Fanfic - Voyage, voyage

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Le Flamand
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Re: Fanfic - Voyage, voyage

Message par Le Flamand »

TEEGER59 a écrit : 04 mai 2017, 12:32
Le Flamand a écrit : 04 mai 2017, 01:05 Le jeune atlante acquiesça et fit lentement descendre le condor qui se mit à tanguer après avoir reçu le tronc d'un arbre dans l'aile gauche, réveillant les autres passagers. BOIRE OU CONDUIRE, IL FAUT CHOISIR... :tongue:
:Sancho: : Bah...bah...bah oui quoi...nous...nous...nous on a le som...som...me...meil fragile, il faut f...faire att...att...attention£
POURQUOI CE SYMBÔLE?

Esteban qui était fatigué fit une grimasse GRIMACE avant de s'allonger de nouveau
Mendoza qui fut réveillé en sursaut par le choc imposé par les intempéries sur le sol gelé fit irruption dans la cabine de pilotage et :?: MYSTERE!
:Zia: : Bien-sûr que non car je sais que tu seras toujours à mes côtés souria sourit-elle avant de déposer un baiser sur la joue droite du jeune homme qui souria souritde nouveau.
Sur ce moment, le sang de la jeune femme ne fut qu'un tour et elle prit son courage à deux mains.
:Zia: : Je voudrait voudrai être plus qu'une simple amie...
:Esteban: : Rien ne nous séparera, tu le sais pourtant. Toi, Tao et les autres êtes comme ma famille souria sourit-il
:Zia: : Tu ne comprend comprendspas...J'aimerai être bien plus que ça
Le capitaine porta son regard vers les deux porteurs des médaillons qui lançaient des regards gênés. Mendoza eut un rictus de satisfaction et souria souritdevant les deux jeunes qui se regardaient avec un regard tendre et complice.
J'ai repris ce passage et corrigé toutes les fautes restantes. Pour le coup, c'est ma faute car j'avais mis en ligne la version qui n'était pas corrigée entièrement :|
Mais cela ne se reproduira plus :x-):
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Re: Fanfic - Voyage, voyage

Message par Le Flamand »

Salut tout le monde,
Je vous annonce que le prochain passage de la fanfiction sera mis en ligne entre les deux tours des législatives :x-): je ne compte pas non plus vous faire attendre encore dix ans ;)
Voilà voilà ;)
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Re: Fanfic - Voyage, voyage

Message par Le Flamand »

Bonjour à tous, voici la suite tant attendue de cette fanfiction ;)
Bonne lecture ;)

Chapitre 5 - Terreur (Partie 1)

Quelque part dans le ciel de Picardie - 30 novembre 2010
Dans la journée, alors que le grand condor poursuivait à nouveau sa route vers le nord, un nuage sombre, porteur d'éclairs se mit à envelopper l'appareil qui survolait jusque là des plaines enneigées, cachant progressivement le soleil.
Rapidement, l'engin se mit à piquer vers le sol alors qu'Esteban n’apercevait plus la ligne d'horizon, ce qui le tendit. Dans la cabine de pilotage, Zia se blottit contre le jeune atlante qui tentait tant bien que mal de redresser le grand oiseau d'or avec l'aide de Mendoza, tandis que ses deux marins terrorisés s'étaient pris dans les bras, observant Tao qui observait l'extérieur de la cabine, le regard vitreux et l'air pensif, ne semblant pas mesurer la situation désespérée dans laquelle ils se trouvaient tous.

Soudainement, le jeune naacal sembla sortir de sa réflexion et fit un bond vers Esteban qui sursauta lorsque ce dernier fut arrivé à sa hauteur.
- :Tao: : Esteban, nous n'avons pas le choix, appelles le soleil !
- :Pedro: : Esteban, pitié
- :Sancho: : Pipipi, pitié Esteban
- :Esteban: : Mais...
- :Mendoza: : Fais-le Esteban ou nous périrons tous les six lorsque nous nous écraserons
Le jeune homme détourna sa tête vers la gauche et posa son regard sur Zia qui acquiesça d'un hochement de tête la directive de Tao avant d'esquisser un sourire.
L'atlante s'exécuta, puis progressivement, les nuages orageux se dissipèrent et le condor se stabilisa dans un ciel totalement dégagé de tout nuage.

