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Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 21:08
par Le Flamand
Bonsoir,
Je vous en avait fait part, voici la fanfic écrite par mes soin ;)
Je vous laisse avez le premier chapitre, celui-ci est rédigé dans la catégorie ''light'', je suis capable de leur faire faire des péripécies bien moins "facile" ou "molles" mais je développerait tout ça au fur et à mesure ;)


Chapitre 1 – Etrange France


Quelque part en méditerranée, seizième siècle

Dans le grand condor à l’aube, tout le monde somnolait sauf Esteban qui était occupé à piloter l’engin volant en orichalque. Esteban était toujours fidèlement suivi de Zia qui était endormie à sa gauche, Tao qui ronflait sur le siège situé à sa droite mais également par Mendoza, Pedro et Sancho qui étaient tous trois étendus sur deux banquettes à l’arrière.
Progressivement, les compagnons d’Esteban se réveillèrent et Mendoza calcula la position de l’oiseau doré avant d’affirmer qu’une côte se trouvait non loin des lieux qu’ils survolaient.
Le jeune atlante écouta attentivement les directives du navigateur et fit pencher le levier de commandes vers sa droite, faisant changer de direction au grand condor.
:Sancho: : J’ai f…faim ! se plaignit Sancho avant de soupirer. On n’a jamais rien à manger dans cette boite volante.
:Pedro: : Cesse de te plaindre et attend que nous nous posions rétorqua Pedro.
Le marin corpulent se jeta vers Pedro avant de marteler qu’il n’était pas celui qui se plaignait le plus. Pour toute réponse, Pedro repoussa Sancho qui à son tour le bouscula. Tous deux passèrent au-dessus du siège où était assoupi Tao et le marin bègue pressa malgré-lui un bouton que les enfants n’avaient jamais osés toucher et semblait abriter une commande dont le jeune naacal ne connaissait pas la fonction.

D’un seul coup, un nuage enveloppa le condor et des éclairs éclatèrent de part et d’autre du condor qui devenait incontrôlable tout en perdant de l’altitude.
Dans les mains d’Esteban, le levier de commande ne cessait de vibrer tandis que l’engin volant se mettait à briller, rendant aveuglant l’espace qui se trouvait autour d’eux.
Ce phénomène dura quelques minutes avant que le fils du soleil ne se mette à appeler l’astre qui apparut, faisant disperser les nuages tandis que le condor cessait de briller et que le levier de commande se stabilisait.

Le jeune atlante reprit le levier en forme de serpent dans ses mains et continua de diriger le condor au-dessus des flots.
De longues minutes passèrent et s’apercevant que la situation était de nouveau sous contrôle, Mendoza se tourna vers ses deux marins avant de les recadrer sèchement.
:Mendoza: : Qu’est-ce qui vous a pris bon sang ?! On a failli y rester cette fois !
:Sancho: : C…C’est…pas moi…c’est…P…Pedro qui…
:Pedro: : Eh ! C’est même pas vrai, c’est toi qui…
:Mendoza: : Taisez-vous ! Vous êtes irresponsables ! C’est incroyable qu’à votre âge vous ne sachiez pas…
Mendoza fut coupé par une intervention de Zia.
:Zia: : Là ! Regardez ! Cria-t-elle en pointant son index vers la vitre du cockpit à sa gauche.
:Tao: étonné : Oh !
:Mendoza: : Qu’est-ce qu’il y a ?
:Esteban: : On dirait un autre grand condor mais ce n’en est pas un, ça vole et il y a des personnes dedans affirma Esteban qui avait détourné son regard.
:Mendoza: l'air interdit : Je n’ai jamais vu ça

Le groupe fut stupéfait de voir un objet autre que le leur et celui d’Ambrosius voler. Mendoza donna une nouvelle directive à Esteban qui poussa le levier de commande vers la droite afin de faire voler le grand condor vers le nord-ouest.
:Zia: à Mendoza : Où allons-nous maintenant ?
:Mendoza: : En France ! Un pays limitrophe de l’Espagne au nord des Pyrénées.
:Zia: : C’est un grand pays ?
:Mendoza: : En effet, mais pas un pays forcément allié et puis…
:Esteban: montrant la côte qui s'étendait devant lui : Terre !
:Mendoza: : Trouves un endroit où te poser, nous allons explorer cette côte, il y a peut-être…
:Esteban: : Justement, le condor a pris les commandes et le levier s’est de nouveau rangé dans son logement
:Mendoza: : Il y a peut-être de l’orichalque pas très loin d’ici.

