Chroniques Catalanes. Les lettres de mon marin.

C'est ici que les artistes (en herbe ou confirmés) peuvent présenter leurs compositions personnelles : images, musiques, figurines, etc.
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TEEGER59
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Re: Chroniques Catalanes. Les lettres de mon marin.

Message par TEEGER59 »

Épilogue.

Au début des ides de décembre, le treize exactement, le concile de Trente débuta.

90.PNG

À 9H30, la procession des Pères Conciliaires, des ambassadeurs et de la noblesse du lieu entra dans la cathédrale Saint-Vigile pour la messe du Saint-Esprit et la première session.
Depuis le temps où il recevait l'enseignement du futur Adrien VI, Charles Quint rêvait du Grand Synode qui purifierait l'Église et réconcilierait les chrétiens. La réalité fut amèrement décevante. Dès la première séance, il apparut que ce concile réunit aux approches d'une guerre de religion, ce concile œcuménique dont les protestants étaient absents donna lieu à un combat entre le pape et l'Empereur.
Celui-ci désirait que la priorité soit donnée à la réforme interne de l'Église. Alors seulement le concile aura l'autorité nécessaire pour définir sa doctrine et l'imposer à tous. Si les protestants contestaient encore, ils prouveront que leurs mobiles ne sont pas religieux. Paul III, au contraire, tenait à ce que la théologie passa au premier plan selon un usage millénaire. Il sera temps de s'occuper du reste quand les Pères se seront exprimés là-dessus. Chacun faisant preuve d'une égale obstination, force était d'arriver à une transaction: on traitera alternativement les deux questions.
Mais le Saint-Père avait l'avantage. Seuls les prélats Espagnols et Napolitains que menait le cardinal Pacheco défendaient la thèse impériale. Ils ne firent pas le poids devant la Curie et les remarquables dialecticiens de l'Église qui ne manquait pas de théologiens éminents comme elle en manquait aux premiers temps de Luther. Les trois légats étaient des hommes de grande valeur. Ils n'entendaient pas perdre l'occasion, n'ayant aucun dissident devant eux, de donner au catholicisme une arme nouvelle. À leurs yeux, ce serait un crime d'y surseoir et de créer des troubles graves en voulant limiter les bénéfices ecclésiastiques, changer les mœurs du clergé, lui rappeler des devoirs oubliés, bref le soumettre à une discipline qui paraissait insupportable. Les Pères s'étaient attachés aux intérêts de la foi, non à ceux de la politique et n'avaient pas tenu compte des récriminations profanes.
À 14H00, la première décision fut prise: la date de la seconde réunion fut fixée. Les Pères tombèrent dans les bras les uns des autres. Seripando, le général des Ermites de Saint-Augustin, l'ordre de Luther, nota dans son journal:
La bouche est ouverte, qui ne peut proclamer que la vérité.

