Re: Fanfiction Saison 4
Posté : 16 juin 2020, 13:00
Merci beaucoup je crois que je ne suis pas fait pour les fanfictions même si j'ai progressé.
Mais voilà (déjà) le nouveau chapitre.
Episode 10 : Le mystère du coffre-fort
Dans le Condor
Esteban : Nous arriverons dans encore quelque temps à Madrid. Je ne connais pas cette ville.
Mendoza : C'est la capitale de l'Espagne. Mais ce n'est pas une ville côtière.
Zia : En attendant on ne sait pas où se trouve exactement ce coffre-fort.
Laguerra : Non. Et en attendant il faudra vous accompagner car on sait ce que va faire Zarès sinon.
Dans la nef
Ambrosius : Il faut revoir notre plan.
Gaspard : C'est-à-dire messire Ambrosius ?
Ambrosius : Eh bien maintenant qu'ils sont sur leurs gardes je pense qu'il faudra les attaquer juste avant l'ouverture de la 7ème cité d'or.
Dans la Machine Olmèque
Le Docteur : Je suis impatient qu'ils finissent la quête.
Athanaos : Moi aussi. Mon fils me manque. La tâche qu'on lui a confiée est loin d'être facile.
Dans le Condor
Esteban : Nous arrivons !
Ils se posent
Zia : Descendons !
Ils descendent
Tao : Et maintenant ?
Mendoza : Il va falloir chercher et recueillir des informations.
Dans la nef
Ambrosius : Ils font tout le boulot et ce sera gratuit pour moi. Surtout qu'ils le font mieux quand ils ne sont pas avec moi.
Dans la ville
Esteban : Les gens ont l'air plus accueillants qu'à Barcelone.
Mendoza : C'est surtout que vous étiez recherchés là-bas.
Laguerra : Demandons à des gens cela nous aidera peut-être.
Ils parcourent la ville mais ne trouvent et n'obtiennent aucune information.
Jusqu'à ce qu'ils tombent sur une tribu de religieux
Les religieux : Oui nous avons des informations. Il y a des inscriptions bizarres à côté de la ville. Nous vous y amèneront demain.
Mendoza : Merci infiniment.
Et en plus les religieux leur accordèrent l'hospitalité
Le lendemain matin
Les religieux : On va marcher longtemps et il fait chaud ici. Voici des gourdes.
Ils les prirent enthousiastes surtout les marins
Au bout d'environ une heure de marche ils arrivèrent à l'endroit indiqué
Les religieux : Voilà. Nous vous laissons ici. Nous devons retourner chez nous.
Tao : Merci beaucoup.
Zia : Au revoir !
Esteban vit une plaque
Esteban : Voyons ! Je vais la déchiffrer.
Tao : Vas-y !
Esteban : Ne partez pas et prenez le coffre-fort.
Zia (en le prenant) : On fait quoi ?
Esteban : Je ne sais pas. Il y a peut-être autre chose.
Tao : Retournons dans la ville.
Ils marchèrent mais un fou furieux les prit tous sans qu'ils s'y attendent.
Le fou : Vous voulez toucher à des choses hein ? Maintenant vous ferez moins les malins.
Il les ligota
Dans la nef
Ambrosius : Ils en mettent du temps !
Gaspard : J'en ai assez d'attendre !
Ambrosius : Restez quand même patient.
Dans la machine olmèque
Athanaos : Tu vois Fernando ? Que des péripéties !
Du côté de nos héros
Laguerra : Il est fou et ridicule ! Ces liens sont très faciles à enlever !
Laguerra les enleva facilement et enleva ceux des autres
Mendoza : Bon monsieur le fou ! Pourquoi nous avez-vous capturés ?
Le fou : Parce que je ne veux pas que vous touchiez à cette chose !
Mendoza : Et cette chose ?
Le fou : C'est un secret.
Mendoza : Tu vas parler ? C'est peut-être ce que l'on cherche !
Le fou : Non.
Ils abandonnèrent cette piste et retournèrent en attendant au Condor le soir et mangèrent autour d'un feu de camp.
Esteban : On doit faire quoi ?
Zia : Je ne sais pas.
Tao : Ouvrons-le d'abord.
Il l'ouvre avec la clé
Tao : Voilà.
Zia : Et ?
