Les blagues du blabla.

[Amaya]

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La petite Paloma assiste au théâtre de marionnettes sicilien Opera dei Pupi, en représentation à Barcelone, avec sa maman. Le spectacle est sur le point de commencer quand la fillette s'écrie:
Paloma: Mamaaaaan! Y'a le monsieur d'à côté qui me touche les cuisses!
: Oh le vilain bougre! Lève-toi vite et échange de place avec moi, tu vas voir!
La petite s'exécute et le couple fille-mère se concentre désormais sur les marionnettes en prenant parti pour deux des personnages les plus adulés : Orlando et Rinaldo. Au bout de dix minutes, Isabella se penche vers son voisin:
: Allons, allons, señor! Vous n'allez quand même pas bouder pendant toute la séance!

Ahlala, ce type de señor !

[Aurélien]

Isabella et Tao se sont offert une journée à la montagne en ce moi de mars afin de profiter de son aire pure et de son aire frais.
Lors de cette sortie Tao s'exerce sur des décentes à l'aide de ski fabriqué à l'aide d'oricalque sous le regard observateur de la jeune aventurière !
Soudain Celle-ci fit des signes afin d'interpeller notre Nacal :
Il comprit :
Tao: Mouvement des hanche
Sans aucun signe de réponse apparent elle reprit maintes fois
A heu ! Les Manches c'est ça !
On est dimanche c'est ça ! Mais que veut-elle enfin c'est bizarre ?!
NON ON EST PAS DIMANCHE, AVALANCHE !!!!!!
Ah ! Heureusement que ma combinaison est étanche finalement !

[Xia]

Si crie comme ça, c'est sûr qu'il va y avoir une avalanche

[Xia]

Sancho et Pedro partent chasser dans la forêt amazonienne quand, soudain, Pedro s'effondre. Il semble avoir cessé de respirer et ses yeux sont vitreux.
Paniqué, Sancho appelle Zia grâce au téléphone que lui a donné Tao.
: Zi… Zi… Zia ! Pe… Pe… Pedro est mort ! Qu'est-ce que je… je… je fais pour le soigner ?
: Déjà, tu te calmes ! Je vais t'aider à préparer la décoction appropriée. Mais assures-toi qu'il est bien décédé.
Après un moment de silence, la jeune Inca entend un coup de feu à l'autre bout du fil. Affolée, elle s'écrie :
: SANCHO ! Est-ce tout va bien ?
: Il… il… il est bien mort. Qu… qu… qu'est-ce que je fais maintenant ?

[Aurélien]

Continuons donc :
Isabella et Tao sont cette fois ci dans un ascenseur au sein d'une propriété parisienne afin de rendre visite à Zia habitant à l'étage !
Mais hélas l'ascenseur fut arrêté depuis un bon moment déjà et Isabella commence vraiment à perdre patience :
J'y crois pas, ça fais 1h et demis qu'on est coincé dans cet ascenseur, j'en crois pas mes oreilles !
Soudainement
Bonjour, comment puis-je vous aider ?
Alors, nous voulons... un cheese burger, avec des frites, une canette de coca et du Ketchup sur les frites s'il vous plait !
Quoi ? C'est quoi cette histoire ?
Ah Tao !!! Ce monsieur est la pour nous dépanner !! On est pas là pour manger !!
Oui mais si on reste coincé encore longtemps, on pourrait risquer d'avoir faim ! Au moins il y a quelqu'un qui pense à la tendance ici !
Dépité
A flûte ! J'aurais dû prendre des pizzas, les burgers et les frites ça ne passera jamais sous la porte !ARG!!!

[Xia]

Zia et Jesabel ont décidé de s'offrir une soirée entre filles à la taverne de Rico. Malheureusement pour les deux amies, une irrésistible envie se fait sentir sur le chemin du retour. Jesabel, n'y tenant plus, se précipite dans le premier bosquet qu'elle voit.
: Tu es folle ! Z'est en plein milieu d'un… d'un jardin ! Imagines ze qu'il se pazerait si… si les propriétaires nous voyaient !
Jesabel haussant les épaules : Zi… zi t'as une meilleure zidée !
La jeune Inca la rejoint et s'accroupit tant bien que mal en se tenant à un rocher. Enfin soulagée, Zia prend une feuille qu'elle arrache du sol pour s'essuyer, tandis que Jesabel utilise un de ses bas, qu'elle jette un peu plus loin.
Jesabel à Zia : Pour que le zoiseau zu… zur le toit faze un nid.
Le lendemain, Tao et Esteban se retrouvent à la taverne :
furieux : Je ne sais pas ce qu'elles ont fabriqué, mais elles se sont bien amusées hier soir !
: Ca, je ne te le fais dire ! Figures-toi que Jesabel est rentrée avec un jupon en moins cette nuit !
: Avec un jupon en moins ? Oh, mais ce n'est rien, ça ! J'ai retrouvé Zia en train de ronfler à côté du chien, qui avait un papier où c'était écrit Nous ne t'oublierons jamais collé aux fesses !!!
Toujours ruminants après le comportement impardonnables de leurs femmes, l'Elu et le Naacal tendent l'oreille pour écouter la conversation de la table voisine, où l'ambiance n'est guère plus gaie.
: Mais dans quel monde on vit ?! Vous pouvez me le dire ?
: …
: Ce matin, je suis allé rendre visite à ma mère et vous savez ce que j'ai vu ?
: …
: Les fleurs étaient toutes ratatinées et le mot que les enfants lui ont écrit a disparu !!! Eux qui se sont donnés tant de mal ! Qu'est-ce que je vais leur dire moi ?
: …
: Et ce n'est pas tout ! J'ai trouvé un jupon de femme sur sa pierre par dessus le marché ! Ils ne peuvent pas faire ça ailleurs ? Non mais franchement ! Comme si ce n'était pas assez dur comme ça. On l'a mise en terre la semaine derrière, ma pauvre mère… Sous la girouette qu'elle aimait tant…