☼☼☼

La vérité! C'est tout ce que l'aventurière voulait savoir quand, installée devant la porte de la grande salle, en haut des marches de la petite logette, elle conversa avec son époux. La question lui brûlait les lèvres. Elle lui demanda de lui expliquer qui était cette femme qui l'avait accompagné jusqu'à Barcelone et, comment elle s'appelait. Comme s'il s'éveillait d'un songe, il se tourna vers elle.
:Mendoza: : Francesca était juste une amie...
:Laguerra: : Les gens parlent Juan. J'aimerai avoir ta version. Il s'est passé quelque chose entre vous deux?
:Mendoza: : La même chose qu'entre Jaume et toi... Uniquement deux baisers dans un moment de faiblesse. Le reste n'est que calomnie...
:Laguerra: : Oui, mais contrairement à moi, vous étiez consentants...
Ce fut comme si les fours d'un atelier de verrerie s'étaient allumés en même temps dans ses veines. Un torrent ardent incendia son sang... le submergea. Mendoza demeura un instant, penché en avant, comme un homme pris de vertige, suspendu au-dessus d'un précipice, puis releva un visage bouleversé qu'il chercha à dissimuler en y passant plusieurs fois une main tremblante.
:Mendoza: : Que m'arrive-t-il? Dieu, que m'arrive-t-il? Je n'ai jamais possédé cette pucelle... Pourquoi sa mort m'affecte-t-elle toujours autant? (Pensée).
Il se demanda s'il n'allait pas tomber, là, aux pieds de sa femme qui le dévisageait de ses prunelles élargies.
En voyant ses traits, la lumière du bonheur vacilla et s'éteignit dans l'âme d'Isabella comme elle venait de s'éteindre dans les yeux de Juan. L'épouse comprit alors que cette jeune femme lui avait arraché l'homme qu'elle aimait et qu'elle devait être en grande partie responsable de sa réclusion au prieuré de Gérone. L'aventurière se prépara à une joute verbale. Mais, il n'en fut rien car le capitaine baissa la tête en marmonnant:
:Mendoza: : Je ne me sens pas très bien.
Son ton était étouffé.
:Mendoza: : La tête me tourne. Avec ta permission, je vais aller m'allonger. On en reparlera plus tard...
Et sans attendre son congé, il tourna les talons et traversa la salle comme un somnambule. Isabella, envahie par le désespoir, le regarda sortir mais ses yeux étaient secs. Le Catalan gagna la chambre conjugale, se laissa tomber sur le lit et enfouit son visage dans un des gros oreillers... Sa figure était celle d'un homme qui savait que le feu qui le brûlait était un reflet de celui de l'enfer.
:Mendoza: : Seigneur, il ne fallait pas la mettre sur mon chemin, cette fille qui était la jeunesse, le charme, la chair en fleur... (Pensée).
Il se répétait ces mots en tournant dans son lit.
:Mendoza: : Elle était ma dernière chance... À mon âge, une rencontre pareille rend fou car je savais que Francesca partageait mon trouble, qu'elle avait été prise de vertige durant ces baisers. Je n'avais qu'un geste à faire. Maintenant qu'elle n'est plus, elle s'est logée dans ma tête, dans mon cœur, dans mon sang, comme un très doux poison. Je ne peux plus le rejeter sans rejeter ma vie. (Pensée).
L'air perdu, Juan tourna la tête et fixa le crucifix accroché au mur.
:Mendoza: : Vous qui nous avez créés et connaissez nos faiblesses. Dieu, prenez pitié de moi! Prenez pitié! Cette folie peut m'amener au pire! À cause d'elle, je serais capable de délaisser femme et enfants, de quitter Isabella, qu'en dépit de tout, je continue à aimer... (Pensée).
Il resta un long moment prostré, au bord du matelas. Il s'endormit en étant convaincu que, seul un miracle pourrait le sauver.
Quand Isabella vint le rejoindre, il n'avait pas bougé et paraissait somnoler. Elle s'approcha du grand corps étendu et se pencha sur lui.
:Laguerra: : Juan?
Il ne répondit pas.
:Laguerra: : Sans doute s'est-il endormi. C'est ce qu'il pouvait faire de mieux. Qu'il se repose. Un bon somme le remettra d'aplomb! (Pensée).
Elle sortit doucement de la pièce pour se rendre dans le jardin. Elle ne savait pas à ce moment-là que son mari venait de prendre une décision qui allait encore les séparer...

FIN.
:Laguerra: : AH! Comme on se retrouve!
:Mendoza: : Ma première leçon ne t'a pas SUFFIT?
:Laguerra: : Cette fois, tu ne t'en sortiras pas si FACILEMENT!
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Aurélien
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Re: Chroniques Catalanes. Les lettres de mon marin.

Message par Aurélien »

Encore un très beau passage marquant l'épilogue et la fin de cette péripétie ! 😍😍

Malgré un début treeeeees doux voir un peut trop quand même à mon goût ! Presque le sentiment d'avoir à faire à une autre série mais ayant les mêmes personnages en plus poussé ! On voit clairement que dans cette immen se accalmie la famille s'est énormément agrandi !

Mais la suite de l'histoire rattrape totalement le récit !! Avec des moment douloureux voir très sombre qui opèrent aux côtés de Mendoza lors de son voyage en Angleterre ! Des autres moment de tristesse, de déception qui est également très présent du côté d'Isabella et de ses enfants !

Sans parler du coups de grasse vers la fin ou on en voit plein les couleurs des actions, des combats mais aussi de vrai déchirement ainsi que ponctué dannectoctes plus intéressantes les une que les autres et de moment joyeux !

En concluant avec une fin complètement en accord avec les réalités de l'époque ! Mais qui contrairement au début n'est pas trop lourde !

Enfin bref un succulent mélange !
Les Mystérieuses Cités d'or

Die geheimnisvollen Städte des Goldes

The mysterious cities of gold

Las misteriosas ciudades de oro

As cidades misteriosas de ouro
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TEEGER59
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Re: Chroniques Catalanes. Les lettres de mon marin.