Esteban : Cela me dit quelque chose.
Mendoza : Quoi ?
Esteban : Il faudra revoir car j'ai vu la même chose dans la ville que une chose de cette forme qui pourrait activer le coffre. Regardez il est creux et ça fait une forme creuse à un endroit. Il faudrait poser cette chose dessus.
Laguerra : On le fera demain. Allons nous coucher.
Ils allèrent se coucher et passèrent une bonne nuit
Le lendemain matin
Esteban : Allons-y !
Zia : On va où ?
Tao : On verra bien.
Esteban : Voilà c'est là où le fou furieux était.
Mendoza : C'était ça qu'il ne voulait pas que l'on touche.
Esteban : Pour lui ça devait être sacré.
Laguerra : Il n'est pas là. On peut lui emprunter.
Ils empruntèrent la plaque
Esteban : Bon voilà c'est bon on lui emprunte et on lui rendra. Voilà. Retournons au Condor !
Ils vont au Condor et y arrivent après une longue marche
Tao : Zia met sur le coffre-fort cette plaque pour compléter.
Zia (la mettant) : Voilà ça y est.
Esteban : Et donc ?
Une inscription en lumière apparut
Esteban : Déchiffre-là Zia !
Zia : Encore un mélange ! Alors : Rendez-vous à Séville. Vous n'aurez plus besoin du coffre.
Tao : Parfait ! Nous avons élucidé le mystère de ce coffre-fort bizarre.
Esteban : On n'en aura plus besoin donc allons rendre la plaque au fou.
Ils y vont, remettent la plaque au bon endroit et repartent.
Ils prennent le Condor
Esteban : Cap à Séville !
Dans la nef
Ambrosius : On les suit !
Gaspard : Bien messire Ambrosius !
Dans la machine olmèque
Le Docteur : Eh bien ! Ils s'en sortent encore !
Athanaos : Oui ! Et ce n'est pas fini !
Au bout d'un moment nos héros arrivèrent à Séville, posèrent le Condor et descendirent.
? : Rendez-vous et venez !
Esteban : Des gardes !
Le garde : Allez venez !
Zia : Pourquoi ?
A votre avis pourquoi le garde leur demande de venir ? Dites-le moi en commentaires.
Mais voilà (déjà) le nouveau chapitre.
Episode 10 : Le mystère du coffre-fort
Dans le Condor
Esteban : Nous arriverons dans encore quelque temps à Madrid. Je ne connais pas cette ville.
Mendoza : C'est la capitale de l'Espagne. Mais ce n'est pas une ville côtière.
Zia : En attendant on ne sait pas où se trouve exactement ce coffre-fort.
Laguerra : Non. Et en attendant il faudra vous accompagner car on sait ce que va faire Zarès sinon.
Dans la nef
Ambrosius : Il faut revoir notre plan.
Gaspard : C'est-à-dire messire Ambrosius ?
Ambrosius : Eh bien maintenant qu'ils sont sur leurs gardes je pense qu'il faudra les attaquer juste avant l'ouverture de la 7ème cité d'or.
Dans la Machine Olmèque
Le Docteur : Je suis impatient qu'ils finissent la quête.
Athanaos : Moi aussi. Mon fils me manque. La tâche qu'on lui a confiée est loin d'être facile.
Dans le Condor
Esteban : Nous arrivons !
Ils se posent
Zia : Descendons !
Ils descendent
Tao : Et maintenant ?
Mendoza : Il va falloir chercher et recueillir des informations.
Dans la nef
Ambrosius : Ils font tout le boulot et ce sera gratuit pour moi. Surtout qu'ils le font mieux quand ils ne sont pas avec moi.
Dans la ville
Esteban : Les gens ont l'air plus accueillants qu'à Barcelone.
Mendoza : C'est surtout que vous étiez recherchés là-bas.
Laguerra : Demandons à des gens cela nous aidera peut-être.
Ils parcourent la ville mais ne trouvent et n'obtiennent aucune information.
Jusqu'à ce qu'ils tombent sur une tribu de religieux
Les religieux : Oui nous avons des informations. Il y a des inscriptions bizarres à côté de la ville. Nous vous y amèneront demain.
Mendoza : Merci infiniment.
