Re: Fanfiction Saison 4
Posté : 05 août 2020, 11:33
C'est bon voici enfin le nouveau chapitre !
Episode 11 : Face au comte
Le garde : J'ai dit venez et sans discuter !
Tao : C'est bon nous venons ! Mais pourquoi vous nous emmenez ?
Le garde : Car on ne vous connaît pas et il faut vous présenter à notre comte.
Esteban (en chuchotant aux autres) : Vous avez entendu ? C'est comme au Japon !
Le garde : Silence ! Les autres menottez-les !
Les gardes menottèrent d'abord Esteban
Esteban (se débat) : Mais enlevez-moi ça !
Puis ils menottèrent Zia
Zia (en pleurant) : Vous êtes des monstres !
Puis Tao
Tao (en bougeant comme un fou) : Mais arrêtez ! Vous êtes fous !
Puis Pedro et Sancho
Pedro (en se débattant) : Ah ben non ! Je veux ma liberté moi !
Sancho (en se débattant) : Moi aussi ! Je veux ma... mama... ma... ma liber... li... liber... liberté !
Puis Mendoza
Mendoza entendit Laguerra lui dire de lui faire confiance.
Mendoza repensa à ce moment où quand il sauvait les enfants dans le vide Laguerra lui disait de lui faire confiance. Elle lui avait prouvé depuis sa bonne volonté. Malgré cela, il se demanda s'il devait lui faire confiance et si elle n'allait pas le trahir mais il savait bien que non donc il se ressaisit.
Il n'eut pas le temps de réfléchir encore qu'on le menotta.
Mendoza se laissa faire devant ce grand nombre de gardes.
Laguerra était en train de faire pareil ce qui endormit la méfiance des gardes.
Un garde : Ah vous les adultes ! On peut dire que vous êtes bien plus raisonnables que les enfants !
Mendoza : C'est clair !
Le gardes rirent
A ce moment-là il y eut du spectacle.
Laguerra sortit son poing sans que les gardes s'y attendent puis envoya valser les trois qui était en train de la menotter.
Laguerra : Pour les enfants, Pedro, Sancho et Mendoza !
Elle embrassa Mendoza vite fait avant de s'enfuir vers une forêt.
Le chef des gardes : Rattrapez-là ! Vous vous êtes fait avoir comme des débutants !
Les gardes coururent. Parmi eux seul deux rattrapèrent Laguerra mais perdirent un duel inégal. Puis on perdit sa trace. Les gardes revinrent.
Un garde : Mon capitaine on a perdu sa trace !
Le garde : Incapables ! Et que va dire le comte ?
L'autre garde : Disons qu'il sera positif et sera content qu'on ramène les autres !
Le garde : Je l'espère pour vous ! Le comte ne laisse pas tout passer comme moi !
L'autre garde : Et si on pressait pour les amener au palais ?
Le garde : Oui. Mais avant ! Vous là comme vous dites Mendoza ! C'est sûr que c'est de votre faute ! Vous avez tout manigancé avec elle ! Vous le payerez cher !
Il força les bras de Mendoza en lui faisant mal et en essayant de le torturer.
Le garde : Qu'avez-vous fait et que ferez vous ?
Mendoza (résiste et esquisse un petit sourire) : Pensez d'abord au moment présent et à ce que je fais maintenant. Je suis torturé par un garde, j'obéis et ne réponds pas aux questions.
Les garde (explose) : GRRR !! ON VERRA SI VOUS FEREZ TOUJOURS LES MALINS AVEC LE COMTE !! (se calme et chuchote à un autre garde) Mieux vaut ne pas que le comte l'interroge ! Il a le mental solide et ne répondra pas aux questions !
L'autre garde (en chuchotant) : Oui je suis d'accord avec vous.
Mendoza : Qu'avez-vous de si intéressant à vous dire vous deux ?
Le garde (n'en peut plus) : TU LA FERME ET TU AVANCES ! JE CROIS QUE TU N'AS PAS COMPRIS MAIS ICI C'EST MOI QUI COMMANDE !
Mendoza (mort de rire) : Bien bien.
