A la recherche de l'Empire perdu

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Akaroizis
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Akaroizis »

Finalement, Isabella revient ! Un personnage du genre, ça se mêle aux affaires !
J'adore, on voit l'origine de la Nef, les premières découvertes de la Pyramide de Mu...
Un développement sur les possibilités d'une seconde Pyramide ? Une Muenne découverte et une Atlante à découvrir ?
Vu qu'il y a deux bouts de pyramide dans la série, pourquoi ne pas en avoir une seconde (surtout avec le trailer de la S4 qui en présage une seconde).

Bref, on adore et on adhère, met des mois si tu veux mais le résultat est très satisfaisant ! :)
Le présent, le plus important des temps. Profitons-en !

Saison 1 : 18.5/20
Saison 2 : 09/20
Saison 3 : 13.5/20


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Xia
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Xia »

:lol: Merci Akar !
La terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la terre (Tatanka Iyotaka)

Ma fanfic sur la préquelle des Mystérieuses Cités d'or, c'est par ici

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Chaltimbanque
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Chaltimbanque »

Super chapitre, Xia ! Ce prologue à la première saison se révèle de plus en plus intéressant, et j'apprécie beaucoup la manière dont tu fais apparaître les tensions entre les différents membres de l'Ordre... J'attendrai le temps qu'il faudra, mais vivement la suite ! :-D
I shall be telling this with a sigh
Somewhere ages and ages hence:
Two roads diverged in a wood, and I—
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference.


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Xia
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Xia »

Merci beaucoup Viviane !!! :D
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Xia »

Chapitre 8 : La disparition


— Pardonne-moi Athanaos…, commença Fernando tandis qu’ils traversaient la place sultane d’Ormuz, mais je n’ai pas vraiment compris le rapport entre les femmes qui portent malheur sur un navire et les hommes qui volent…
— C’est simple, répondit l’intéressé en riant. Je faisais allusion au mythe d’Icare : à vouloir voler, il est devenu l’artisan de son malheur, puisqu’il est tombé dans la mer. Mais dis-moi, de quoi parlais-tu quand tu as dit que tu avais aidé Isabella à s’échapper du Portugal ?
Visiblement embarrassé, Laguerra murmura :
— Disons qu’elle aurait pu rester là-bas sans souci, étant donné qu’elle bénéficiait de la protection et de l’amitié de l’infante, mais elle étouffait. Elle avait envie de voir autre chose que ses livres… Alors je lui ai proposé de venir avec moi… enfin avec nous…
— Je vois… Mais je suppose qu’ils n’ont pas dû vouloir la laisser partir… Puis-je savoir comme tu t’es débrouillé pour la faire sortir du palais ? D’après ce que je sais, il est bien gardé : ça n’a pas dû être facile d’entrer et de ressortir sans être vu !
— Je n’ai pas eu à le faire. Elle a… escaladé les remparts… S’il te plait, n’en parles pas à Ambroise ! supplia le Docteur.
Ils arrivèrent à la grande porte de chêne devant laquelle ils avaient laissé la fillette seulement quelques jours auparavant.
Fernando frappa trois fois avec le gros anneau mural de bronze et attendit qu’une fenêtre s’ouvre.
Na’am ? demanda une voix masculine étouffée.
Salaam Cheikh, je suis revenu chercher ma… mon fils. J’ai fait une erreur en l’amenant à votre madrasa et…
— C’est trop tard, le coupa froidement l’individu.
Laguerra blêmit.
— Com… comment ça « trop tard » ?!
— Votre fils s’est échappé, expliqua l’homme sur un ton indifférent avant de refermer le judas dans un bruit sourd.
Les deux alchimistes restèrent sans voix.
— Elle s’est échappée ! répéta le Portugais, abasourdi. Mais elle devait bien se douter que nous ne la laisserions pas croupir ici tout de même !
— Maintenant, il nous faut la retrouver… Si Ambrosius nous voit revenir sans elle, il voudra repartir, dit Athanaos en balayant la ruelle du regard. As-tu remarqué que le Cheikh insistait beaucoup sur le masculin ?
— Non. Crois-tu qu’il avait deviné ?
— Possible…
— Réfléchissons… Elle est peut-être retournée chez Waga Fayat ? suggéra Fernando dans un souffle, essayant de masquer l’inquiétude qui le tenaillait.
Où était-elle donc passée ?


