FANFIC | Pour ceux qui aiment écrire... un défi

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Maël
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Re: FANFIC Pour ceux qui aiment écrire... un défit

Message par Maël »

quel Dom Juan ce Mendoza x-)
t'as pas idée !!!
;-)
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docrate
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Re: FANFIC Pour ceux qui aiment écrire... un défi

Message par docrate »

Tiens...je vais peut être reprendre la plume pour voir si on ne peut pas faire quelque chose...du côté de Gomez et Gaspard. Je sais, ils ont l'air irrécupérable, mais j'ai toujours eu une certaines admiration pour le commandant Gomez...Et puis quand on a réussi à réhabiliter un spectre d'Hades dans une fic St Seiya, y'a pas de raison qu'on y arrive pas avec un conquistador.

Je m'y met bientôt et je poste ça dès que c'est prêt... x-)
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Maël
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Re: FANFIC Pour ceux qui aiment écrire... un défi

Message par Maël »

mmmm...

me réjouis de lire ça !
Je les aime bien aussi ces deux-là !
me font rire !
Et pi, Gomez il a trop la classe !
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docrate
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Re: FANFIC Pour ceux qui aiment écrire... un défi

Message par docrate »

Je suis désolé, j'ai écrit ça alors que j'avais une bronchite du feu de dieu...c'est peut être pas mon chef d'Å“uvre, mais c'est ma première fic hors Saint Seiya... :?


Gomez ouvrit lentement les yeux... Il était épuisé, et complètement désorienté. Ses derniers souvenirs... les cités d'or ! Gaspard et lui avait trouvé la cité d'or !

Mais où se trouvait-il maintenant ? Que s'était-il passé ?

Gomez essaya de bouger, mais son corps refusa de lui obéir. Il était épuisé, se sentait las, comme une coquille vide. Et ou diable était Gaspard ?

Et soudain il se souvint.

La cité était en train de s'écrouler. L'or que lui et Gaspard avaient entassé dans leur canot emporta bien vite celui ci par le fond. Puis il vit la lame de fond soulevé par l'engloutissement de la cité. Celle ci l'emporta, tout comme Gaspard. Mais ce dernier, bien plus athlétique et pas encombré par un lourd plastron d'acier, parvint à se hisser en lieu sûr. Gomez, lui, n'arrivait pas à reprendre le dessus face au courant.

Et Gaspard, comme d'habitude, prit la décision la plus stupide possible. Il replongea pour sauver son supérieur. Son ami. Il parvint à hisser Gomez sur un rondin, et s'apprêter à s'y hisser aussi quand une seconde lame de fond précipita un gros rocher vers lui. Celui ci heurta avec un bruit d'os craqué écÅ“urant la tête du pauvre hidalgo, et Gomez vit le corps de son homme de main... de son seul ami disparaître dans les méandres. puis il s'évanouit. Quand il reprit connaissance, il se trouvait sur cette berge. Il essaya à nouveau de bouger, mais une violente douleur le prit, lui donnant l'impression d'avoir été piétiné. Il rouvrit les yeux et parvint, difficilement et en serrant les dents, comme pour ignorer la douleur. Il se retrouva le visage tourné vers le ciel.

Gomez allait mourir et il le savait. Il avait tout perdu dans cette quête des cités d'or: son rang, son honneur... son ami.

Quel triste destin ! Son ami. Gomez n'en avait qu'un, mais ça lui suffisait. Aujourd’hui... il était seul.

Il attendit un peu, reprenant ses esprits. Le ciel était gris, et il n'avait guère idée d’où les eaux avaient pu le porter. Il avait encore son épée, mais pas la force pour se lever, ni même pour la sortir de son fourreau.

"Mon jeune ami, je crois que vous avez besoin d'aide" fit une voix âgée, toute proche.

"Qui... qui est là ?" Croassa péniblement Gomez.