Peu après, le levier revint et Esteban posa le grand oiseau d’or dans une clairière.
Les trois adolescents partirent dans la forêt afin d’explorer les lieux tandis que Pedro et Sancho s’occupaient de ramasser du bois afin de faire un feu et d’y faire cuire un éventuel animal qui passerait par-là. Mendoza de son côté examina sa carte marine puis partit à la recherche des enfants.
:Mendoza: : Esteban ! Zia ! Tao !
:Esteban: Par ici ! On a trouvé quelque chose de bizarre !
Le capitaine rejoint les trois amis au bord d’une route où circulaient de bien étranges machines pilotées par des hommes.
:Mendoza: : Mais où sommes-nous ? Je n'ai jamais vu pareil phénomène
:Esteban: : Encore une invention de tes glorieux ancêtres Tao ? Ricanna le jeune atlante alors que Zia étouffait un petit rire.

Lorsque Mendoza rejoint enfin les trois enfants à l’orée du bois qui bordait la route, il fut stupéfait de voir des véhicules circuler sans être attelés à un cheval.
:Mendoza: curieux : Qu’est-ce que c’est que ça ?
:Tao: : Je ne sais pas soupira-t-il en retournant vers le grand oiseau en orichalque
:Mendoza: : Qu’est-ce qui lui prend ? Questionna le capitaine
:Esteban: : Il est susceptible en ce moment affirma-t-il en soupirant
Le groupe s’éloigna du bord de la route et revint dans la clairière où était posé le condor et s’aperçut que Pedro et Sancho étaient en train de dormir.
:Mendoza: : On ne vous dérange pas ? cria le capitaine
:Sancho: : C’est qu..que…c’est P…P…Pedro qui…
:Pedro: : Ah non Sancho, arrête de m’accuser ! C'est toi qui...
:Mendoza: : Ça suffit, vous avez déjà fait assez de bêtises comme ça pour aujourd’hui, remontez dans le condor et ne bougez pas de là ! cria-t-il en leur montrant l’oiseau d’or.

Pendant que les deux marins se disputaient de nouveau pour savoir qui allait monter dans l’oiseau en premier, Esteban et Zia partirent à la recherche de bois dans le but de faire un feu.
Tao quant à lui prit son encyclopédie et continua à déchiffrer les écritures muennes.