Message par TEEGER59 »

Merci beaucoup Aurélien.
:Laguerra: : AH! Comme on se retrouve!
:Mendoza: : Ma première leçon ne t'a pas SUFFIT?
:Laguerra: : Cette fois, tu ne t'en sortiras pas si FACILEMENT!
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Re: Chroniques Catalanes. Les lettres de mon marin.

Message par Ra Mu »

Elle ne savait pas à ce moment-là que son mari venait de prendre une décision qui allait encore les séparer...
Eeeeeet un tome 3, un! :D
- On s'est tout de même embrassés, cela ne signifie donc rien?
- HEIN? T'as embrassé Ambrosius?
- *soupir* Allez, déblaie!
HOP HOP HOP! :x-):
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Re: Chroniques Catalanes. Les lettres de mon marin.

Message par TEEGER59 »

Parfaitement!
La suite aura pour titre "La Reconquista".
(Si je ne change pas d'avis d'ici-là).
:Laguerra: : AH! Comme on se retrouve!
:Mendoza: : Ma première leçon ne t'a pas SUFFIT?
:Laguerra: : Cette fois, tu ne t'en sortiras pas si FACILEMENT!
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Re: Chroniques Catalanes. Les lettres de mon marin.

Message par Akaroizis »

Capricieux ce Juan, il gâche toujours tout. Vilain. :x-):

M'enfin dans l'absolu s'il nous permet de profiter d'un tome 3, je ne dis pas non... :P :roll:
Le présent, le plus important des temps. Profitons-en !

Saison 1 : 18.5/20
Saison 2 : 09/20
Saison 3 : 13.5/20


Ma présentation : viewtopic.php?f=7&t=80&p=75462#p75462
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yupanqui
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Re: Chroniques Catalanes. Les lettres de mon marin.

Message par yupanqui »

La remontada...
« On sera jamais séparés » :Zia: :-@ :Esteban:
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IsaGuerra
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Re: Chroniques Catalanes. Les lettres de mon marin.

Message par IsaGuerra »

Bon, après un bon retard, j'ai fini de lire cet fic' ^^

Je ne vais pas simplement te féliciter pour ce travail, j'en ai profité pour relever certains passages qui m'ont marqué

Page 3 Post 2
→ Mendoza c'est pas bien d'écouter aux portes ! En plus il se casse la figure :lol: :lol:
Page 4 Post 1
→ Prison Break ? Sérieusement ? Bon bah tu m'as tué :lol:
Page 6 Post 2
→ Je n'ai pas rêvé tu as bien associé une chèvre à une petite vieille ?
Page 7 Post 1
→ Isabella qui s'inquiète pour l'accouchement de Zia c'est trop mignon. Inquiétude certifié vu les dits d'Esteban.
Page 7 Post 3
→ Señora De Borgia → SDB → Désolée mais je pense à Salle de bain :lol: :lol:
Page 8 Post 1
→ Paul III ainsi que cette lettre souhaitée et la réaction d'Isa me donnent l'impression qu'il va se passer de drôle de chose à l'avenir
→ Mendoza aurait donc perdu la mémoire suite au naufrage ?
Page 8 Post 2
→ Le commanditaire ne serait-il pas Jaume souhaitant se venger de notre chère Isa ?
→ Isa qui veut repartir ça ne m'étonnes pas :roll:
Page 8 Post 4 (je crois)
→ Si c'est bien Mendoza ce fameux frère Innocent est-il parti seul ou avec de la compagnie ?
Page 9 Post 1
→ Gagné frère Innocent = Mendoza
→ Même amnésique il reste fidèle ça c'est notre Mendoza, par contre Francesca n'a pas eut l'air d'apprécier
Page 9 Post 2
→ Et bien et bien... Le mariage de Tao et Jesabel n'est certes pas comme la mariée l'espérait mais tout de même assez beau à voir
Le petit moment où Luis se sent mal m'a fait sourire, laisser sa fille aux soins d'un autre homme n'est pas du tout aisé pour ce cher papa
→ Le petit moment où Luis se sent mal m'a fait sourire, laisser sa fille aux soins d'un autre homme n'est pas du tout aisé pour ce cher papa
Page 10 Post 1
→ Montage d'Isabella et Javier je le trouve tout simplement magnifique :-@ :-@
Page 10 Post 2
Pablo : Le bruit court qu'un vieil homme aurait vu on papa...
Tao : Ce n'est pas parce qu'un vieux moisi vient nous baver dans les étagères
→ Tout simplement excellent ! :lol:
Pablo : La raison c'est maman !
→ Bah il ne croit pas si bien dire
Page 10 Post 3
→ Le combat de Mendoza mais wow j'avais l'impression d'y être ! Il a perdu la mémoire mais ses réflexes sont toujours aussi superbes
→ Les 3 dernières phrases : Non ?? Non t'as pas osé ?
Page 10 Post 4
→ Bien évidement tu ne continues pas de ce côté ! Non tu changes pour bien nous embêter !
Page 11 Post 1
→ Petit plaisir personnel de pouvoir lire Lorraine et Nancy :x-):
Page 11 Post 2
Tao : Sa compagne morte
→ Hein ?? Quoi ? C'est elle le pendu alors ?
→ Le soldat « Certes, certes » j'ai cru que j'allais le taper
Fin page 11
→ Pardon ?? Pardon ?? Pardon ?? Mendoza ?? Un moine ?! :shock:
Page 12 Post 1
→ Mais pourquoiiiiiiiiiiiiiii ?? Mais non pas ça ! Je m'attendais à de belles et émouvantes retrouvailles mais pas ça :cry: :cry:
→ Tout le long moment du récit de leurs mésaventures respectives je n'ai pas pu lâcher mon portable, j'ai même relu plusieurs phrases pour être sûre de bien les comprendre
→ C'est mais beaucoup trop violent la fin là
Page 12 Post 2
Cette femme est morte pour moi !

