Je crois que nous avons la même définition du mot "violence", mais pas du mot "crédibilité"badger leader a écrit :J’ai pris le temps de la réflexion. A la lecture de la réponse je me demande si nous ne pouvons pas tomber d’accord sur le fait que nous n’avons pas tout à fait la même idée sur la notion de « violence ».
Ce que je veux dire, c’est qu’il est très difficile d’écrire une suite à une série qui trouve sa crédibilité dans un contexte historique violent avec des opposants utilisant la violence, alors que les règles de la production (30ans plus tard) on changé et ne permet pas des mise en scène aussi réaliste pour les gosses.
la première saison est basée sur un grand déploiement de violence. Le 16éme est un siècle très violant. Le background est quand même la conquête du nouveau continent par les espagnols. Historiquement c’est une guerre de conquête.
La première violance est l’enlèvement de Zia par Mendoza.
Pour mémoire la définition de La violence est « l’utilisation de force physique ou psychologique pour contraindre, dominer, causer des dommages ou la mort. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance. »
La crédibilité des méchants de la première saison est bien basée sur cette définition.
Moi, depuis le début, je ne demande pas aux méchants qu'ils soient violents, mais crédibles comme obstacles.
Ca veut dire des méchants dont je puisse penser qu'ils vont mettre des bâtons dans les roues des héros et qu'ils peuvent même mettre en danger leurs vies.
Dans cette suite, il n'y a que des méchants ridicules et débiles. Je ne peux pas croire qu'ils représentent un vrai obstacle ou danger.
Du coup, je n'ai pas peur pour nos héros et il n'y a pas de suspense. Bref, je m'ennuie...
Zarès ou le balafré ne sont pas ridicules et ont l'air intelligent. Ils pourraient faire de super méchants, SAUF QU'ils ne sont pas des obstacles pour nos héros.