Lorsque le jeune atlante et la jeune inca revinrent de leur expédition, Tao courut vers eux avec son livre dans la main gauche et la pyramide de Mû dans la main droite.
:Tao: : Regardez, c’est étrange ! Cria le naacal avant de chuter lourdement sur le sol boueux de la clairière.
:Esteban: : Qu’est-ce qu’il y a encore ? Gronda le jeune atlante en déposant le bois près du foyer où il allait allumer le feu de camp.
:Tao: : Il y a des informations sur ce pays bizarre, mais mon encyclopédie me signale que nous sommes au vingt-et-unième siècle. De son côté, la pyramide de Mû brille, regardez !
:Esteban: : Vous êtes tombé sur la tête monsieur le grand naacal de l’empire de Mû ricanna Esteban alors que Zia l’aidait à se relever.
:Tao: : Oh ce que tu es agaçant Esteban à la fin ! hurla-t-il avant de s’éloigner et de s’assoir sur un rocher
:Zia: : Esteban, tu es injuste avec Tao, il voulait juste te montrer une de ses découvertes. Soupira-t-elle pendant qu’elle s’occupait à mettre en place le foyer du feu.
:Mendoza: : Ça suffit vous trois, vous n’allez pas faire comme Pedro et Sancho ! cria le capitaine avant d’allumer le feu et de partir chasser du gibier.
Pendant ce temps, Esteban et Zia remontèrent dans le condor afin d’examiner les commandes auxquelles ils n’avaient pas encore touché.
:Zia: : Regarde là Esteban, il y a un bouton près des banquettes à l’arrière.
:Esteban: : Hein ?
:Zia: : Oui, un bouton en orichalque confirma la jeune inca avant d’appuyer dessus
:Esteban: : Arrête, c’est peut-être une commande de destru…
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que la paroi s’ouvrit et qu’une porte tourna lentement sur ses gonds devant les yeux ahuris des deux élus et des deux marins à qui le capitaine avait assigné la tâche de surveiller le condor.
Devant eux s’ouvrit un grand couloir dans lequel se trouvaient six portes. Esteban se rua sur la première située à sa droite et découvrit une cuisine. Au même moment, Zia découvrit à gauche une salle de bain.
Plus loin, le groupe ouvrit les quatre dernières portes derrières lesquelles s’ouvraient quatre chambres équipées d’un lit et d’espaces de rangements.
Immédiatement, Sancho et Pedro se disputèrent la chambre située au fond à gauche pendant que les deux élus se ruèrent dehors pour faire part de leur découverte à Tao qui accepta de les suivre dans leur engin volant.
:Tao: : Oh, que c’est spacieux ! Affirma le nacaal avant de presser sur un bouton au bout du couloir où s’ouvrit une nouvelle porte qui menait sur un escalier qui descendait sur un étage inférieur.
:Esteban: : Tu viens Zia ? Demanda Esteban avant de la prendre par la main et de l’entraîner dans l’escalier
Dans l’étage inférieur, les deux élus bientôt rejoints par le naacal se retrouvèrent devant une porte derrière laquelle se trouvait un laboratoire équipé de matrices d’orichalques ainsi que des plans.
:Tao: : Waaaaah, c’est génial ! cria Tao en sautant dans tous les sens
:Esteban: : Je pense que notre grand naacal a trouvé son milieu. Souria Esteban pendant que le jeune muen s’était déjà assis sur un tabouret situé près d’une table où un plan de Solaris était disposé.
De son côté, Mendoza qui revenait bredouille de la chasse s’empressa de monter dans le grand condor autour duquel personne ne se trouvait.
Lorsqu’il arriva au niveau de la porte ouverte, il lâcha un rictus de satisfaction puis fit son entrée dans le couloir lumineux où les deux élus marchaient dans sa direction en parlant de ce qu’ils avaient vus dans la forêt.
:Mendoza: : Comment avez-vous ouverts tout cet espace ? Demanda le capitaine qui admirait les pièces dont les portes étaient ouvertes.
:Esteban: : C’est Zia qui a appuyé sur un bouton et tout s’est déclenché. Sourit Esteban avant de serrer la jeune inca contre lui
:Mendoza: : Combien il y a de pièces ?
:Esteban: : Sept, en comptant un grand laboratoire en bas
:Mendoza: : Je suis prêt à parier que Tao s’y est enfermé ria Mendoza. Ce condor n'a donc pas fini de nous surprendre.
:Esteban: : C’est exact confirma Esteban.
:Mendoza: : C’est la dernière commande sur laquelle vous n’avez pas appuyé ? demanda le capitaine
:Esteban: : Non, il y a encore deux boutons dont nous ne connaissons pas l’utilité.
:Mendoza: : Lesquels ?
Le jeune homme se dirigea vers l’arrière du poste de pilotage et montra deux pressoirs dont un bleu et un rouge près de la porte qui avait été ouverte avant d’appuyer sur le bouton le plus haut. Sur ce moment, de l’air froid commença à affluer dans tout le condor qui se mit à vibrer avant que le jeune atlante n’appuie de nouveau dessus et que ce phénomène ne cesse.
Juste après, Zia appuya sur le bouton rouge et l’air se réchauffa de manière instantanée tandis que les deux marins qui avaient terminé de se bagarrer firent irruption en se plaignant du changement de températures.
:Mendoza: : C’est donc une commande permettant de changer la température de l’air, parfait ! Lâcha le capitaine avant de se diriger vers la chambre que Pedro et Sancho avaient déjà saccagée en se chamaillant.
:Pedro: : Qu’est-ce qu’on va manger Mendoza ? Tu as trouvé de la nourriture ? demanda Pedro dont le ventre gargouillait
:Mendoza: : Non ! répondit-il sèchement avant de poser son épée sur le lit et de se diriger vers le cockpit d’où il s’aperçut que le feu s’était éteint. De toute façon, le feu est éteint ajouta-t-il

