Re: fanfic mco4 :D
Posté : 27 août 2018, 16:51
Chapitre 3 : La stèle du diamant blanc
La nuit venait de tomber, nos héros étaient rentrés au condor. Sancho et Pedro s’affairaient à faire la cuisine, Tao apprenait à Zia et Esteban comment lire le langage Mu tandis que Mendoza apprenait à Laguerra comment se repérer grâce aux astres.
M- C’est quand même incroyable qu’une fille aussi cultivé et intelligente que toi n’ai jamais appris ça.
L- Oh tu sais moi et l’école… j’allais en cours mais celui d’astrologie était en dernier alors je pensais plus à ce que j’allais faire après. Si j’allais sortir, rester tranquille dans mon appartement ou si j’allais passer la soirée chez une amie.
M- J’aurais adoré vous voir quand vous étiez en cours.
S/P- C’est prêt !!!
T- On arrive !!
Après le repas, tous partirent se coucher pour être en forme le lendemain, tous ? Non, Laguerra et Mendoza étaient restés dans le cockpit, un verre de vin à la main.
L- Mendoza, si je disparaissais du jour au lendemain, tu ferais quoi ?
M- Je partirais à ta recherche, je te chercherai jour et nuit jusqu’à te retrouver. Pourquoi cette question ?
L- Parce que…arrivé à la stèle de la lune, je vais disparaitre quelques heures après.
M- Pourquoi tu devrais disparaitre ?
L- Je ne sais pas, je sais que ça à un rapport avec les cités d’or.
M- Et… ça durerait combien de temps ?
L- Jusqu’à ce que vous trouviez la prochaine cité je pense.
M- Pourvu que ça ne soit pas long alors.
L- J’espère aussi, si on allait dans la chambre maintenant, il se fait tard et l’excursion de demain ne sera pas une promenade de santé.
M- Bonne idée.
Le lendemain, tout le monde étaient sur le pied de guerre, motivés et gonflés à bloc. Ils pénétrèrent dans le tunnel puis, arrivés au niveau du passage que Mendoza et Laguerra avaient emprunté la veille, tout le monde se tue. Mendoza déboucha le trou qu’ils avaient creusé.
M- Pas d’olmèque en vue.
L- Dépêchons nous, nous sommes suivis.
Et Laguerra n’avait pas tort, Zarès et sa troupe les suivaient depuis qu’ils avaient pénétré dans la grotte. Arrivé devant la stèle, tous l’examinèrent attentivement.
Z- Là, il y a une fente !
T- Super, dépêchons nous, on entend déjà les cris des olmèques.
Tao glissa le double médaillon dans la fente et la stèle se mit à descendre lentement.
M- Vite, tout le monde dessus !
Une fois qu’ils furent tous dessus, la stèle descendit plus vite et le passage au-dessus de leur tête se fermait. Zarès, Gaspard et Gomez entrèrent dans la salle mais celle-ci était vide, les olmèques arrivaient en trombe et se préparaient déjà à la lutte. Le combat semblait gagné d’avance pour le olmèques, mais c’était sans compter sur l’exosquelette de Zarès, ils l’attaquaient par deux voire trois soldats en même temps mais Zarès les renvoyait à chaque fois. Gaspard et Gomez se débrouillaient comme ils pouvaient mais les olmèques étaient trop nombreux.
Go- On ne tiendra jamais le coup !
Za- Imaginez Mendoza à la place des olmèques !
Ces mots les avaient remotivés comme jamais, la vingtaine d’olmèques de départ diminuait mais des renforts arrivaient. Du sous-sol, nos héros entendaient le bruit des épées contre les lances.
E- Eh bien, ça n’a pas l’air de rigoler en haut.
P- Si on attendait que ça se calme pour remonter ?
Sancho et Pedro étaient pétrifiés à l’idée de remonter.
T- Avant de penser à ça, il faudrait d’abord qu’on trouve ce parchemin qui nous indiquera le chemin à suivre.
En haut, les olmèques venaient de battre en retraite, Zarès les avait terrorisés. Gaspard et Gomez étaient à bout de souffle mais le champ de bataille était monstrueux, un grand nombre d’olmèques gisaient au sol dans un terrible bain de sang.
Go- Que faisons-nous maintenant ?
Za- Nous allons tendre un piège à ces gamins et nous devrons récupérer Laguerra. Je ne veux aucun mort, Gaspard, vous ferrez en sorte que Mendoza sache où nous allons mais pas précisément. Vous lui direz le nord du Canada, je vous donne une carte au cas où nous serions séparés.