Et en plus les religieux leur accordèrent l'hospitalité
Le lendemain matin
Les religieux : On va marcher longtemps et il fait chaud ici. Voici des gourdes.
Ils les prirent enthousiastes surtout les marins
Au bout d'environ une heure de marche ils arrivèrent à l'endroit indiqué
Les religieux : Voilà. Nous vous laissons ici. Nous devons retourner chez nous.
Tao : Merci beaucoup.
Zia : Au revoir !
Esteban vit une plaque
Esteban : Voyons ! Je vais la déchiffrer.
Tao : Vas-y !
Esteban : Ne partez pas et prenez le coffre-fort.
Zia (en le prenant) : On fait quoi ?
Esteban : Je ne sais pas. Il y a peut-être autre chose.
Tao : Retournons dans la ville.
Ils marchèrent mais un fou furieux les prit tous sans qu'ils s'y attendent.
Le fou : Vous voulez toucher à des choses hein ? Maintenant vous ferez moins les malins.
Il les ligota
Dans la nef
Ambrosius : Ils en mettent du temps !
Gaspard : J'en ai assez d'attendre !
Ambrosius : Restez quand même patient.
Dans la machine olmèque
Athanaos : Tu vois Fernando ? Que des péripéties !
Du côté de nos héros
Laguerra : Il est fou et ridicule ! Ces liens sont très faciles à enlever !
Laguerra les enleva facilement et enleva ceux des autres
Mendoza : Bon monsieur le fou ! Pourquoi nous avez-vous capturés ?
Le fou : Parce que je ne veux pas que vous touchiez à cette chose !
Mendoza : Et cette chose ?
Le fou : C'est un secret.
Mendoza : Tu vas parler ? C'est peut-être ce que l'on cherche !
Le fou : Non.
Ils abandonnèrent cette piste et retournèrent en attendant au Condor le soir et mangèrent autour d'un feu de camp.
Esteban : On doit faire quoi ?
Zia : Je ne sais pas.
Tao : Ouvrons-le d'abord.
Il l'ouvre avec la clé
Tao : Voilà.
Zia : Et ?
Esteban : Cela me dit quelque chose.
Mendoza : Quoi ?
Esteban : Il faudra revoir car j'ai vu la même chose dans la ville que une chose de cette forme qui pourrait activer le coffre. Regardez il est creux et ça fait une forme creuse à un endroit. Il faudrait poser cette chose dessus.
Laguerra : On le fera demain. Allons nous coucher.
Ils allèrent se coucher et passèrent une bonne nuit
Le lendemain matin
Esteban : Allons-y !
Zia : On va où ?
Tao : On verra bien.
Esteban : Voilà c'est là où le fou furieux était.
Mendoza : C'était ça qu'il ne voulait pas que l'on touche.
Esteban : Pour lui ça devait être sacré.
Laguerra : Il n'est pas là. On peut lui emprunter.
Ils empruntèrent la plaque
Esteban : Bon voilà c'est bon on lui emprunte et on lui rendra. Voilà. Retournons au Condor !
Ils vont au Condor et y arrivent après une longue marche
Tao : Zia met sur le coffre-fort cette plaque pour compléter.
Zia (la mettant) : Voilà ça y est.
Esteban : Et donc ?
Une inscription en lumière apparut
Esteban : Déchiffre-là Zia !
Zia : Encore un mélange ! Alors : Rendez-vous à Séville. Vous n'aurez plus besoin du coffre.
Tao : Parfait ! Nous avons élucidé le mystère de ce coffre-fort bizarre.
Esteban : On n'en aura plus besoin donc allons rendre la plaque au fou.
Ils y vont, remettent la plaque au bon endroit et repartent.
Ils prennent le Condor
Esteban : Cap à Séville !
Dans la nef
Ambrosius : On les suit !
Gaspard : Bien messire Ambrosius !
Dans la machine olmèque
Le Docteur : Eh bien ! Ils s'en sortent encore !
Athanaos : Oui ! Et ce n'est pas fini !
Au bout d'un moment nos héros arrivèrent à Séville, posèrent le Condor et descendirent.
? : Rendez-vous et venez !
Esteban : Des gardes !
Le garde : Allez venez !
Zia : Pourquoi ?
A votre avis pourquoi le garde leur demande de venir ? Dites-le moi en commentaires.