→ Là c'est Mendoza que j'ai envie de taper à coup de massue :evil:
Miguel, emporté par une colère furieuse courut au prieuré

→ Oulà oulà une dispute entre frère planquez vous ça va faire mal ! :twisted:
→ Soledad peut être rude mais je lui donne totalement raison
Personne ne répondit
+ la phrase de Miranda → Ça sent extrêmement mauvais dans le coin !
→ Eh mais la vache c'est hyper violent en émotions là !
Page 13 Post 1
→ CQ qui veut condamner à mort sa propre fille ? Bah parfait !
→ Je le savais !!!! Je le savais que cette lettre risquait d'emmener vers de gros ennuis, mais je ne pensais pas si gros
→ Carmina qui s'adresse à CQ comme si son statut d'empereur n'existait ! :lol:
→ Sempere qui choisit le camp d'Isa c'est absolument trop mignon et très drôle
→ Le duel qui tombe à pic et les dires de CQ m'ont grandement fait plaisir !
→ Juan où es-tu ta belle à besoin d'un champion ?
Page 13 Post 2
→ Les retrouvailles mère-enfants juste :-@ :-@
→ Comme d'habitude il arrive toujours au dernier moment lui (Juan)
Une compagne ?
→ Ouuuuups :oops:
→ CQ n'est qu'un petit cachottier manipulateur (je n'ai pas dit le mot qui m'est venu à l'esprit en premier) :lol:
Épilogue
→ C'est quoi ce final ?? Mais c'est hyper cruel !

Petit retour sur quelques personnages :

Isabella :
Page 6 Post 2
→ Elle ne m'a jamais fait autant de peine que depuis le départ de Mendoza :cry: :cry: et c'est tellement visible
Page 7 Post 1
→ Aaaaaaaah le coup de genou bien placé ouiiiiiiiiii :lol: :lol:
Page 7 Post 2
→ Alors la pour un accouchement rapide c'est rapide
Page 10 Post 1
→ Bordel déjà que de ce qu'on sait d'elle elle est très renfermée mais là tu l'as fait encore plus
Page 11 Post 2
→ Bon sang, ça la détruit tellement de se retrouver seule et sans nouvelle...
→ Tu sens que j'en ai eut la gorge nouée de la voir dans cet état ?
Page 12 Post 1
→ Tu vas finir par me tuer ! C'est trop horrible comme moment
Page 13 Post 2
→ Le courage dont elle fait preuve c'est impressionnant
→ Les au-revoir + la pensée qu'Ambrosius n'aurait pas du la sauver = Montée de larmes (pas gentil de me faire ça)
Clairement, voir Isabella comme ça ça m'a fait vraiment beaucoup de peine et de mal de la voir agir ainsi j'espère sincèrement que ça ne sera plus pareil pour la suite

Carmina :
Je n'ai pas relevé beaucoup de chose sur elle, mais il n'y a pas a dire je l'aime beaucoup. Elle n'a pas son pareil pour dire ce qu'elle pense ou agir comme elle le souhaite