Plus tard, alors que le grand oiseau d'or approchait de l'agglomération lilloise, ce dernier fut le théâtre d'un phénomène encore jamais observé par ses passagers qui s'échangeaient des regards inquiets. En effet, tout près d'eux, à l'extérieur de la cabine de pilotage, des nuages noirs apparaissaient au cours de détonations assourdissantes.
- :Mendoza: : Esteban, j'ai l'impression que ce sont comme des tirs de canon. Il y a des personnes au sol qui veulent nous faire redescendre, changes de cap tout de suite !
- :Tao: : Ce sont des tirs de ce que certains appellent DCA
Tous les occupants du cockpit se retournèrent vers le jeune muen qui feuilletait les pages du tome 2 de son encyclopédie.
- :Zia: : DCA ? Qu'est-ce que c'est ?
- :Tao: : Une sorte d'arme, de canon qui peut abattre des avions
- :Zia: : Des avions ?
- :Tao: : Oui, à partir du vingtième siècle, les hommes maîtrisent à nouveau les airs, c'est prodigieux. Un avion, c'est comme un grand condor, mais qui fonctionne avec des énergies fossiles.
D'un seul coup, le grand oiseau d'or piqua de nouveau dans la direction du sol avant de rétablir lui-même une trajectoire qui le menait vers le nord-ouest où se profilaient des vallons plus ou moins culminants.
Un peu plus tard, le manche de commande de l'appareil ressortit de son logement, donnant indirectement l'ordre à son pilote de se poser au milieu d'une clairière autour de laquelle s'étendait une grande zone boisée.
Ce dernier s'exécuta avant d'enclencher à nouveau le système de réouverture de la porte du couloir qui s'était condamnée lors du passage dans le gros nuage orageux.
Lorsque la porte fut enfin rouverte, Tao se mit à courir vers le laboratoire avant d'en revenir au pas de course et de retourner s'installer aux côtés d'Esteban et de Zia qui se regardaient tendrement dans les yeux.
- :Tao: : Dîtes les amoureux, je vous dérange ?
Sur ces mots, les deux élus se mirent à regarder dans la direction de leur ami.
- :Zia: : Je suppose que tu sais quel jour nous sommes ?
- :Tao: : Oui, dimanche 22 juin 1941
- :Esteban: : Sais-tu pourquoi on nous a tiré dessus tout à l'heure ?
- :Tao: : Je pense pouvoir l'expliquer, laissez-moi quelques minutes.
Le jeune naacal prit son encyclopédie puis recommença à en tourner les pages.

Pendant ce temps, Mendoza et ses deux acolytes se mirent à explorer les environs dans le bois qui entourait le condor, à la recherche de gibier comestible pour le repas du soir.
- :Pedro: : Dis Mendoza, crois-tu que nous sommes en sécurité ici ?
- :Mendoza: : Ce qui est certain, c'est que nous devons rester sur nos gardes, nous avons déjà été attaqués une fois et que l'...
Le capitaine fut interrompu dans son raisonnement par des bruits de pas qui provenaient de la forêt. Par sécurité, l'homme sortit son épée de son fourreau avant de se mettre en garde.
Au plus les pas se rapprochaient, au plus les deux seconds qui l'accompagnaient prenaient peur, se réfugiant sous la cape du capitaine.