G- Pourquoi Laguerra ? Et pourquoi le Canada ?
Za- Sous la torture, je suis sûr de pouvoir récupérer des informations sur le lieu où ils vont et puis, j’ai une base secrète au Canada, on enfermera notre prisonnière dans une tour et on attendra que Mendoza vienne la chercher pour les tuer tous les deux. Partons maintenant.
En bas, nos protagonistes avançaient dans un long et étroit couloir, l’air était humide et de petites gouttelettes d’eau fraiche tombaient sur le sol boueux
T- On est éclairait par de la mousse phosphorescente…
E-…comme en Amérique.
Ils arrivèrent dans une salle en dalle noire avec une petite salle pour seul ameublement.
Z- Regardez, il y a un parchemin sur la table.
T- C’est une carte !
E-Oui mais elle est bizarre.
M- Ca représente le Groenland, voici donc notre prochaine destination.
L- Tu y es déjà allé ?
M- Non.
P- Qu’est-ce qu’on attend pour partir allons-y !
S-Les ci…ci…cités d’o…d’or ne…ne…ne sont pas…pas loin…loin.
Ils firent demi-tour le sourire aux lèvres et du baume au cœur, pensant que Zarès était hors d’état de nuire. En remontant, ils découvrir avec effroi la scène qui s’était passé quelques minutes plus tôt.
P- C’est…c’est juste un avis mais…si on partait.
T- Je suis d’accord avec toi.
Ils se dépêchèrent de sortir sans savoir qu’un guétapant les attendait. Après avoir fait quelques mètres hors de la grotte, Zarès, Gaspard et Gomez se positionnaient face à eux.
M- Courez vous mettre à l’abri dans le condor, on vous rejoindra !
Les enfants, Sancho et Pedro partirent en courant en direction de la plage où se trouvait le condor mais Gaspard d’interposa.
G- Hep là !! Pas si vite !
Esteban courut vers Gaspard, lui fit perdre l’équilibre et le fit tomber, les autres en avaient profités pour s’échapper et Le jeune Atlante ne mis pas longtemps à les rejoindre. Pendant ce temps, Laguerra et Mendoza se battaient corps et âmes contre Zarès et Gomez. Gomez ne faisait pas le poids face à Mendoza mais celui-ci revenait toujours à la charge, Zarès venait de se débarrasser de toute les armes de la femme, le prit par les hanches et sauta jusqu’à la nef en criant :
Za- Gomez ! A la nef !
Il s’exécuta tandis que Mendoza voyait « sa » emporté par Zarès, se débattant inutilement car elle savait que ses chances d’évasion face à Zarès étaient de 0%.
M- Isa !!! Non !!!!!!
Seul Gaspard n’était pas à bord de l’engin, Mendoza le saisit par le col et le souleva à dix centimètre au-dessus du sol.
M- Où l’emmènent-t-ils ?
G- Je sais pas.
M- Répond moi ou je te transforme en petits dés que je jette aux requins !!!
G- D’accord, ils l’emmènent à Inuvik, c’est…c’est au Nord du Canada, voici la carte.
Mendoza s’empara de la carte et laissa Gaspard s’effondrer au sol, pétrifié de peur. La nef faisait déjà demi-tour pour le récupérer mais Mendoza ne pouvait pas le voir, il courait vers le condor, anéantit par la colère et la rage. Une fois dans le condor, tous les regards se posèrent sur lui.
E/Z/T- Et Laguerra ?
M- Je…je n’ai pas réussi à la sauver, Zarès l’a enlevée. Je… je n’ai rien pu faire.
Sa voix était triste et mélancolique, ses yeux noirs semblaient vides, c’étaient comme si son âme était partit avec Laguerra.
E- Où l’ont-ils emmenée ?
M- Au Nord du Canada, à Inuvik, voici la carte.
E- Alors en route, ne perdons pas de temps !
M- Une fois là-bas vous me déposerez puis repartirez, je ne veux pas que vous couriez le moindre risque. Sancho et Pedro veilleront sur vous.
Z- Mais comment allez-vous nous rejoindre ?
M- En bateau. Regarde, j’ai dessiné le chemin à suivre. T- Avec le condor, on sera là-bas d’ici deux ou trois jours.
Sans que personne ne puisse s’en rendre compte, une larme coula sur la joue de Mendoza, il serait dans sa main un médaillon représentant la lune.
