promit de redoubler de vigilance pour les prochaines nuits, ce dont il fut chaleureusement remercié. → Phew ! On a eu chaud ! ^^
[…] une autre image s’imposait à son esprit, celle de la jeune femme en tenue de nuit, telle qu’elle s’était dressée face à lui la nuit précédente […] → Attention, Gabriel, tu portes certes le prénom d’un archange mais tes pensées s’égarent vers le « péché »….


Alvares était de retour, en compagnie d’un autre homme, le marchand Ruiz, et ce dernier ne semblait pas être de bonne humeur. → Ah ! Revoilà notre marchand aux motivations plus que suspectes. Enfin, non, pas ses motivations. En bon marchand, il veut s’enrichir. Mais cela n’explique pas pourquoi Ruiz a imposé Gonzales à Mendoza. Ou plutôt, quelle offre allécheante a-t-il bien pu recevoir pour le faire ? De la part de qui ? Hava ? Comment l’aurait-elle connu ? Beaucoup de questions s’entrechoquent dans ma tête, tout à coup.
R : Trêve de politesses, je n’aime pas que l’on se moque de moi, senorita Laguerra. → Ouuuuh, il y en a un qui s’est levé du pied gauche ! Vas-y, Ruiz, dis-nous combien d’or tu as perdu… (Et si en plus il est dans le coup, c’est un vrai salopard !)
R : Vous jouez l’innocente ? Très bien ! Alors sachez que ce lingot n’est pas en or !
I : C’est ridicule ! De quoi parlez vous ?
R : Du fait que j’ai voulu le faire fondre, sans y parvenir !
→ Oh, voilà qui devient intéressant ! Mais au-delà du fait que nous apprenions officiellement que ces lingots sont en orichalque, c’était aussi une jolie manière de réutiliser la technique de fonte comme moyen de vérification. ^^ (Question subsidiaire mais réelle : était-il courant de vouloir faire fondre des lingots pour les transformer en pièces, à l’époque ?)
R : Ce n’est pas suffisant. Je veux qu’ils s’engagent à me céder leur exploitation, et je veux un contrat en bonne et due forme ! → Il va mettre Sancho et Pedro dans la balance ?! Ça ne va pas leur faire plaisir !
A : Très bien. Mademoiselle, vous direz à la senorita Laguerra que je veille sur ses intérêts et ceux du capitaine. → Et le voilà qui recommence à faire le yoyo avec l’estime que je lui porte. On dit que souvent femme varie, mais qu’en est-il des hommes ?!?

Vivement la suite !
