histoire de pousser les protagonistes à l'improvisation et à une certaine malice : très cool ! x-) x-) x-)
C'est un peu l'épisode des petits "miracles" :
- Les enfants se jouent habilement du monde des adultes dont ils ont compris les ressorts x-) ;
- La première vraie faiblesse "stratégique" d'Ambrosius (et oui, c'est pas de l'or mais de l'orichalque), Ambrosius pour qui se la péter en costume de Zarès ne suffira pas longtemps... Bon d'accord, y'a pas que le costume, y'a aussi les super-pouvoirs de l'exosquelette - Ooups, j'me tais !

- Zarès défait, donc : l'arnaque or/orichalque révélée facilement. Sympa de mettre en avant les propriétés physiques de l'orichalque à cette occasion ;
- Enfin un Tao digne de ce nom, curieux, tenace et plus posé x-) ;
- Gaspard redevient enfin une fine lame, x-) et ça nous change du pitre ballot-balourd...
- Entrevoir les fameux voiles de Rana'Ori m'a mis l'eau à la bouche. Sérieusement, là, l'objet-indice est vraiment intriguant par rapport à ce qu'ils nous proposent d'habitude...

Mais les miracles, faut en user avec un peu de modération quand même :
- Sancho et Pedro qui tombent par hasard sur Mendoza : c'est vrai qu'on dit que "le monde est petit", mais là ça fait quand même plus "plan bac à sable" que de bonnes vieilles "étendues désertiques" où les aventuriers se perdent jusqu'au prochain mirage (après le dernier virage à gauche)...
- Laguerra vive comme l'éclair au point qu'on peut presque avoir l'impression qu'elle a le don d'ubiquité (elle les rattrape très vite, les enfants, où alors il y a un truc que j'ai pas vu ?!).
Et Mendoza, le mec posé à la tête froide, avec toujours un plan sympa pour se sortir de la mouise... Ben là, il a pas été très malin pour cette histoire de vol de dromadaires (vu la valeur des bestioles, vu qu'ils ont des machines volantes, vu que les conséquences seront lourdes et que, m****, Malik il est trop sympa pour qu'on lui fasse un coup pareil !!!)... Mais en même temps, j'aime bien l'idée que Mendoza ait laissé valser les exigences morales en se rendant compte de l'urgence de la situation. Du coup, j'apprécie sa défaillance et/ou son impertinence et/ou sa traitrise forcée. Et ça redéfinit bien ses priorités : notre Mendodo peut bien raconter ce qu'il veut, jamais il ne les lâchera les trois mômes ! :->
[post édité en "déspoilé" après diffusion française!] x-)