Ce n'est qu'après trois minutes angoissantes qu'une vingtaine d'hommes armés firent irruption de la pénombre qui régnait dans les bois, encerclant les trois adultes.
- :?: : Les mains en l'air ! Vite ! Vite ! Vite ! cria l'un des assaillants
Les trois espagnols furent désarmés, capturés et conduits dans la clairière où se trouvait le grand condor.
- :Mendoza: : Malédiction, ils ont trouvé le grand condor, espérons qu'Esteban, Tao et Zia aient pu filer pensa Mendoza
Le prisonnier détourna son regard vers le bec et fut satisfait en voyant le bec refermé et verrouillé, laissant supposer qu'aucune présence n'était à l'intérieur.
- :Mendoza: : C'est bien, soit ils on réussi à s'enfuir, soit ils se sont cachés à l'intérieur
Le capitaine fut interrompu dans ses pensées par le coup de poing donné par un militaire dans son ventre.
- :?: : Maintenant toi nous dire où sont partis autres compagnons de vous ! Vite ! Vite !
- :Mendoza: : Lorsque l'on se permet d'engager la conversation avec quelqu'un que l'on ne connait pas, on commence par se présenter soi-même.
- CVH : Moi commandant Von Haffen, armée allemande, France, moi commander division de...heu...blindés. Vous maintenant prisonniers ! Vous plus poser questions sinon pan pan !
Le commandant s'empara de son pistolet et tira en l'air, effrayant Pedro et Sancho.

Les trois prisonniers furent emmenés dans une ferme située en contrebas de la zone boisée où ils avaient été capturés avant d'être enfermés dans une pièce de celle-ci.
Cette dernière était plongée dans le noir complet car la fenêtre qui donnait sur la cour était obstruée par une plaque de métal et des barreaux.
- :Pedro: : Que va-t-on faire maintenant Mendoza ?
- :Mendoza: : Rien pour le moment, tel que je connais les enfants, ils sauront trouver une solution pour nous sortir d'ici.
- :Sancho: : Maimai...Mais Mendodo...Mendoza, si vous restons ici, ils vont nous tutu, ils vont nous tuer !
- :Pedro: : Ah oui, c'est vrai ça, c'est pour cela que nous devr...
- :Mendoza: : Soyez sans craintes.
Le capitaine eut juste le temps de terminer sa phrase qu'un homme armé ouvrit la porte qui permettait de sortir et commença à tirer en l'air avant de crier.
- :!: : Vous finis parler, sinon pan pan ! Vous compris ?!
- :Sancho: : Concon...Compris.

Au même moment, dans le grand condor, les trois jeunes étaient regroupés dans le couloir, adossés aux murs qui entouraient celui-ci. Esteban était assis contre une paroi, Zia assise entre ses deux jambes, le jeune homme l'entourant de ses bras protecteurs. En face d'eux, Tao était également assis, mais en tailleur, son encyclopédie dans les mains.
Les trois jeunes adultes faisaient le point sur la situation qui était loin d'être la meilleure qui soit.
- :Esteban: : Mendoza, Pedro et Sancho ont été faits prisonniers par des soldats.
- :Zia: : Ce que je n'arrive pas à m'expliquer, c'est la raison pour laquelle on nous a attaqué en vol
- :Esteban: : Dis Tao, tu as une idée du moyen par lequel nous allons délivrer nos amis ?
- :Tao: : Laissez-moi réfléchir...Oh oui, il faudrait que...OH OUI, J'AI TOUT COMPRIS, C'EST ECRIT DANS LE LIVRE 2 DE MON ENCYCLOPÉDIE
- :Zia: : Qu'as-tu compris Tao ?
Le jeune naacal leva les yeux de son livre et porta son regard sur les deux élus qui regardaient leur ami avec insistance.
- :Tao: : Rien de plus logique, au vingtième siècle, entre 1939 et 1945, l'Europe et le monde entier est en guerre, tous sauf les Etats-Unis d'Amérique et la Russie, ou plutôt URSS qui semblent relativement épargnés par le conflit, l'un plus que l'autre. Il est aussi écrit que ces deux puissances s'allieront pour mettre fin à la guerre. La Russie s'étend sur une vaste région comprise entre l'Europe de l'est et l'Asie du nord, presque jusqu'en Chine. Les Etats-Unis occupent une partie de ce que vous appelez nouveau monde ou nouveau continent.
- :Zia: : D'accord, mais cela n'explique pas pourquoi on nous a attaqué tout à l'heure Tao.
- :Tao: : J'y viens. J'en arrive à la conclusion que les personnes qui nous ont attaqué en vol nous ont certainement pris pour leurs ennemis.