[Aurélien]

et sont devant l'ascenseur :
Enfin Isabella, on ne vas tout de même pas monter à pied !
Tu ne comprend pas Tao, je suis claustrophobe, ça ne se commande pas ce genre de truc. A mais si tu veux on peux monter mais dans ce cas on laisse les portes ouvertes.
Mais que s'est-il passé de si terrible ?
Un soir j'était avec Zia dans un centre commercial pour faire du shopping dont je ne citerai la marque, tu vois, et je décidais d'aller prendre l'escalator afin de la rejoindre vu qu'elle était déjà au parking de la ville pour partir, mais l'escalator se mit soudainement à bloquer, et puis plus de lumière, plus rien, et j'étais resté coincé dans l'escalator jusqu'au lendemain matin ! Tu te rend compte !
A oui j'imagine ! Bloqué ?
Bloqué !
Dans l'escalator ?
Dans l'escalator !... Claustrophobe !
A oui j'imagine !

[TEEGER59]

Un matin, de passage à Barcelone, Sœur Thérèse (d'Avila) se rend chez le docteur:
Thérèse: Docteur, je n'en peux plus! J'ai une crise de hoquet depuis plus d'un mois! Je ne dors plus, je ne mange plus et j'ai mal partout à cause de toutes ces contractions brusques!
: Allongez-vous sur la table d'examen, ma Sœur. Je vais vous ausculter.
Il l'examine, puis lui dit:
: Aïe... Ma Sœur, vous êtes enceinte!
Sœur Thérèse ne prend même pas la peine de répondre au docteur Laguerra. Elle rassemble ses affaires et s'enfuit en courant, complètement paniquée.
Une heure plus tard, il reçoit la visite de Marie de Cepeda, la Mère supérieure du couvent des Carmélites.
Marie: Dites-moi, docteur, qu'avez-vous dit à Sœur Thérèse?
: J'ai fait un pieux mensonge. Comme elle était en pleine crise de hoquet, j'ai voulu lui faire une grosse frayeur pour que ça passe. Et je suppose que ça a marché, non?
Marie: Oui, Sœur Thérèse n'a plus son hoquet... Mais le Père Marco, du monastère de Pédralbes, vient de se jeter du haut de son clocher!

[TEEGER59]

Ce matin, Isabella passait un coup de balai dans la chambre d'Elena, qui a eu seize ans il y a quelques jours.
C'est alors qu'elle est tombée sur SM, le magazine des SadoMaso, voué à la gloire du ligotage et du latex... (Oui, je sais, j'ai un siècle d'avance, mais grâce au Lorean, nos héros ont fait un tour dans le futur! )
D'abord surprise, l'aventurière passe très rapidement au stade de la colère... Comment sa fille peut-elle s'adonner à de telles pratiques?
Elle descend en furie mettre le magazine entre les mains de son mari:
: Tiens! Regarde ce que j'ai trouvé dans la chambre d'Elena!!!
Mendoza prend la revue, la feuillette et la rend à sa femme.
: Alors, qu'est-ce qu'on va faire?
: Je ne sais pas encore... Mais une chose est sûre: ce n'est pas la peine de lui donner une fessée...

[TEEGER59]

Catalina a toujours rêvé de vivre de sa peinture.
Au bout de longues années, elle finit par se faire exposer dans une galerie d'art. Au bout d'une semaine, elle se rend sur place pour savoir ce que le public pense de ses toiles. Le directeur l'accueille:
: Bonjour Catalina, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous... Un investisseur est passé nous voir il y a deux jours pour savoir si vos œuvres prendraient de la valeur après votre mort...
Cat: Et vous lui avez répondu quoi?
: Qu'il n'y avait aucun doute à se faire là-dessus, vos toiles prendront énormément de valeur après votre disparition. L'investisseur a alors acheté comptant les douze tableaux que nous exposions...
Cat: Mais c'est parfait tout ça! Je ne vois pas du tout où serait la mauvaise nouvelle là-dedans...
: Eh bien, sachez que ce fameux investisseur n'est autre que le père adoptif de votre meilleure amie, le docteur Laguerra...