"Je me nomme... tiens, j'ai oublié. Il est vrai que je n'ai pas utilisé mon nom depuis fort longtemps..." fit laconiquement le vieillard.

"Vous parlez espagnol, pourtant..." lui renvoya Gomez.

"Oui... Un de tes compatriotes, pas un soldat, mais un moine, m'enseigna ta langue il y a bien... oh, trente révolutions de cela. Mais je n'ai guère l'occasion de pratiquer." Fit le vieil homme en riant légèrement.

"Qu'allez vous faire de... moi ?" Demanda Gomez.

"Je me demandais la même chose. Don Rodrigue n'était pas homme à abandonner quelqu'un dans le besoin. Je ne le ferais pas non plus."

Le vieil homme s'attela ensuite à examiner le corps de Gomez.

"Vilaine, bien vilaine fracture que tu as là, mon ami. Je croyais les conquistadores invincible ? De plus tu m'as l'air d'avoir perdu beaucoup de sang, tu as une longue convalescence devant toi. Bah ! tu pourras peut être m'expliquer ce qui s'est passé plus loin, au sud..."

"La cité d'or... nous l'avions trouvé. Et elle m'a tout pris."

"Alors tu recherchais les mystérieuses cités d'or ? Tu es donc un fou comme ce Pizarro dont les Echos remontent jusqu'ici ? Anéantir une civilisation, réduire un peuple fier en esclavage pour ce métal vulgaire et sans intérêt ne vous a donc pas suffit ?" Demanda sèchement le vieil homme. Mais il vit que Gomez avait perdu connaissance.

Les jours, les semaines s'écoulèrent. Gomez se rétablit, retrouva l'usage de sa Jambe. il boiterait légèrement, mais rien de grave. Coyote Hurlant, le vieillard qui l'avait soigné et avait insisté pour se faire appeler ainsi, et lui avait de vives et passionnantes discussions.

Gomez mit à profit cette période d'inactivité. Il repensa à son enfance.

flashback, Madrid, vers 1500

Le Jeune Gomez courait vers la modeste demeure de sa famille. Il venait de finir sa journée de travail chez ce maréchal ferrant, et celui ci avait récompensé le jeune garçon d'une pièce d'argent. Cette fois, ils allaient pouvoir soigner sa sÅ“ur, sa grande sÅ“ur bien aimée, la douce Isabella. Depuis la mort de son père, il avait vécu seul avec elle et sa mère. Mais quand il rentra, il trouva sa mère en train de pleurer.

"Maman ?"

"Isabella a rejoint notre seigneur, mon petit..."

"Non... NON ! J'AVAIS L'ARGENT ! ON AURAIT PU LA SAUVER !" S’écria le jeune enfant, bouleversé, avant de se précipiter vers la chambre, où reposait le cadavre de sa sÅ“ur. Malgré la maladie, elle était superbe. Il se jeta sur elle et se mit à pleurer. au bout de quelque minute il redressa le visage et la regarda une dernière fois. La malice et la joie de vivre du jeune homme semblaient être éteintes, voir même n'avoir jamais existé.

"Un jour je serai riche... et ce maudit apothicaire me le paiera !" Lâcha t-il entre ses dents. L’Apothicaire, un petit homme vénal et sans beaucoup de compassion, avait refusé de lui avancer le médicament pour sa sÅ“ur.

Quelque jour plus tard, celui qui serait un jour le terrible commandant Gomez dénonçait l'apothicaire pour acte d'hérésie et de sorcellerie à l'inquisition. Il l'accusa d'avoir envoûté sa sÅ“ur. L’homme finit sur le bûcher.