P- C’est quoi ce que tu as dans la main ?
M- Le médaillon de Laguerra…
La nuit venait de tomber, nos héros étaient rentrés au condor. Sancho et Pedro s’affairaient à faire la cuisine, Tao apprenait à Zia et Esteban comment lire le langage Mu tandis que Mendoza apprenait à Laguerra comment se repérer grâce aux astres.
M- C’est quand même incroyable qu’une fille aussi cultivé et intelligente que toi n’ai jamais appris ça.
L- Oh tu sais moi et l’école… j’allais en cours mais celui d’astrologie était en dernier alors je pensais plus à ce que j’allais faire après. Si j’allais sortir, rester tranquille dans mon appartement ou si j’allais passer la soirée chez une amie.
M- J’aurais adoré vous voir quand vous étiez en cours.
S/P- C’est prêt !!!
T- On arrive !!
Après le repas, tous partirent se coucher pour être en forme le lendemain, tous ? Non, Laguerra et Mendoza étaient restés dans le cockpit, un verre de vin à la main.
L- Mendoza, si je disparaissais du jour au lendemain, tu ferais quoi ?
M- Je partirais à ta recherche, je te chercherai jour et nuit jusqu’à te retrouver. Pourquoi cette question ?
L- Parce que…arrivé à la stèle de la lune, je vais disparaitre quelques heures après.
M- Pourquoi tu devrais disparaitre ?
L- Je ne sais pas, je sais que ça à un rapport avec les cités d’or.
M- Et… ça durerait combien de temps ?
L- Jusqu’à ce que vous trouviez la prochaine cité je pense.
M- Pourvu que ça ne soit pas long alors.
L- J’espère aussi, si on allait dans la chambre maintenant, il se fait tard et l’excursion de demain ne sera pas une promenade de santé.
M- Bonne idée.
Le lendemain, tout le monde étaient sur le pied de guerre, motivés et gonflés à bloc. Ils pénétrèrent dans le tunnel puis, arrivés au niveau du passage que Mendoza et Laguerra avaient emprunté la veille, tout le monde se tue. Mendoza déboucha le trou qu’ils avaient creusé.
M- Pas d’olmèque en vue.
L- Dépêchons nous, nous sommes suivis.
Et Laguerra n’avait pas tort, Zarès et sa troupe les suivaient depuis qu’ils avaient pénétré dans la grotte. Arrivé devant la stèle, tous l’examinèrent attentivement.
Z- Là, il y a une fente !
T- Super, dépêchons nous, on entend déjà les cris des olmèques.
Tao glissa le double médaillon dans la fente et la stèle se mit à descendre lentement.
M- Vite, tout le monde dessus !
Une fois qu’ils furent tous dessus, la stèle descendit plus vite et le passage au-dessus de leur tête se fermait. Zarès, Gaspard et Gomez entrèrent dans la salle mais celle-ci était vide, les olmèques arrivaient en trombe et se préparaient déjà à la lutte. Le combat semblait gagné d’avance pour le olmèques, mais c’était sans compter sur l’exosquelette de Zarès, ils l’attaquaient par deux voire trois soldats en même temps mais Zarès les renvoyait à chaque fois. Gaspard et Gomez se débrouillaient comme ils pouvaient mais les olmèques étaient trop nombreux.
Go- On ne tiendra jamais le coup !
Za- Imaginez Mendoza à la place des olmèques !
Ces mots les avaient remotivés comme jamais, la vingtaine d’olmèques de départ diminuait mais des renforts arrivaient. Du sous-sol, nos héros entendaient le bruit des épées contre les lances.
E- Eh bien, ça n’a pas l’air de rigoler en haut.
P- Si on attendait que ça se calme pour remonter ?
Sancho et Pedro étaient pétrifiés à l’idée de remonter.
T- Avant de penser à ça, il faudrait d’abord qu’on trouve ce parchemin qui nous indiquera le chemin à suivre.
En haut, les olmèques venaient de battre en retraite, Zarès les avait terrorisés. Gaspard et Gomez étaient à bout de souffle mais le champ de bataille était monstrueux, un grand nombre d’olmèques gisaient au sol dans un terrible bain de sang.
Go- Que faisons-nous maintenant ?
Za- Nous allons tendre un piège à ces gamins et nous devrons récupérer Laguerra. Je ne veux aucun mort, Gaspard, vous ferrez en sorte que Mendoza sache où nous allons mais pas précisément. Vous lui direz le nord du Canada, je vous donne une carte au cas où nous serions séparés.
