Les Mystérieuses Cités d'Or

Pour les connaisseurs…

Allons seniorita que trouve tu chez Mendoza de bien ! Hein !
(dans ses pensé, des pulsions en exitation)
Tu sais je pense que si tu serait en ma compagnie avec Ambrosius ta sécurité serait garantie à 100% ! Tandis qu'avec Mendoza, et sa clic de demeuré tu irais probablement pas loin soit en certain !
(lorsque ses pulsions entament leurs agitation)
Tu sais avec Ambrosius et Moi, nous pourrions former une équipe inséparable, prète à tour pour subvenir à multiples besoins, nous pourrions voyager sur les quatres coins du monde, accroître nos richesses, nos savoirs grâces à une équipe grandissante qui réunirais des érudits tels que ambrosius et bien d'autre !
(les pulsions commencent à bouillir)
(sous des paroles rotatives) Vous voyez seniorita une équipe est fait de personnes fortes, sans pitiés qui de part les obstacles montent afin de multiplier ses gains et ses victoires, nous pourrions bâtir un empire grâce à notre équipe et Mendoza ne serait qu'un insecte face à notre monument !
(les pulsions sur le point d'éclater, Isabella commence à se contracter, désormais sa peau rougit, elle commence à se retenir)
Mendoza quand à lui, ses seuls préoccupations ne se résument seulement à épauler un misérable tarvernier, ayant dans son équipe deux misérables marins en guise de renfort ainsi que trois morveux dépourvu d'utilité vivant en famille nombreuse et misérable dans un taudis perdus dans l'arrière de la ville sans aucune ressource ni de confort !
(sur le point d'exploser, ses dernières retenues en vains, encore quelques seconde, 10,9,8,7,6,5,4,3,2,1 et)
(parlant, sans se douter que...)
GASPARD !!!! UN MOT DE PLUS ET VOTRE MISERABLE CARCASSE SERA BROYER ET SERVIRA DE REPAS AUX BETES, JE NE SAIS PAS CE QUI ME RETIENT DE VOUS EMBROCHER DANS LA SECONDE, MEME VOTRE BOUCHE EN A PAR DESSUS LA TETE DE VOS PIETRES DISCOURS ET POUR COMMENCEZ INVESTISSEZ DANS UNE BROSSE A DENT !

Par un beau jour de canicule, les Mendoza se rendent, affolés, chez le Docteur Laguerra. Là, ils trouvent un Tao mort de honte près d’un Pablo étourdi, la tête et le torse couverts de bandages, les deux jambes cassées et un œil au beurre noir.
: Mon Dieu ! Mais que t’est-t-il arrivé ?
Pablo : Je me suis fait renverser par le Condor !
furieux : Par le Condor ?! Par la malpeste, Esteban était encore ivre !
Pablo : Oh non, ce n’est pas de sa faute… Ce n’est pas tout… Les Urubus, les pirates et les Foulards Rouges m’ont tous attaqué !
: Hein ???
Pablo : Après, Tétéola m’a fait voltiger dans les airs…
: Tétéola ? Ce brave garçon ne ferait pas de mal à une mouche !
Pablo : J’ai été réceptionné par Omuro et Laoda… manque de chance, il pleuvait, donc elles ont récité des incantations pour m’offrir en sacrifice au Dieu de la Pluie…
de plus en plus abasourdis : Il pleuvait ?????
Pablo tout sourire : Mais bon, je n’ai pas à me plaindre, sinon j’aurais plongé dans l’Amazone pour être dévorer par l’anaconda… et pour finir Ménator et Calmèque m’ont tondu les cheveux ! Mais heureusement pour moi, oncle Tao a réussi à arrêter sa machine virtuelle 3D avant que les Olmèques ne me lynchent avec des pierres…
rouge pivoine : Promis, je mets une serrure sur la porte de mon laboratoire…

Excellent

Pour fêter leur vingtième anniversaire de mariage, un couple de Catalans décide de faire le tour de la Méditerranée et de réserver la même chambre dans l’auberge romaine qu’ils ont prise lors de leur lune de miel.
Mais au dernier moment, Leonora attrape un mauvais rhume et contamine sa mère. Il est finalement décidé que le capitaine fasse la croisière jusqu’à Rome comme convenu, mais que l’aventurière se rende à l’auberge le 20 juin avec le Condor, accompagnée des Élus et du Naacal.
Mendoza arrive comme prévu dans la Ville Éternelle, et après avoir trouvé un pigeonnier, envoie un courrier à sa femme. Mais le marin oublie de préciser la province au colombophile qui lui désigne un pigeon voyageur.
C’est ainsi qu’à Barcelonne, charmant petit village du duché de Valentinois, une veuve qui vient de rentrer des funérailles de son mari mort sans avoir reçu les saints sacrements réceptionne le message… et s’évanouit aussitôt.
Son fils entre dans sa maison et trouve sa mère sans connaissance, un parchemin dans la main :

« À mon épouse bien-aimée,
Tu seras certainement surprise de recevoir de mes nouvelles maintenant et de cette manière. Ici, ils ont des pigeons voyageurs et tu peux envoyer des messages à ceux que tu aimes. Je viens d’arriver et j’ai vérifié que tout était prêt pour ta venue, après-demain.
Comme j’ai hâte de revoir…
J’espère que ton voyage se passera aussi bien que s’est passé le mien. Je n’ai aucune raison de m’inquiéter, tu vas voler dans le ciel comme un ange.
P.S. : Il n’est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de vêtements : il fait la chaleur d’enfer ! »

MDR!

Excellent !

Tao rejoint son amie Zia en courant. À bout de souffle, il lui dit:
: Zia! Ton mari… Ton mari…
: Oui, eh bien quoi?
: Estéban... Il va se jeter par la fenêtre!
: Dis à ce c** qu'il a des cornes, pas des ailes!

Bien que guérisseuse, Zia est désormais reconnue comme médecin par la populace barcelonaise. Aussi le Docteur décide qu'il est temps pour lui de prendre sa retraite.
L'anniversaire de Leonora approchant, il décide de se lancer dans la pâtisserie en confectionnant deux gâteaux à étage, qu'il servira aux invités. Une fois sortis du four, il les place ses réalisations dans le garde-manger.
Le moment venu, il prend une pièce-montée, mais la seconde, en revanche, reste introuvable. Intrigué, Fernando interroge ses petits-enfants :
: Dites-moi les enfants, j'avais fait deux gâteaux hier. Il n'en reste plus qu'un dans l'armoire… Vous n'auriez pas vu le deuxième quelque part ?
Elena : Si, mais je voulais goûter, pour vérifier s'il n'était pas empoisonné !
:
Pablo : Il était commencé, donc j'ai mangé le premier étage !
:
Joaquim : J'ai mangé le reste !
:
Paloma : J'suis trop petite J'ai pas vu qu'il y en avait un derrière !
:

Pas mal, Xia!
À mon tour:

Vêtue d'une robe vaporeuse et très courte, Elena s'apprête à aller au bal. Sa mère la regarde et lui dit:
: Ma petite salamandre, on voit ta poitrine à travers la mousseline. Tu n'as pas mis d'apodesme?
À ce moment-là, la señorita Mendoza se baisse pour ajuster ses escarpins. Isabella s'écrit:
: Mais!... Tu n'as pas de culotte non plus!
D'un ton navré, l'adolescente fait:
Elena: Maman, quand tu écoutes un concerto, tu ne mets pas de bouchons de cire dans tes oreilles!