Gomez repensa à cela, et fut pris d'une terrible envie de vomir. Il avait alors fait tué un innocent ? De combien de crime s'était-il rendu coupable depuis son départ d'Espagne ? Il avait prit part ensuite aux premières expéditions espagnoles, d'abord pour les îles découvertes par le génois, Colomb, puis pour le grand continent du sud. Il se lia d'amitié avec un jeune chevalier qui, bien que fort et rude combattant, manquait sévèrement de cervelle. Gomez, lui, grimpa les échelons de la hiérarchie, tout en continuant à désirer l'or plus que tout. Alors il rencontra Pizarro, dans une taverne de Barcelone. Celui ci recrutait une poignée de mercenaires et d'aventurier pour partir à l'assaut de l'or du nouveau monde.

Gomez médita longtemps sur ses actes. D’un enfant malicieux et joueur, toujours serviable et gentil, il était devenu un manipulateur, un homme prêt à commettre les pires atrocités, comme il l'avait fait à la poursuite d'Esteban et des autres. Esteban. Gomez réalisa que le jeune garçon et le jeune Gomez se ressemblaient tellement. Mais Esteban n'état pas cupide. Peut être le résultat d'une éducation chez les moines. Voilà pourquoi il avait haï le jeune garçon. parce qu'il lui rappelait une époque heureuse et à jamais perdue.

"Qu'est ce que l'or t'aurait apporté, Gomez" lui demanda Coyote.

"Je... je l'ignore. Je suppose que je cherchais à compenser pour cette période ou le manque d’argent me priva de ma sÅ“ur bien aimée, puis de ma mère."

"Et dans ta quête, combien d'innocents a-tu privé de leurs sÅ“urs, de leur mère ?"

Gomez réfléchit. Zia avait perdu sa famille à cause de Pizarro. Esteban, son père était mort mystérieusement. Et Gomez avait fait tant d'orphelin, aussi bien au vieux pic qu'au fort de l'aigle noir.

"Je suis un monstre..." murmura t-il

"Non, mon jeune ami. Ton esprit s'est éclairci. Le voile de ténèbres jeté sur ton âme s'est levé. Un monstre ne réalise jamais ce qu'il est. un idiot par contre..." coyote rit doucement. Ce jeune homme était si étrange."Que vas-tu faire maintenant ?"

"Je ne peux pas retourner en arrière. Pizarro me fera tuer pour avoir échouer, et pour les hommes et le matériel perdu. Officiellement, j'ai déserté, je suis donc un traître. Je ne peux pas retourner en Espagne. trop de souvenirs..."

"Ce remède... est-tu sûr qu'il aurait sauvé ta sÅ“ur ?" Demanda Coyote.

Gomez réfléchit "Je... Je l'ignore. Je crois."

"Et si ça n'avait pas été le cas ? Si ton dieu avait décidé de rappeler ta sÅ“ur auprès de lui, plutôt que de la faire souffrir un peu plus pour rien ?"

Gomez n'avait jamais pensé à cela. Il réalisa alors brutalement l'inanité de ses actes. Il avait tué, pillé, massacré, volé et profané... pour un mirage. Pour un souvenir."

"Je suis un misérable."

"Non. Un fou, ou un idiot. Je n'ai pas encore clairement fait la différence entre les deux te concernant. Comme nombre de tes compatriotes, tu te laisse emporter par la soif de l'or.

"Pizarro a fait de nous des loups" commença Gomez "des loups assoiffés de sang et d'or. Il a fait d'hommes d'honneur des monstres, des assassins sans pitié ni remords, ne désirant que tuer et piller, pour satisfaire leur ego. Il nous a.. corrompu. Nous avons perdu de vue ce qui importait. Nous aurions pu apprendre tant de ces peuples, au lieu de quoi, nous avons brûlé vos écrits, martelé vos temples, garrotté vos érudits... Quels idiots nous sommes ! Je suis arrivé en nouvelle Espagne persuadé que j'étais le civilisé et vous, les barbares, les sauvages. Mais c'est l'inverse !"

"Ne crois pas cela. Nous avons aussi notre ration d'imbéciles, de fous et d'ambitieux. Il y a du bon et du mauvais partout. Quetzalcoatl, dans sa grande sagesse, nous a donné le libre arbitre, nous permettant de devenir le pire des fléaux ou le plus merveilleux des bienfaiteurs. Nous ne sommes que la somme de nos actions Gomez. Rien de plus."

