Brennus a écrit :d'ailleurs depuis quand la Muraille de Chine est dans un désert.. ?)
Depuis toujours mais il ne faut pas prendre les photos touristiques pour un atlas. Dans les désets, les murailles n'était pas en pierres mais un mélange de sable et je ne sais quoi (ce qu'il trouvaient sur place) qui, au fil des siècles, s'est effrité et il ne reste guère que la masse des tours. Mais bon le lieu semble plutôt en périphérie d'une espace désertique vu que l'on observe des forêts sur plusieurs vues.
Pour l'épisode en question j'ai beaucoup aimé l'effet de lumière entre Zia et le mongol.
Par contre toujours des soucis :
- effectivement les personnages se ressemblent d'un peuple à un autre. Cela est probablement du au budget limité : ils ont trouvé des acteurs pas chers et ils les déguisent en fonction des épisodes
- Ambrosius vol au-dessus de la muraille sans se cacher dans son faux nuage
- Zia arrive à concurrencer le grand méchant loup : vous avez vu à quelle distance elle envoie le pollen en soufflant dessus
- les réacteur de la nef sont surpuissants (passe encore) car elle ne bronchent pas quand la tempête lui tombe dessus. Par contre le "ballon" est également insensible au vent alors qu'au départ la nef se déplace en sens contraire de celui-ci... Je trouve ça fort
- la tempête à curieusement changé de sens (à 10 min)
- le chevaux galopent sans toucher le sol (du moins sans faire le nombre de pas nécessaires). Ça aurait pu se comprendre à l'ère du dessin à la main mais avec le numérique c'est pourtant facile à modéliser
- les gardes sont une dizaine à tout casser pourtant quand il pleut des flèches sur Mendoza c'est au moins 50 d'un coup. Et en plus envoyée à une distance 10 fois supérieure à celle où ils tiraient sur les mongols (on va mettre ça sur le compte du vent en sens contraire)
- le bois de la nef est plus solide que la pierre : elle résiste à tous les chocs. Ca doit être un traitement type durcisseur de bois : avec toutes les potions à bord il y a surement le nécessaire ^^
- Esteban et Tao non ressortent l'expression "on se fait tout le temps emprisonner"
Bon il y a toujours des incohérences même dans les plus grands films, mais là ça fait beaucoup.
A défaut des pitreries et autre comportements imbécile, j'ai aussi apprécié les différents plans de la "caméra". Il il y a de l'originalité pour découvrir le paysage ou des détails.