













Hou! Hou!




























Père Rodriguez: “Tu veux VRAIMENT connaître la légende de Maria-Blanca, fils du soleil? Très bien, je vais te la raconter, mais si je fais cela, c’est pour te mettre en garde. Voilà: À l’époque où ce lieu saint n’était qu’un couvent pour nonnes, une jeune femme nommé Maria prononça ses vœux de chasteté à contrecœur car elle espérait, en devenant sœur, échapper aux souffrances que pouvait lui infliger l’amour. Elle avait si peur de tomber amoureuse et d’être déçue tant elle avait vu de femmes aux cœurs brisés qu’elle offrit son existence à Dieu. Mais Maria était une très belle femme et un an après avoir prononcer ses vœux, ce qui devait arriver arriva. Elle s'éprit du jeune homme qui s’occupait d’allumer les cierges et de nettoyer ceux-ci à l’aide d’un petit couteau pour récupérer la cire. Leur amour, bien que secret, fut vrai et jamais Maria ne fut déçue. Mais en agissant ainsi, elle avait désobéi à son devoir de chasteté et lorsqu’elle mourut, elle fut condamnée à hanter les lieux où elle avait vécu et à pleurer son malheur. Depuis ce temps, on dit que, le jour anniversaire de sa mort, soit un 27 octobre, si on se trouve dans une pièce non éclairée et qu’on tient un couteau dans une main et une chandelle allumée dans l’autre devant un miroir et que l’on prononce treize fois le nom “Maria-Blanca”, elle apparaîtra dans la glace, portant une robe blanche, remplie de tristesse et de douleur. Mais si je te dis tout cela Estéban, c’est parce que quelques novices et moi avons tenté cette expérience devant le miroir du presbytère et crois-moi, jamais nous n’avons crié aussi fort en même temps lorsque Maria est apparue devant nous. Alors, je te conseille de ne pas en faire autant si tu ne veux pas te trouver en face du vrai visage du désespoir”.
















































Monstrueux Halloween, bande de citrouilles!