La messe, célébrée par le père Marco, se passe bien et la soirée à la taverne de Rico est une réussite. Enfin, vient la nuit de noces… atroce moment de vérité pour le timide marin. Le lendemain, Gabriela va voir Isabella, en larmes.
Gabriela : Isa, c'est horrible ! Il est nul, il ne sait rien, et j'ai beau l'aider, lui montrer… il ne m'a rien fait !
: Attends, je vais m'en occuper tout de suite. Mendoza étant en mer, elle se résolut à aller parler elle-même à Sancho.
: Alors parait-il que cette nuit fût loin d'être extraordinaire… Ne t'en fais pas ! Si Tao était là, il te dirait que l'homme n'est en fait qu'un animal, pas plus évolué que les chiens… 
étonné : Ah… ah… ah bon ? : C'est ce que disait son peuple. Tu as déjà vu faire les chiens, n'est-ce pas ? : Ou… ou… oui. : Eh bien, il suffit de faire comme eux, d'accord ? enthousiasmé : D'acc… d'acc… d'accord Laguerra !Le lendemain, Gabriela retourne voir la fille du Docteur, en pleurant plus fort que la veille.
Gabriela : Je ne sais pas ce que tu lui as dit, mais il est encore plus bête qu'hier !
: Ah bon ?! Mais pourtant je croyais… Gabriela : Tout avait bien commencé. Il m'a déshabillée et a fait de même. Mais alors après ! Il m'a reniflé le derrière et il a fait pleurer le colosse sur l'armoire de ma mère !
: 
: Au premier étage se trouvent les patients déprimés, au deuxième les paranoïaques, au troisième les déments, au quatrième les fous, au cinquième les fous furieux, au sixième les fous dangereux.
: Ça va señor?