Quelques jours plus tôt

Elle arpentait sa chambre de long en large comme l’aurait fait un lion encore sauvage de Kubilaï Khan. Elle était furieuse et contenait tant bien que mal sa rage. Sa colère n’était pourtant pas tournée vers son père – elle le savait faible et facilement manipulable –, ni même contre Ambrosius. Elle se doutait qu’un moment viendrait où il trouverait un moyen de l’évincer du quatuor. Non. Elle était surtout indignée par le comportement d’Athanaos.
Pourquoi donc n’avait-il rien fait pour empêcher ses amis de l’interner ? Depuis la révélation que leur avait faite Waga Fayat, elle pensait qu’il aurait tout fait pour la garder auprès de lui. Eh bien non ! C’était même tout le contraire : elle avait l’impression qu’il cherchait à l’éloigner.
On frappa à la porte. Elle alla ouvrir et se retrouva face à un jeune homme à la mine enjouée.
Quinze ans sans doute, songea-t-elle.
Elle n’était pas très douée dans tout ce qui concernait la gent masculine.
— Tu dois être le petit nouveau ? Julio, c’est ça ? Moi, c’est Sahel, se présenta-t-il en s’inclinant devant la jeune fille, la main sur le cœur. Je crois qu’on t’a déjà fait visiter la madrasa… Mais tu n’as pas encore rencontré le cheikh !
— Le cheikh ? Bien sûr que si. C’est lui qui m’a accueillie à mon arrivée, dit-elle d’une voix morne.
— Ah non ! Ce cheikh-là, c’est le vieux grincheux à la barbe blanche guère agréable qui dirige tout… Non, celui que je vais te présenter, c’est notre Cheikh, fit Sahel avec un clin d’œil.
Isabella s’autorisa un maigre sourire et lui emboita le pas. Ils longèrent de nombreux couloirs à la couleur ocre et débouchèrent sur une cour bordée d’arbres d’un rouge cramoisi virant à une étrange couleur située à mi-chemin entre le vert amande et le brun. Son intérêt l’emporta une fois de plus. Elle s’approcha du plus majestueux.
— Un arbre perroquet, un anjïli chez nous, l’informa Sahel. Viens : il nous attend.
Isabella le suivit jusqu’au fond du jardin. La nuit venait de tomber mais ses yeux distinguèrent nettement l’ombre qui se dessinait sur le muret. Il s’agissait d’un jeune garçon, sans doute avait-il le même âge qu’elle, à en juger par sa voix au timbre clair.
— Julio, je te présente Rachid. Il est de la tribu nomade des Ghassanides. Il ne vient ici que deux fois par an.
Un nomade ? Elle avait entendu l’antiquaire évoquer un bédouin qui lui avait vendu les objets de l’empire de Mu. Peut-être était-il de la même tribu ? Si tel était le cas, c’était le pompon ! Ambrosius voulait à tout prix l’éloigner, et elle se retrouvait malgré tout aux premières loges. Et lui en deuxième.
Mais non. Encore une fois, elle se faisait trop d’idées. Elle savait bien sûr qu’il y avait plusieurs peuples dans le désert. Mais quand même… Imaginer un Ambroise de Sarle fou furieux l’aidait à se sentir mieux.
— Enchanté, şadīq, la salua Rachid avec un sourire en coin.
Isabella fit de même. Bien que n’ayant guère envie d’engager la conversation avec cet inconnu, elle commença, par politesse. Et pour assouvir sa curiosité :
— Je n’ai jamais entendu parler de la tribu des Ghassanides. Son origine est-elle loin d’ici ?
— Je suis nomade ! fit l’autre dans un rire bref. Mon peuple traverse le désert en permanence depuis la nuit des temps. Nous ne connaissons pas nos origines avec certitude…
La phrase semblait être restée en suspens. Elle sentait qu’il craignait de poursuivre. Machinalement, elle joua avec le bijou qu’elle portait autour du poignet, seul objet qui la reliait à sa mère. Le bracelet lui entravait la peau, ce qui lui arracha une grimace.
Il faudra que je le desserre, pensa-t-elle.
Rachid hésitait. Pouvait-il faire confiance à ce garçon ? Son intuition lui soufflait que oui, mais ce fut un rayon lunaire sur le corps de son interlocuteur qui l’incita à se confier :
— On dit que nous descendons des rois d’Urartu… Mais ce n’est qu’une légende, s’empressa-t-il de rajouter, voyant ses grands yeux s’écarquiller.
— Urartu ? Où est-ce ? demanda-t-elle.
Sa curiosité avait été piquée, une fois de plus.
— Un ancien royaume d’Anatolie qui aurait disparu il y a environ sept mille ans…
En Anatolie ? Voilà ce qui aurait fait plaisir à Athanaos ! Elle ne put s’empêcher de supplier Rachid du regard pour l’inciter à continuer. Mais celui-ci secoua la tête :
— Non, şadīq. Il se fait tard et je dois partir. Le cheikh va bientôt faire sa ronde.
Isabella le salua et tourna les talons, déçue de ne pas en connaitre davantage sur l’histoire de ce royaume. Peut-être qu’elle trouverait des renseignements dans la bibliothèque… Il devait bien y en avoir une, dans cette maudite école !
Tandis qu’elle rejoignait Sahel, la voix de Rachid résonna dans son dos :
— Si j’étais toi, je me débrouillerais pour sortir d’ici le plus possible, Julio. Je ne connais pas la madrasa, mais je crois savoir qu’il y a certaines choses qui se font en commun…, chuchota-t-il, toujours avec cette même expression qui ne l’avait pas quitté et qu’elle était incapable de définir.
Isabella resta perplexe. Qu’est-ce qui se faisait en commun ?
Ce ne fut qu’au détour sombre d’un corridor qu’elle se remémora l’incident entre Ambrosius et son père dans la nef après qu’ils aient franchi l’isthme del Darién. Elle sentit le rouge monter à ses joues. Si c’était bien cela, il fallait effectivement qu’elle sorte d’ici le plus vite possible !

