Mais j'aime bien torturer psychologiquement les gens
" Esteban, ne soit pas triste, ne soit pas inquiet. Tu as, toi aussi, ta propre route à continuer. Pour devenir vraiment grand, vois-tu mon enfant, un fils doit dépasser son père."
yupanqui a écrit : 13 févr. 2019, 17:40
Tu tortures psychologiquement Xia et Athanaos...
Non Athanaos, lui, c’est une autre torture
" Esteban, ne soit pas triste, ne soit pas inquiet. Tu as, toi aussi, ta propre route à continuer. Pour devenir vraiment grand, vois-tu mon enfant, un fils doit dépasser son père."
Xia a écrit : 13 févr. 2019, 19:32
Tu oses torturer Athanaos
et après tu dis que c'est ton amant
Tu es trop inexpérimenté pour comprendre
yupanqui a écrit : 13 févr. 2019, 19:35
Freud avait raison : Éros Athanaos...
Désolé, je suis inculte. Je ne comprends pas la référence
" Esteban, ne soit pas triste, ne soit pas inquiet. Tu as, toi aussi, ta propre route à continuer. Pour devenir vraiment grand, vois-tu mon enfant, un fils doit dépasser son père."
Pour Freud, fondateur de la psychanalyse, il y a en nous 2 pulsions (qui peuvent s’opposer) : un instinct de vie « sexuel » (éros) et un instinct de mort (thanatos).
Ci-dessous une citation d’un article trouvé sur internet : « Selon Freud, en nous s’affrontent deux types de pulsions : les pulsions sexuelles, d’auto-conservation (qu’il nomme "Eros") et la pulsion de mort (qu’il appelle "Thanatos") présente en nous dès la naissance.
Chez l’individu normal, les deux sont associées et c’est cette union qui produit un mouvement vers la création ou la procréation. Cependant, il arrive que les péripéties de l’histoire personnelle d’un individu (mauvais traitements, abandon ou deuils précoces mal surmontés) entraînent une disjonction de ces forces. Et là, la mort mène la danse… »
Bon, on n’est pas obligé d’être d’accord. C’est l’explication.
Moi je faisais juste un jeu de mots avec Athanasios « Immortel ».
Et puis avec ce disait Xia : attirance pour Athanasios (ton amant) et en même temps volonté de mort (torture).
" Esteban, ne soit pas triste, ne soit pas inquiet. Tu as, toi aussi, ta propre route à continuer. Pour devenir vraiment grand, vois-tu mon enfant, un fils doit dépasser son père."