De leur côté, les marins continuaient à attendre patiemment une action de leurs amis en faveur d'une fuite éventuelle, restant silencieux, comme si la mort les avait emporté.
Dans la soirée, la porte de leur geôle s'ouvrit à nouveau, laissant un de leurs ravisseurs entrer, poussant un chariot sur lequel une marmite remplie de ragoût et des gamelles étaient entreposés.
Le militaire armé d'un fusil commença à servir ses trois captifs, commençant par Pedro, puis donnant une ration à Sancho qui se mit immédiatement à manger.
Quand fut venu le tour du capitaine, ce dernier décocha un coup de poing dans le visage du soldat qui tomba à la renverse avant de se saisir de son arme et de sortir dans le couloir qui était plongé dans une pénombre presque oppressante.
Le fugitif fut bientôt suivi par ses deux compagnons qui s'assuraient que personne ne les avaient repérés.
Le groupe continua à marcher jusqu'à la première pièce située à sa droite et ouvrit la porte, braquant l'arme dans l'ouverture de la porte, s'assurant que personne ne s'y trouvait.
Mendoza parcourut la salle du regard avant de s'apercevoir que des objets dérobés aux prisonniers et aux habitants de la région y étaient entreposés, notamment l'épée de l'espagnol que ce dernier récupéra et un livre ressemblant exactement aux encyclopédies de Tao dont le capitaine s'empara également, laissant les autres objets dont la plupart étaient dorés.
- :Pedro: : Hé Mendoza, on pourrait se servir au passage.
L'intéressé donna une violente gifle à son interlocuteur qui trébucha et finit par terre.
- :Mendoza: : Nous ne sommes pas là pour piller l'or Pedro ! N'oublies pas que tant que nous resterons ici, nous sommes en danger !
Soudainement, le garde que le capitaine avait assommé à coup de poing revint à leur niveau et commença à crier
- :!: : Vous prisonniers ! Vous retourner cellule ! Vite ! Vite ! Vite !
- :Pedro: : Vous êtes tenaces vous !
Mendoza déocha un nouveau coup de poing et le soldat fut à nouveau assommé, permettant aux trois fugitifs de sortir, se retrouvant presque nez à nez avec les deux militaires qui gardaient la sortie de la cour dont le sol était revêtu de cailloux blancs.