Peu après, Esteban redescendit sur la clairière et se dirigea vers un arbre où il avait vu quelque chose briller. Il y monta et décrocha une bourse de pièces sur lesquelles étaient inscrit le symbole « € », dont le jeune atlante le comprenait pas le sens ainsi que des pièces en orichalque.
:Esteban: : Regarde Mendoza, j’ai trouvé ça dans un arbre déclara-t-il juste après être remonté dans le cockpit.
:Mendoza: : Ce sont des pièces, cela ne fait aucun doute, mais je ne connais pas cette monnaie.
:Esteban: : Oh, mais où sommes-nous alors ?
:Mendoza: : En France, cela ne fait pas de doutes mais je pense qu’il se trame quelque chose d’étrange aujourd’hui.
:Esteban: : Que fait-on ?
:Mendoza: : Je pense qu’il va falloir reprendre la route et prendre connaissance de certains détails sur la région.
:Tao: : J’ai trouvé ! Pedro et Sancho ont déclenché une fonction de voyage dans le temps, c’est fabuleux n’est-ce pas ? Nous allons pouvoir aller où et quand nous voulons ! Encore une invention de MES ancêtres.
:Esteban: : Voyager dans le temps ricana Esteban avant d’étouffer un fou rire
:Tao: : Tu ne me crois pas ? Viens voir ! ordonna le jeune naacal avant de le tirer dans le laboratoire situé à l’étage inférieur, suivi de près par Zia et les trois espagnols.
:Tao: : Regarde ! ajouta-t-il.
:Mendoza: : Je crois qu’il a raison mes amis enchérit Mendoza qui regardait le plan montré par Tao. Mais cela ne nous dit pas où ou quand nous sommes soupira le capitaine.
:Tao: : Il suffit de regarder sur le mur là. Ordonna le naacal avant de montrer la date qui s’affichait sur un écran : 27-11-2010
:Esteban: : C’est impossible soupira Esteban, tes ancêtres t’ont joué des tours
:Tao: : Pas du tout, regarde mon encyclopédie, elle s’est actualisée et montre également les technologies de l’époque dans laquelle nous nous trouvons désormais, ça aussi, c'est une invention de MES ancêtres, invention muenne garantie.
:Mendoza: : C’est inouï confirma l'espagnol ébahi par le laboratoire et les déclarations du jeune naacal.
:Esteban: : Que fait-on maintenant ? Questionna-t-il. Le feu est éteint et nous n’avons pas encore mangé.
:Mendoza: : Nous allons reprendre la route, pardon...les airs, met le cap au nord-ouest, je veux savoir où nous sommes exactement.
:Esteban: : Compris répondit le jeune atlante qui remonta les escaliers, suivi de près par la jeune inca qui vint s’assoir à gauche du jeune atlante qui fit décoller l’oiseau en direction du nord-ouest.
Presque vingt minutes avaient passé lorsque le condor survola deux routes à sens unique où circulaient des engins à grande vitesse.
:Tao: : Ça tu vois Esteban, c’est une autoroute déclara Tao qui venait d’arriver dans le cockpit
:Zia: : Ah bon ? demanda la jeune femme Comment sais-tu cela ?
:Tao: : Je l'ai déjà dit tout à l'heure, c’est dans mon encyclopédie rétorqua Tao avant de s’assoir à droite d’Esteban et de continuer à déchiffrer son encyclopédie.