G- Pourquoi Laguerra ? Et pourquoi le Canada ?
Za- Sous la torture, je suis sûr de pouvoir récupérer des informations sur le lieu où ils vont et puis, j’ai une base secrète au Canada, on enfermera notre prisonnière dans une tour et on attendra que Mendoza vienne la chercher pour les tuer tous les deux. Partons maintenant.
En bas, nos protagonistes avançaient dans un long et étroit couloir, l’air était humide et de petites gouttelettes d’eau fraiche tombaient sur le sol boueux
T- On est éclairait par de la mousse phosphorescente…
E-…comme en Amérique.
Ils arrivèrent dans une salle en dalle noire avec une petite salle pour seul ameublement.
Z- Regardez, il y a un parchemin sur la table.
T- C’est une carte !
E-Oui mais elle est bizarre.
M- Ca représente le Groenland, voici donc notre prochaine destination.
L- Tu y es déjà allé ?
M- Non.
P- Qu’est-ce qu’on attend pour partir allons-y !
S-Les ci…ci…cités d’o…d’or ne…ne…ne sont pas…pas loin…loin.
Ils firent demi-tour le sourire aux lèvres et du baume au cœur, pensant que Zarès était hors d’état de nuire. En remontant, ils découvrir avec effroi la scène qui s’était passé quelques minutes plus tôt.
P- C’est…c’est juste un avis mais…si on partait.
T- Je suis d’accord avec toi.
Ils se dépêchèrent de sortir sans savoir qu’un guétapant les attendait. Après avoir fait quelques mètres hors de la grotte, Zarès, Gaspard et Gomez se positionnaient face à eux.
M- Courez vous mettre à l’abri dans le condor, on vous rejoindra !
Les enfants, Sancho et Pedro partirent en courant en direction de la plage où se trouvait le condor mais Gaspard d’interposa.
G- Hep là !! Pas si vite !
Esteban courut vers Gaspard, lui fit perdre l’équilibre et le fit tomber, les autres en avaient profités pour s’échapper et Le jeune Atlante ne mis pas longtemps à les rejoindre. Pendant ce temps, Laguerra et Mendoza se battaient corps et âmes contre Zarès et Gomez. Gomez ne faisait pas le poids face à Mendoza mais celui-ci revenait toujours à la charge, Zarès venait de se débarrasser de toute les armes de la femme, le prit par les hanches et sauta jusqu’à la nef en criant :
Za- Gomez ! A la nef !
Il s’exécuta tandis que Mendoza voyait « sa » emporté par Zarès, se débattant inutilement car elle savait que ses chances d’évasion face à Zarès étaient de 0%.
M- Isa !!! Non !!!!!!
Seul Gaspard n’était pas à bord de l’engin, Mendoza le saisit par le col et le souleva à dix centimètre au-dessus du sol.
M- Où l’emmènent-t-ils ?
G- Je sais pas.
M- Répond moi ou je te transforme en petits dés que je jette aux requins !!!
G- D’accord, ils l’emmènent à Inuvik, c’est…c’est au Nord du Canada, voici la carte.
Mendoza s’empara de la carte et laissa Gaspard s’effondrer au sol, pétrifié de peur. La nef faisait déjà demi-tour pour le récupérer mais Mendoza ne pouvait pas le voir, il courait vers le condor, anéantit par la colère et la rage. Une fois dans le condor, tous les regards se posèrent sur lui.
E/Z/T- Et Laguerra ?
M- Je…je n’ai pas réussi à la sauver, Zarès l’a enlevée. Je… je n’ai rien pu faire.
Sa voix était triste et mélancolique, ses yeux noirs semblaient vides, c’étaient comme si son âme était partit avec Laguerra.
E- Où l’ont-ils emmenée ?
M- Au Nord du Canada, à Inuvik, voici la carte.
E- Alors en route, ne perdons pas de temps !
M- Une fois là-bas vous me déposerez puis repartirez, je ne veux pas que vous couriez le moindre risque. Sancho et Pedro veilleront sur vous.
Z- Mais comment allez-vous nous rejoindre ?
M- En bateau. Regarde, j’ai dessiné le chemin à suivre. T- Avec le condor, on sera là-bas d’ici deux ou trois jours.
Sans que personne ne puisse s’en rendre compte, une larme coula sur la joue de Mendoza, il serait dans sa main un médaillon représentant la lune.
P- C’est quoi ce que tu as dans la main ?
M- Le médaillon de Laguerra…