Elle errait sur la place du bazar, où elle évitait soigneusement les stands du nord. Elle ne tenait pas à se retrouver face à Farid, à qui elle avait essayé d’acheter une épée quelques jours auparavant.
Isabella déroba un régime de bananes sur un étal et, tout en mangeant, elle regarda avec envie les hommes manier avec adresse des sabres, incitant leurs jeunes fils à reproduire les mêmes gestes.
La jeune fille parcourut les marchandises de ses yeux marrons. De nouveau, elle détourna à plusieurs reprises des provisions qu’elle jugeait nécessaire à son voyage.
Car depuis qu’elle était partie de la madrasa, elle avait bien dû se rendre à l’évidence : elle serait dorénavant livrée à elle-même. Fernando de Lagurra l’avait lâchement abandonnée, Ambroise de Sarle jubilait de son absence et Athanase d’Éphèse ne se souciait plus d’elle.
Elle avait bien songé à se réfugier chez Waga Fayat, mais quel avenir s’offrait à elle ? Assistante de l’antiquaire ? Elle savait qu’elle n’aurait pas la patience d’attendre d’éventuels clients. Alors quoi ? Repartir pour le Portugal ? Elle n’était même pas certaine qu’on l’accepterait de nouveau.
En revanche, elle avait soif d’aventures. Une soif qu’elle avait commencé à épancher en prenant part à la quête de son père. Mais à présent qu’elle avait pris goût à ces voyages, elle voulait à tout prix continuer à marcher sur les pas des grandes aventurières. Elle admirait par-dessus les femmes comme Jeanne de Belleville, la « Tigresse bretonne », une femme pirate du XIVème siècle qui avait – selon elle – bravé les hommes et les préjugés de son époque.
Elle avait pris sa décision : elle partirait dès le lendemain sur le premier navire qu’elle trouverait… même si elle en ignorait la destination.
Rendez-vous en terre inconnue, se dit-elle intérieurement.
Au loin, des cris qui venaient du port parvinrent à ses oreilles. Elle se dirigea vers les bateaux amarrés et sourit.
La chance ne l’avait finalement pas abandonnée.