- :Mendoza: : Pedro, tu vas me servir d'otage.
Le capitaine pointa le fusil volé au garde dans le dos de son ami avant de le faire avancer vers la sortie.
- :Pedro: : Mais...Mendoza, tu veux me tuer maintenant ?
- :Sancho: : Il est dede...Il est devenu fou !
- :Mendoza: : Taisez-vous poltrons, vous allez tout faire rater !
L'un des deux gardes en armes s'approcha de quelques pas et commença à crier.
- :!: : Halte ! Vous pas sortir ! Vous prisonniers ! Vous retourner cellule maintenant !
- :Mendoza: : Si vous ne nous laissez pas sortir d'ici, je n'hésiterai pas à le tuer !
- :!: : Lui pas otage important, vous avoir l'air d'en savoir plus que maigrichon.
- :Pedro: : Maigrichon toi-même hé !
Mendoza s'accorda quelques secondes de réflexion avant de baisser son arme et de la tendre à son acolyte et de lui demander de la pointer sur lui.
- :Mendoza: : Il n'hésitera pas à me tuer si vous ne nous laissez pas partir tous les trois ! Je compte jusqu'à 10
Les deux militaires restèrent impassibles.
- :Mendoza: : Un !
Ils se mirent alors à discuter.
- :Mendoza: : Deux !...Trois !...Quatre !...Cinq !
- :!: : Entendu ! Vous pouvoir sortir !
Les deux gardes s'éloignèrent de la sortie, laissant passer les trois fugitifs avant de prendre leurs fusils et d'ouvrir le feu sur ces derniers qui répliquèrent, si bien que l'un de leurs assaillants fut blessé avant que Pedro ne soit touché par une balle à la jambe droite qui saignait désormais, faisant chuter lourdement le marin qui se plaignit de douleurs.
Mendoza attrapa le blessé et le tira jusqu'au condor dont le bec était fermé. L'homme siffla puis cria.
- :Mendoza: : Esteban ! Zia ! Tao ! Ouvrez !
L'atlante qui avait reconnu la voix de son protecteur ouvrit alors le bec de l'oiseau dont l'intérieur fut désormais accessible avant que ce dernier ne se referme derrière les trois espagnols.
- :!: : Halte ! Vous plus bouger !
Un homme avec l'accent anglophone en tenue militaire qui avait réussi à s'introduire dans le bec en même temps que Mendoza, Pedro et Sancho pointait son fusil sur les six compagnons.
- :Mendoza: : Repris, rien ne va plus
- :!: : Vous maintenant conduire moi...heu...Berlin !
- :Mendoza: : Vous n'avez pas l'air d'être de la région vous.
- :!: : Oui...heu...ça déguisement...moi agent secret...moi travailler pour MI5.
- :Mendoza: : Un espion si je comprend bien.
- :!: : Oui...mission secrète...moi travailler pour heu...Royaume-Uni...moi devoir tuer Adolf Hitler mais avion de moi...heu...boum
L'espion braqua de nouveau les six voyageurs avec son fusil.
- :!: : Vous maintenant emmener moi Berlin ! Vite ! Vite !
- :Mendoza: : Impossible
- :!: : Vous Mendoza et eux être Pedro, Sancho, Esteban, Zia et...heu...Tao...légende dire vrai puisque vous là
- :Mendoza: : Quelle légende mon cher ?
- :!: : Moi pas poli, moi avoir oublier de présenter moi...moi être James Wembley...Légende...heu...dire que moi être aidé dans mission par ceux qui ouvert...heu...cités d'or
- :Mendoza: : Soit, maintenant que les présentations sont faites, je vais vous emmener à votre chambre.
Le capitaine ouvrit la porte d'accès au couloir et commença à accompagner leur nouveau compagnon dans le couloir avant d'être retenu par Zia.
- :Zia: : Mendoza, l'état de Pedro est assez préoccupant, j'aimerai pouvoir l'examiner, il faudrait le porter jusqu'à son lit.
Mendoza, Sancho, Esteban et Tao portèrent leur ami jusqu'à son lit avant que Zia n'arrive à son tour dans la chambre qu'il partageait avec Sancho, munie de plantes médicinales.
Le marin se plaignait de fortes douleurs à la jambe droite qui était ensanglantée, ce que Zia pensait alors être un facteur de gravité de la blessure.

La jeune inca commença à examiner la blessure de l'espagnol avant de se retourner vers les six autres voyageurs et de joindre ses mains.
- :Zia: : La blessure n'est que superficielle, Pedro a de la chance, la balle aurait pu lui sectionner les os. Il pourra remarcher mais il lui faut du repos et qu'il reste allongé pendant au moins une dizaine de jours.
- :Pedro: : Dis Zia, est-ce que je peux continuer de manger ?
Tous les compagnons sauf l'espion se mirent à rire.
- :Mendoza: : Quel goinfre !
- :Zia: : Bien entendu que tu pourras remarcher, mais maintenant il faudrait que vous sortiez tous de la pièce, le temps que je fasse extraction du projectile et que je prépare une potion et un cataplasme pour sa jambe.
Tous s'exécutèrent sauf Esteban qui s'était assis discrètement sur une chaise, regardant sa bien aimée prodiguer les soins à leur ami qui semblait moins souffrir.
Lorsque la jeune femme eut terminé et s’apprêta à sortir, le jeune atlante saisit sa taille et déposa un baiser sur sa joue.
- :Esteban: : Que ferions-nous sans toi ?
Zia rougit et se contenta de sourir avant d'aller aider Tao à préparer le repas qui fut aussi amené à Pedro qui avait interdiction de bouger de son lit.