Dans la forêt
Laguerra : Pfff... Je ne sais pas quoi faire et je n'ai aucune idée pour les faire évader. Je suis partie à l'improviste et j'aurais peut-être dû rester avec eux. Mais j'ai dit à Mendoza de me faire confiance. Et je dois lui montrer qu'il pouvait me faire confiance. Qu'est-ce que je vais faire maintenant ?
Avec les enfants et Mendoza
Le garde : Vous ne commandez pas ! Hein ?
Mendoza : Mais bien sûr ! (dans sa tête) C'est tellement drôle de le manipuler et l'énerver !
Le garde : Allez on avance ! On a de la marche !
Très loin de là, dans la nef
Gaspard : Nous arrivons bientôt messire Ambrosius ?
Ambrosius : Non ! Je les ai perdus de vue ! Il va falloir que je me fabrique une nouvelle boussole !
Gaspard : Ce sera rapide ?
Ambrosius : Plus ou moins mais je n'ai pas envie de les rater à leur prochaine destination ! Ils pourraient nous apprendre des choses ma foi fort intéressantes !
Pas loin de la nef, dans la Machine Olmèque
Le Docteur : Nous sommes bientôt arrivés Athanaos ? Je ne vois plus le Condor !
Athanaos : Ma foi je crois qu'ils se sont perdus dans la nef Fernando ! La prochaine fois nous suivrons le Condor et pas la nef.
Le Docteur : S'il y a une prochaine fois Athanaos !
Athanaos : Malheureusement tu as raison Fernando.
Avec les gardes
Le garde : Nous sommes bientôt arrivés au palais de notre cher Comte de Séville !
Mendoza (en marmonnant) : J'ai entendu dire qu'il était mauvais il y a quelques années ! Encore un homme avide de richesses et de pouvoirs ! C'est vraiment n'importe quoi ! Heureusement que j'ai changé moi !
Le garde : Qu'y a-t-il ?
Mendoza : Non rien.
Le garde : Alors silence !
Mendoza (dans sa tête) : Il s'énerve vraiment pour un rien celui-là !
Le garde : Nous sommes arrivés !
Après de brève formalités ils arrivèrent devant le porte de la salle du Comte.
La porte s'ouvrit
Le comte était une homme riche d'une grandeur raffinée. Il était assis sur une chaise en or. C'était un homme comparable à Jabbar hormis le physique et le regard narquois que lui n'avait pas.
Le garde entra dans la salle et s'agenouilla devant le comte.
Le garde : Bonsoir mon comte.
Le Comte : Bonsoir garde. J'ai entendu que tu avait des choses importantes à me dire. Dis-les moi.
Le garde (en ne parlant pas trop fort pour que nos héros ne l'entendent pas) : Nous les avons capturés car nous ne les connaissons pas mais ils sont venus avec un grand oiseau en or. Je pense qu'ils sont liés à quelque chose d'important. Mais une jeune femme nommée Laguerra que nous avions capturé s'est échappé dans la forêt et nous ne l'avons pas retrouvé. Je suis sûre qu'elle s'est échappé grâce à la complicité de cet homme, Mendoza. Ils sont en couple, ont l'air puissants, valeureux et il faut se méfier d'eux. Ce Mendoza a un mental qui résiste à toute épreuve, mieux vaut ne pas le juger et le mettre en prison directement car nous n'obtiendrions aucune information. En revanche je vous recommande d'interroger les enfants.
Le Comte : Bien. Nous allons faire attention car cette jeune femme pourrait venir les faire évader. D'ailleurs qu'une escapade comme celle-ci ne se reproduise pas garde !
La garde : Bien mon Comte.
Le Comte : Nous allons donc emprisonner cet homme et juger les autres. Merci et vous pouvez vous retirer garde.
Le garde partit, on emmena Mendoza en prison et on amena les enfants, Pedro et Sancho auprès du Comte et on leur enleva les menottes.
Le Comte (devant les enfants) : Je vais donc vous juger. Vous allez répondre à mes questions et je verrai si je vous mets en prison, vous libère ou vous garde avec moi.