Plus d’une heure passa encore et Esteban repéra une grande ville où les façades de certains bâtiments étaient roses.
:Esteban: : Oh regarde Zia, certaines maisons ont des façades roses
:Zia: : C’est joli souria-t-elle en regardant la ville
:Mendoza: : C’est Toulouse affirma Mendoza qui venait de les rejoindre dans le cockpit, nous sommes bel et bien en France. Par contre, je ne pensait pas que la cité était autant étendue.
Le condor passa rapidement au-dessus de la ville rose et se dirigea vers le nord-ouest en longeant une route où circulaient des engins dont le groupe n’avait toujours pas compris l’utilité ni le nom.
Plus tard, Mendoza, demanda au jeune atlante de mettre cap au nord afin de découvrir ce pays dont il ne connaissait que les côtes.
Ainsi, l’oiseau d’or survola un paysage de plus en plus montagneux et se retrouva au coucher du soleil de l’autre côté du massif.
:Esteban: : Il va être temps de se poser, le soleil est bien bas dans le ciel affirma-t-il avant de changer de cap pour trouver un endroit où poser le condor.
:Tao: : Là, ça sera parfait affirma le naacal en montrant du doigt une clairière.
:Esteban: : Très bien
Esteban posa le condor et le groupe se mit à explorer les environs en quête d’un village.
:Pedro: : Marcher, toujours marcher, et avec ça on n’a pas encore mangé depuis ce matin
:Mendoza: : Cesse de te plaindre Pedro, les enfants ne se plaignent pas EUX.
Il leur fallut encore une demi-heure avant de trouver un village à l’entrée duquel était écrit « Salbris ».
:Pedro: : Où sommes-nous Mendoza ? demanda le marin
:Mendoza: : Vois-tu, je ne le sais pas, tout ce que je sais, c’est que nous sommes en France
:Pedro: : Tu n’as même pas une idée de la région dans laquelle nous nous trouvons ?
:Mendoza: : Non, l’important actuellement c’est de trouver un restaurant ou une taverne
:Sancho: : Ch…Chic sourit Sancho dont le ventre gargouillait depuis le matin.

Le groupe tomba sur un petit restaurant dans une rue passante du village et y entra afin de manger.
Le serveur : Que puis-je pour vous messieurs dames ?
:Mendoza: : Vous faites à manger ?
Le serveur : Oui, suivez-moi
L’homme d’une quarantaine d’années fit assoir les six compagnons à une table située près de la fenêtre qui donnait sur la route où passaient des dizaines d’engins.
Plus tard, le serveur revint avec les menus et les soumit au groupe qui finit par commander du poulet accompagné de frites.
Ils mangèrent à leur faim avant de payer puis de repartir dans la ville afin de retourner vers le condor.

Lorsqu’ils furent de retour dans le condor, Zia actionna la commande qui permettait de réchauffer quelque peu l’air ambiant.
:Tao: : Qui dort où ?
:Sancho: : M…Moi c’est dans la ch…chambre du f…du fond à g…gau…gauche déclara le marin bègue
:Pedro: : Ah non c’est moi ! protesta Pedro qui se disputait désormais avec Sancho.
:Mendoza: :Ca suffit vous deux ! Laissez les enfants choisir et ensuite vous pourrez prendre une des dernières chambres.
:Sancho: : B…Bien

Tao alla s’installer dans la dernière chambre à gauche, celle qui était disputée par Pedro et Sancho tandis qu’Esteban se dirigea vers la chambre qui était située en-face.
:Mendoza: : Et toi Zia ? demanda-t-il
:Zia: : Je vais aller fermer le bec, choisissez et je prendrai la dernière chambre.
:Mendoza: : Comme tu voudras

Mendoza alla s’installer avec ses deux marins dans la première chambre située sur la gauche lorsque l’on entre dans le couloir en venant du cockpit.
Une fois le bec fermé, Zia se dirigea vers la première seconde pièce située à sa droite (la première étant une cuisine) et s’assoupit.
Dans la nuit, un orage éclata, la jeune inca prit peur et se réfugia dans la chambre d’Esteban qui accepta de la laisser monter dans son lit.
:Zia: : Merci dit-elle en l’embrassant sur la joue
:Esteban: : De rien répondit le jeune homme avant de s’endormir de nouveau.