Par contre ne m'en veut pas mais je n'ai JAMAIS lu le nom du médecin qui s'est occupé de Mendoza, je ne sais pas pourquoi j'arrive pas à le prononcer sauf en y allant lentement ce qui casse tout le rythme de la lecture (Fracastoro)

Jaume :
1ère réplique, il me gonfle déjà. Et ça continue avec la 2ème et la 3ème
Jaume riait. Il était beau, sûr de lui et exaspéra Isabella

→ Bah c'est pas la seule
Page 6 Post 2
→ D'où il lui envoie un baisé du bout des doigts ?? :x
Il fallait que cette femme soit à lui.
→ Nan mais t'as cru quoi mon vieux ?? Elle appartient qu'à un seul homme et c'est Mendoza !
Page 7 Post 1
→ Laissez moi le frapper !!
Au diables les hésitations ! Affaiblie par la fièvre ma petite enlumineuse ne pourra plus se défendre avec la même vigueur que l'autre nuit... Et puis je suis certain qu'elle se languit de caresses...
→ Peut être que oui mais sûrement pas des tiennes ! (et je ne dis pas le dernier mot, je suis trop polie pour ça)
Page 12 Post 1
→ Je vais aller l'étrangler c'est pas possible il vient toujours mettre son grain de sel quand il faut pas lui ! :evil:
Page 13 Post 1
→ Eh c'est le retour... Tellement heureuse ! :roll:
→ Ah bah tient ! La voilà sa vengeance à ce …
→ A l'annonce du duel j'imaginais mais tellement une tête totale déconfite je rigolais toute seule :lol:

Francesca :
Page 9 Post 2

~ Moment du journal ~ : A vrai dire je ne sais pas trop quoi penser d'elle dans un sens je l'aime pas parce qu'elle essaie de garder Mendoza pour elle mais dans l'autre sens elle s'interdit de l'aimer
→ Bon oublie ma remarque je l'aime pas... Comment ose-t-elle embrasser Mendoza ??
Page 10 Post 2
→ Bordel mais je... Je l'aime de moins en moins à forcer Mendoza à s'enfuir
Page 10 Post 3
→ Bon euh... Même si je ne l'aime pas j'aurais préféré qu'elle ne soit pas victime de ce rustre (et pas moins salopard) de Ramon

Conclusion :

Bon et bien tout d'abord, tu t'en doutes, je n'ai pas pu tout mettre ça aurait été bien trop long et en plus je ne relevais pas forcément les choses sur le moment.
Je vais essayer d'être la plus claire possible. Donc pour commencer je te félicite c'est une fiction vraiment prenante. Je dois avouer que le début m'a un peu rebutée mais j'ai très vite été prise dans les événements, à commencer par tout ce qui arrivait à Isabella. Je ne sais pas comment tu as fait mais grâce à toutes tes descriptions j'avais vraiment l'impression d'être près d'elle comme un fantôme à chaque extrait où elle était présente.
A travers toute la fic on est passé par une vie normale, puis de la peine à cause de la séparation, des moments de solitude, l'inquiétude sévère de ne pas revoir l'être aimé revenir, la folie, le chagrin, le désespoir, quelques moments de joie ultime et j'en passe... De tout ça ce sont la folie et les petits moments de joie ultime qui m'ont vraiment fait le plus de plaisir.
Pendant ma lecture, je me disais que je lirai post par post mais cet après-midi j'ai lu le passage des retrouvailles avec Juan et.... Je n'ai pas lâché mon téléphone j'étais subjuguée par les faits que tu relatais c'était juste impressionnant !!
Quant à la fin, je sens que je vais avoir d'énormes surprises en lisant la suite

Voilà voilà je crois que j'ai tout dit de ce qui me venait en tête, je sais qu'il en manque mais l'essentiel est dit, tu as fait un superbe travail ! ;)
Ah et j'allais oublié
De tous les enfants Mendoza, Pablo est sans aucun doute mon préféré :
Un petit garçon renfermé qui m'a énormément attiré je ne sais pas pourquoi
Il cherche toujours à vouloir protéger sa famille
Il sauve sa maman, le petit moment juste après m'a totalement fait fondre :-@ :-@
« On le fait parce qu'on sait le faire » Don Flack
« Ne te met pas en travers de ceux qui veulent t'aider » Sara Sidle

« J'ai de bonnes raisons de faire ce que je fais » Isabella Laguerra
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