• Je savais que nous avions différents types de larmes, mais je n’en connaissais pas les noms respectifs, donc je te remercie pour m’avoir appris cela (je me coucherai moins bête ce soir) !
• Le caractère étrangement insensible d’Isabella et sa volonté de remédier à ce problème de manière « artificielle » (pour reprendre le terme que tu as employé) est intéressant du point de vue psychologique… C’est à la fois triste, «attendrissant » au sens où cela provoque un sentiment d’empathie et pourtant quelque peu lugubre.
Je comprends mieux, du coup, un détail d’une scène à venir (mais je ne peux rien dire ici) et je me demande quand (et comment) tu nous dévoileras l’origine de ce mal.
*insertion de roulements de tambour*
• Mendoza qui sait qu’elle ment mais fait semblant de ne pas l’avoir remarqué, car ce n’est pas le moment : classe.
• Je l’ai déjà dit, mais j’affectionne tout particulièrement le retour des feux de Saint-Elme ^^
• De Rodas qui croit déjà être en Enfer est un joli clin d’œil aux superstitions des marins de l’époque.
• « C'est le capitaine, et il est déterminé à sombrer avec son bateau. » Aaaah, voilà un capitaine qui a un minimum de sens éthique (pas comme un certain capitaine des navires de croisière Costa….

) ! J’aime bien la manière qu’il a de ne pas lâcher sa pipe, même en plein milieu d’une tempête (ou, un peu plus loin, sa vilaine blessure).
• Belles descriptions lors de la tempête, et un sacré moment de suspense lorsque Zia est sur le point de passer par-dessus bord. Heureusement que Mendodo avait prévu le coup !
• J’aime bien la façon dont tu présentes le personnage d’Anne De Montmorency (il est complètement taré ! Le type survit à un ouragan et, non content d’être encore en vie, précise que les autres sont toujours ses prisonniers….). Le problème avec les personnages historiques, c’est qu’on ne peut pas les faire disparaître comme on veut, évidemment. ^^
Bon, la suite, maintenant qu'on a un bel édifice religieux apparu au beau milieu de nulle part ! 