Voilà, à suivre, j'espère que ce premier chapitre vous aura plus ;)
Rassurez-vous, il n'y aura pas que des scènes si monotones :tongue:

Re: Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 21:22
par Ra Mu
Cela me rappelle furieusement Les Visiteurs. J'aurais bien vu une altercation avec le facteur noir et sa camionnette.
Mendozaaaaa! Un sarrasin, dans une chariotte du diable! C'est tout ferré et point de bœuf pour tirer! :D

Re: Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 21:23
par TEEGER59
Remake "Les visiteurs" :tongue:
On pourra appeler cette fic: les mystérieux visiteurs d'or...
Coquille au début: Pedro repoussa Sancho qui à ton tour le bouscula.
Y'a la clim' dans le condor, maintenant? :x-):
Bientôt, il pourra voler de nuit!
En tout cas, c'est divertissant...

Re: Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 21:26
par TEEGER59
Autre chose: Desireless fait partie du décor?: voyage, voyage... :tongue:

Re: Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 21:27
par TEEGER59
Ra Mu a écrit : 29 avr. 2017, 21:22 Cela me rappelle furieusement Les Visiteurs. J'aurais bien vu une altercation avec le facteur noir et sa camionnette.
Mendozaaaaa! Un sarrasin, dans une chariotte du diable! C'est tout ferré et point de bœuf pour tirer! :D
là, messire! Là!
Té! C'est des malades...

Re: Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 21:29
par TEEGER59
TEEGER59 a écrit : 29 avr. 2017, 21:26 Autre chose: Desireless fait partie du décor?: voyage, voyage... :tongue:

https://youtu.be/T7YJoGXs2i8

Re: Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 22:05
par Le Flamand
TEEGER59 a écrit : 29 avr. 2017, 21:23 Remake "Les visiteurs" :tongue:
On pourra appeler cette fic: les mystérieux visiteurs d'or...
Coquille au début: Pedro repoussa Sancho qui à ton tour le bouscula.
Y'a la clim' dans le condor, maintenant? :x-):
Bientôt, il pourra voler de nuit!
En tout cas, c'est divertissant...
Merci de la remarque, je corrige ça immédiatement ;)
Oh la clim c'est une option que j'ai rajouté :x-): par contre pas question de voler la nuit ^^

Re: Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 22:07
par Le Flamand
TEEGER59 a écrit : 29 avr. 2017, 21:26 Autre chose: Desireless fait partie du décor?: voyage, voyage... :tongue:
Non, mais c'est le seul titre qui m'est venu en tête ^^

Re: Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 22:54
par Chaltimbanque
Bon ! Tout ça se lit bien et c'est un très bon divertissement ! :-D
Je vois que je ne suis pas la seule à avoir pensé aux Visiteurs... ^^

La référence à Salbris m'a fait sourire, car il y a un petit bled en Sologne que je connais qui porte le même nom, et on y fabrique... du fromage de chèvre. :x-):

Re: Fanfic - Voyage, voyage

Posté : 29 avr. 2017, 23:06
par Le Flamand
Chaltimbanque a écrit : 29 avr. 2017, 22:54 Bon ! Tout ça se lit bien et c'est un très bon divertissement ! :-D
Je vois que je ne suis pas la seule à avoir pensé aux Visiteurs... ^^

La référence à Salbris m'a fait sourire, car il y a un petit bled en Sologne que je connais qui porte le même nom, et on y fabrique... du fromage de chèvre. :x-):
C'est celui-là même ;)