A votre avis les enfants échapperont-ils à la prison ? Dites-le moi en commentaires.
Episode 11 : Face au comte
Le garde : J'ai dit venez et sans discuter !
Tao : C'est bon nous venons ! Mais pourquoi vous nous emmenez ?
Le garde : Car on ne vous connaît pas et il faut vous présenter à notre comte.
Esteban (en chuchotant aux autres) : Vous avez entendu ? C'est comme au Japon !
Le garde : Silence ! Les autres menottez-les !
Les gardes menottèrent d'abord Esteban
Esteban (se débat) : Mais enlevez-moi ça !
Puis ils menottèrent Zia
Zia (en pleurant) : Vous êtes des monstres !
Puis Tao
Tao (en bougeant comme un fou) : Mais arrêtez ! Vous êtes fous !
Puis Pedro et Sancho
Pedro (en se débattant) : Ah ben non ! Je veux ma liberté moi !
Sancho (en se débattant) : Moi aussi ! Je veux ma... mama... ma... ma liber... li... liber... liberté !
Puis Mendoza
Mendoza entendit Laguerra lui dire de lui faire confiance.
Mendoza repensa à ce moment où quand il sauvait les enfants dans le vide Laguerra lui disait de lui faire confiance. Elle lui avait prouvé depuis sa bonne volonté. Malgré cela, il se demanda s'il devait lui faire confiance et si elle n'allait pas le trahir mais il savait bien que non donc il se ressaisit.
Il n'eut pas le temps de réfléchir encore qu'on le menotta.
Mendoza se laissa faire devant ce grand nombre de gardes.
Laguerra était en train de faire pareil ce qui endormit la méfiance des gardes.
Un garde : Ah vous les adultes ! On peut dire que vous êtes bien plus raisonnables que les enfants !
Mendoza : C'est clair !
Le gardes rirent
A ce moment-là il y eut du spectacle.
Laguerra sortit son poing sans que les gardes s'y attendent puis envoya valser les trois qui était en train de la menotter.
Laguerra : Pour les enfants, Pedro, Sancho et Mendoza !
Elle embrassa Mendoza vite fait avant de s'enfuir vers une forêt.
Le chef des gardes : Rattrapez-là ! Vous vous êtes fait avoir comme des débutants !
Les gardes coururent. Parmi eux seul deux rattrapèrent Laguerra mais perdirent un duel inégal. Puis on perdit sa trace. Les gardes revinrent.
Un garde : Mon capitaine on a perdu sa trace !
Le garde : Incapables ! Et que va dire le comte ?
L'autre garde : Disons qu'il sera positif et sera content qu'on ramène les autres !
Le garde : Je l'espère pour vous ! Le comte ne laisse pas tout passer comme moi !
L'autre garde : Et si on pressait pour les amener au palais ?
Le garde : Oui. Mais avant ! Vous là comme vous dites Mendoza ! C'est sûr que c'est de votre faute ! Vous avez tout manigancé avec elle ! Vous le payerez cher !
Il força les bras de Mendoza en lui faisant mal et en essayant de le torturer.
Le garde : Qu'avez-vous fait et que ferez vous ?
Mendoza (résiste et esquisse un petit sourire) : Pensez d'abord au moment présent et à ce que je fais maintenant. Je suis torturé par un garde, j'obéis et ne réponds pas aux questions.
Les garde (explose) : GRRR !! ON VERRA SI VOUS FEREZ TOUJOURS LES MALINS AVEC LE COMTE !! (se calme et chuchote à un autre garde) Mieux vaut ne pas que le comte l'interroge ! Il a le mental solide et ne répondra pas aux questions !
L'autre garde (en chuchotant) : Oui je suis d'accord avec vous.
Mendoza : Qu'avez-vous de si intéressant à vous dire vous deux ?
Le garde (n'en peut plus) : TU LA FERME ET TU AVANCES ! JE CROIS QUE TU N'AS PAS COMPRIS MAIS ICI C'EST MOI QUI COMMANDE !
Mendoza (mort de rire) : Bien bien.