Soudainement, Sancho fit irruption dans la cuisine, portant Pedro avant de tomber à la renverse sur le dos.
- :Mendoza: : Incorrigibles
- :Zia: : Pedro ! Tu dois rester allongé, sinon tu ne guériras pas !
- :Pedro: : Mais Zia, je...
- :Zia: : Retournes t'allonger !
Sancho aida son ami à se relever et les deux acolytes retournèrent dans leur chambre.

A la fin du repas, Mendoza accompagna James jusqu'à sa chambre avant de la verrouiller à double tour.
- JW : My goodness, je me suis fait avoir comme un débutant !
- :Mendoza: : Vous êtes un espion, vous savez pertinemment que nous ne pouvons absolument pas vous faire confiance !
L'anglais parcourut la pièce à la recherche d'une autre issue que celle que l'espagnol avait verrouillée sans succès avant de se résigner à s'allonger sur le lit qui était à sa disposition et de s'endormir tandis que Mendoza dormait désormais dans sa chambre et que Tao s'était endormi dans son laboratoire après y être retourné pour parcourir la troisième encyclopédie que le capitaine avait dérobé aux allemands.

De leur côté, les deux élus étaient allongés dans leur lit, se regardant passionnément et amoureusement dans les yeux pendant encore quelques minutes, laissant un silence mortuaire s'installer dans la pièce.
- :Zia: : Dis-moi Esteban, penses-tu que nous pourrons un jour vivre en paix ?
- :Esteban: : Un jour peut-être, qui sait...mais pourquoi cette q...
La jeune inca l'interrompit en déposant un doux baiser sur ses lèvres avant de se lever et d'ôter la parure inca qui ornait sa tête et de la poser sur une commode présente à gauche du lit. Esteban quant à lui enleva une partie de ses vêtements et se retrouva torse nu.
Zia retourna s'allonger auprès de lui et commença à le dévisager du regard avant de déposer un nouveau baiser sur sa bouche et que ce dernier ne l'embrasse de plus belle.
La jeune femme dont les cheveux rebelles se retrouvaient parfois sur son visage les rabattit en arrière avant de venir se placer sur son compagnon et de l'embrasser à nouveau.

- :Esteban: : Zia, tu sais, au pl...
L'intéressée ne le laissa pas finir.
- :Zia: : Chuuuut
Elle l'embrassa de nouveau, passionnément et langoureusement, ôtant progressivement ses vêtements.
(Je ne vais pas vous écrire la suite de la soirée, je suppose que tout le monde aura compris ce que les deux élus auront fait pendant la nuit)

A suivre...

Voilà, lors du dernier édit, la connexion a planté et a supprimé une partie du texte alors excusez-moi si certains auront lu une version et d'autres des passages quelques peu différents.
J'espère que cet extrait vous aura plus, je vous met la suite ce week-end ;)
Modifié en dernier par Le Flamand le 15 juin 2017, 03:17, modifié 4 fois.
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Message par Raang »

...C'ETAIT GENIAL :-@ (bon, la logique est exterminée et semée aux quatre vents mais c'est cool) et j'ai hâte de voir comment nos héros vont réagir devant Tonton Dodolf :x-):
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Re: Fanfic - Voyage, voyage

Message par Seb_RF »

Ce génial, très cool !!! J'adore !