Des pas résonnèrent au-dessus de sa tête. On parlait mais aucune phrase n’était compréhensible. Puis ce fut le silence. Un silence assourdissant que seul le gargouillis de son estomac interrompait de temps à autre.
Elle avait déjà épuisé ses provisions et se maudissait de ne pas en avoir pris d’autres. La route était encore longue. Elle avait entendu que l’équipage comptait se rendre à Myos Ormos, en Égypte, sur les bords du Sinus Persicus. Isabella en était ravie ! Elle avait toujours rêvé de fouler la terre des pharaons.
Un craquement la fit sursauter.
La fillette se sentait observée depuis un long moment déjà. Son regard chercha vainement l’origine de son malaise, mais la pénombre était trop opaque pour qu’elle distinguât quoi que ce soit. Mais un rayon de lune lui fit entrevoir des dents luisantes.
Un rat !
Son premier réflexe fut de se protéger. Elle ne connaissait que trop bien les maladies que pouvaient transmettre ces animaux. Mais le deuxième fut de penser à elle. Cela lui ferait bien un repas… quoi qu’elle en pense.
Elle attrapa sa lame à contrecœur. Elle avait volé cette rapière pour croiser le fer, pas pour croiser la peau !
Isabella prit délicatement le petit rongeur entre ses doigts. Ses yeux croisèrent les siens et elle eut un pincement au cœur.
Au moins, il n’est plus tout jeune.
Elle approcha l’épée, mais s’arrêta au dernier moment.
Comment faisait-on déjà ?
Elle avait déjà vu un homme dépecer un rat. Mais il l’avait fait d’une certaine manière.
Pour rendre sa fin plus douce, lui avait-il expliqué.
C’était au Portugal il y avait quelques années. Elle avait été une énième fois punie. C’était pour quoi déjà ? Insolence ou impertinence ? Peut-être bien les deux. Flor ne savait plus quoi faire pour la « dompter » comme elle disait.
On l’avait donc jetée au cachot, avec un voleur qui devait être exécuté le lendemain. Leur repas avait été tellement maigre que celui qui partageait sa cellule avait tué un rat. Isabella s’était bien gardée de lui dire qu’il pouvait rajouter « meurtrier » à ses exploits.
Elle perdit soudainement l’équilibre et s’effondra de tout son corps sur le plancher de bois. Elle poussa un juron. L’animal lui avait échappé des mains.
— C’est ton jour de chance mon vieux, marmonna-t-elle.
Elle se releva avec difficulté, ce qui lui arracha un petit cri. Ses genoux lui faisaient affreusement mal. La plaie qui avait mis tant de temps à cicatriser se remit à saigner.
Isabella avait pris des cordages pour descendre le long des remparts au Portugal, mais là, elle avait dû se contenter des pierres saillantes de la madrasa pour s’enfuir. Elle maugréa. Pourquoi n’avoir pas pris bêtement la porte ?!
La jeune fille sentit que le bateau changeait de direction. Ils faisaient demi-tour ?

Waga Fayat n’avait pas cru un seul mot de ce que lui avait raconté Fernando de Lagurra.
Il indiqua néanmoins qu’il avait aperçu « la fillette qui s’était malencontreusement égarée » sur la place du marché, au niveau des étals qui vendaient des coutelas, lames et autres épées.
Athanaos suivait maintenant son ami au pas de course. Ce dernier – désormais dans la crainte de savoir sa fille perdue à jamais – galopait littéralement devant lui.
Ils ralentissaient l’allure lorsqu’ils entendirent un hurlement en provenance du port d’Ormuz.
— Isabella…, murmura le père d’une voix blanche.
Modifié en dernier par Xia le 29 juin 2021, 21:02, modifié 1 fois.
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par IsaGuerra »

Super chapitre (encore une fois)
Isabella qui s'est enfui de la madrasa : ça m'a choqué qu'à moitié en fait :roll:
Quand Rachid a dit "il y a certaines choses qui se font en commun" la seule chose qui m'est venue à l'esprit c'est les douches et bah du coup gagné :x-):

Donc je répète : J'adore :-@ :-@
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« J'ai de bonnes raisons de faire ce que je fais » Isabella Laguerra
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par nonoko »

Ce pauvre papa Laguerra, c'est que tu vas finir par nous le rendre sympathique! C'est très intéressant!
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par Xia »

IsaGuerra a écrit : 03 juin 2017, 17:14 Quand Rachid a dit "il y a certaines choses qui se font en commun" la seule chose qui m'est venue à l'esprit c'est les douches et bah du coup gagné :x-):
:lol: :lol: :lol:
Quand j'avais écrit ça, je pensais aux urinoirs, mais c'est vrai que les douches, c'est plus ... "éloquent" :x-):
nonoko a écrit : 03 juin 2017, 17:45 Ce pauvre papa Laguerra, c'est que tu vas finir par nous le rendre sympathique! C'est très intéressant!
Oui, on avait presque oublié que c'était un être humain :shock:
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par TEEGER59 »

Je viens de tout lire d'une traite. Je suis sur le c**.
J'aime beaucoup!
J'avais l'impression de voir le préquelle de tous les éléments que nous connaissons déjà!
Xia, tu as une fan de plus...
Ta fanfic est bien plus intéressante que la mienne!
:Laguerra: : AH! Comme on se retrouve!
:Mendoza: : Ma première leçon ne t'a pas SUFFIT?
:Laguerra: : Cette fois, tu ne t'en sortiras pas si FACILEMENT!
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Re: A la recherche de l'Empire perdu

Message par smilemma »

J'aime beaucoup, c'est très agréable à lire et l'histoire est emmenée à la perfection ! Bravo ! :D
"Pardonne-moi Esteban, mais la mort ne m'émeut plus."
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