Dans la forêt
Laguerra : Pfff... Je ne sais pas quoi faire et je n'ai aucune idée pour les faire évader. Je suis partie à l'improviste et j'aurais peut-être dû rester avec eux. Mais j'ai dit à Mendoza de me faire confiance. Et je dois lui montrer qu'il pouvait me faire confiance. Qu'est-ce que je vais faire maintenant ?
Avec les enfants et Mendoza
Le garde : Vous ne commandez pas ! Hein ?
Mendoza : Mais bien sûr ! (dans sa tête) C'est tellement drôle de le manipuler et l'énerver !
Le garde : Allez on avance ! On a de la marche !
Très loin de là, dans la nef
Gaspard : Nous arrivons bientôt messire Ambrosius ?
Ambrosius : Non ! Je les ai perdus de vue ! Il va falloir que je me fabrique une nouvelle boussole !
Gaspard : Ce sera rapide ?
Ambrosius : Plus ou moins mais je n'ai pas envie de les rater à leur prochaine destination ! Ils pourraient nous apprendre des choses ma foi fort intéressantes !
Pas loin de la nef, dans la Machine Olmèque
Le Docteur : Nous sommes bientôt arrivés Athanaos ? Je ne vois plus le Condor !
Athanaos : Ma foi je crois qu'ils se sont perdus dans la nef Fernando ! La prochaine fois nous suivrons le Condor et pas la nef.
Le Docteur : S'il y a une prochaine fois Athanaos !
Athanaos : Malheureusement tu as raison Fernando.
Avec les gardes
Le garde : Nous sommes bientôt arrivés au palais de notre cher Comte de Séville !
Mendoza (en marmonnant) : J'ai entendu dire qu'il était mauvais il y a quelques années ! Encore un homme avide de richesses et de pouvoirs ! C'est vraiment n'importe quoi ! Heureusement que j'ai changé moi !
Le garde : Qu'y a-t-il ?
Mendoza : Non rien.
Le garde : Alors silence !
Mendoza (dans sa tête) : Il s'énerve vraiment pour un rien celui-là !
Le garde : Nous sommes arrivés !
Après de brève formalités ils arrivèrent devant le porte de la salle du Comte.
La porte s'ouvrit
Le comte était une homme riche d'une grandeur raffinée. Il était assis sur une chaise en or. C'était un homme comparable à Jabbar hormis le physique et le regard narquois que lui n'avait pas.
Le garde entra dans la salle et s'agenouilla devant le comte.
Le garde : Bonsoir mon comte.
Le Comte : Bonsoir garde. J'ai entendu que tu avait des choses importantes à me dire. Dis-les moi.
Le garde (en ne parlant pas trop fort pour que nos héros ne l'entendent pas) : Nous les avons capturés car nous ne les connaissons pas mais ils sont venus avec un grand oiseau en or. Je pense qu'ils sont liés à quelque chose d'important. Mais une jeune femme nommée Laguerra que nous avions capturé s'est échappé dans la forêt et nous ne l'avons pas retrouvé. Je suis sûre qu'elle s'est échappé grâce à la complicité de cet homme, Mendoza. Ils sont en couple, ont l'air puissants, valeureux et il faut se méfier d'eux. Ce Mendoza a un mental qui résiste à toute épreuve, mieux vaut ne pas le juger et le mettre en prison directement car nous n'obtiendrions aucune information. En revanche je vous recommande d'interroger les enfants.
Le Comte : Bien. Nous allons faire attention car cette jeune femme pourrait venir les faire évader. D'ailleurs qu'une escapade comme celle-ci ne se reproduise pas garde !
La garde : Bien mon Comte.
Le Comte : Nous allons donc emprisonner cet homme et juger les autres. Merci et vous pouvez vous retirer garde.
Le garde partit, on emmena Mendoza en prison et on amena les enfants, Pedro et Sancho auprès du Comte et on leur enleva les menottes.
Le Comte (devant les enfants) : Je vais donc vous juger. Vous allez répondre à mes questions et je verrai si je vous mets en prison, vous libère ou vous garde avec moi.
A votre avis les enfants échapperont-ils à la prison ? Dites-le moi en commentaires.