Mais ça il y a un mais, ca ne colle pas avec les autre chapitre tu les a fait aller à Paris en plaine seconde guerre mondiale, et rencontrer le président... Le problème c'est qu'à cette année c'était le régime de Vichy dirigé par Petin, et la capitale c'était Vichy.... Dans compter qu'il n'y avais donc pas de président...
note serie:
MCO1: 18/20

Trahison/Insulte totale:
MCO2: 7/20
MCO3: 4/20
MCO4: 3/20 (et je suis "gentil" par ce qu'il y a les effets visuels)

Fanarts: viewtopic.php?f=14&t=2301 :x-):
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Re: Fanfic - Voyage, voyage

Message par Le Flamand »

Seb_RF a écrit : 15 juin 2017, 00:12 Ce génial, très cool !!! J'adore !

Mais ça il y a un mais, ca ne colle pas avec les autre chapitre tu les a fait aller à Paris en plaine seconde guerre mondiale, et rencontrer le président... Le problème c'est qu'à cette année c'était le régime de Vichy dirigé par Petin, et la capitale c'était Vichy.... Dans compter qu'il n'y avais donc pas de président...
Merci pour le retour Seb ;)
Par contre, je vais me permettre de te contredire car j'ai envoyé nos six amis à Paris, en 2010 ;)
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Re: Fanfic - Voyage, voyage

Message par Raang »

Après lecture de l'EDIT : phrases mieux amenés, scènes supplémentaires vraiment drôle et...waaa, les hormones sont de partie chez Zia ! :x-): mec, elle a 14 ans là...MAIS IL S'EST PASSE QUOI DANS TA TÊTE FLAMMY ?! :shock: :shock: je veux bien de temps en temps un peu de romance Esteban-Zia, mais là...tu vas un peu loin !

dixit le mec qui a écrit une scène quasi-similaire dans un tome 2 d'une certaine fiction ! mais lâche moi bor...
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Re: Fanfic - Voyage, voyage

Message par Seb_RF »

Flami, je sais bien que ce 2010, mais dans ce cas je pige pas pk tu a mis ça???
- :Zia: : Je suppose que tu sais quel jour nous sommes ?
- :Tao: : Oui, dimanche 22 juin 1941

A moins que l condor ai encore voyager dans le temps mais sans directive...

Dsl de tout ça mais ça m'intrigue énormément es que ce voulut? Si ça l'est autant pour moi :x-):

Rayan faut que je relise pour en être sûr mais je crois qu'ils ont 16 ou 17 ans...
note serie:
MCO1: 18/20

Trahison/Insulte totale:
MCO2: 7/20
MCO3: 4/20
MCO4: 3/20 (et je suis "gentil" par ce qu'il y a les effets visuels)

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Re: Fanfic - Voyage, voyage

Message par Akaroizis »

La nouvelle version est meilleure effectivement ;)
C'est une bonne partie, bien amenée, mais cela est beaucoup trop "wtf" pour que je le cautionnes :x-):

Bref, continues, et avec des laps de temps moins longs quand même :tongue:
Le présent, le plus important des temps. Profitons-en !

Saison 1 : 18.5/20
Saison 2 : 09/20
Saison 3 : 13.5/20


Ma présentation : viewtopic.php?f=7&t=80&p=75462#p75462
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Re: Fanfic - Voyage, voyage

Message par Le Flamand »

Seb_RF a écrit : 15 juin 2017, 07:33 Flami, je sais bien que ce 2010, mais dans ce cas je pige pas pk tu a mis ça???
- :Zia: : Je suppose que tu sais quel jour nous sommes ?
- :Tao: : Oui, dimanche 22 juin 1941

A moins que l condor ai encore voyager dans le temps mais sans directive...

Dsl de tout ça mais ça m'intrigue énormément es que ce voulut? Si ça l'est autant pour moi :x-):

Rayan faut que je relise pour en être sûr mais je crois qu'ils ont 16 ou 17 ans...
Le condor a voyagé dans le temps, en effet, relis le début du passage, nuage noir et éclairs, c'est comme ça que j'amène à un voyage dans le temps ;)

Je vais aussi relire le passage où j'ai parlé de leur âge, histoire de pouvoir vous dire quel âge ils ont exactement ;)
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