"Je... Je comprends, coyote. Alors... apprenez-moi les langues de vos peuples. Parlez-moi d'eux. Il est trop tard, je le crains, pour arrêter le massacre, mais pas pour sauver votre mémoire."

Dans les mois qui suivirent, Victor Gomez, autrefois le redoutable homme des basses oeuvre de Pizarro apprit les langues que connaissait le vieillard. Un jour il se réveilla, et coyote avait disparu. Gomez comprit que le vieil homme n'avait plus rien à lui enseigner. Il partit, abandonnant derrière lui sa cuirasse. Il voyagea longtemps, plusieurs années, et traversa ce qui serait connu un jour comme le Texas, la Californie, la floride. Il redescendit les pays aztèques et Mayas, contemplant les dégâts atroces de ses compatriotes, tant par les maladies apportées que par les servitudes imposées aux indiens, tel l'exploitation de la terrifiante mine de Mercure de Huancavelica. Au pays Maya, il retrouva Maïna et Viracocha. Tous deux vivait encore dans leur village, mais sous le joug des espagnols. Certains vieux conquistadores reconnurent Gomez, et lui annoncèrent que Pizarro avait été assassiné, son frère, garrotté en Espagne. la plupart des amis de Gaspard étaient morts...

Gomez poursuivit vers le pays inca. Le fort de l'aigle noir était désormais fort Ferdinand, une place forte espagnole. Quant au village de Puna, il était abandonné. et tout au long de son voyage, Gomez prit des notes, rédigea des passages entiers...

Près de dis ans plus tard, il rentrait en espagne. Il avait, plus par accident que par volonté, retrouvé le site de la cité d'or, et prit juste assez d'or pour payer le cinquième du roi et avoir de quoi vivre une vie modeste mais confortable jusqu'à sa fin. Il fit quelques recherches, et retrouva Cantho et Pedro, devenus bourgeois de Barcelone. Lorsqu'il les rencontra, ils eurent du mal, mais furent finalement convaincu de son revirement. Il lui expliquèrent que Mendoza avait disparu quatre ans plus tôt, parti à la recherche, non plus des cités d'or, mais d'Esteban, Tao et Zia. Gomez sourit. Mendoza était fort. Lui ne s'était pas laissé corrompre.

Il publia son livre. Si le côté "exotique" en fit un succès, les opinions qu'il exprimait ne plurent pas à tous.

an de grâce 1548

Je suis enfermé dans les geôles de l'inquisition depuis désormais trois jours. J'ai été interrogé par cet inquisiteur, ce Guillermo de Arriaga... l'homme est obnubilé par l'or et ma "trahison" de l'église. Mais je ne serais pas soumis à la question. C’est déjà ça. Je serais jugé demain. Et pourtant, à l'aube de ma mort, je me demande. Je me demande ce que sont devenu Esteban, Tao, Zia, Mendoza... où sont-ils ? ont ils finalement découvert ce qu'ils cherchaient ? Demain, je serai brûlé parce que j'ai refusé d'être aveuglé par les désirs fous éveillés en nous par ce monstre de Pizarro, et parce que j'ai refusé de cautionner ici les horreurs commises au loin au nom de notre seigneur Jésus. Mais je n'ai pas peur, car je suis conscient des crimes que j'ai commis, et je sais que je vais devoir les expier, dans ce monde ou dans l'autre. Quelle ironie ! Je vais mourir de la même manière que ma première victime. Puisse le seigneur et mes victimes me pardonner. Moi, Victor Gomez, homme d'arme devenu homme de lettre, couche par le séant ses dernières volontés..."

Quelques heures plus tard, Victor Gomez fut jugé par l'inquisition, reconnu coupable d'hérésie et en situation de péché mortel. Il fut ainsi condamné aux flammes du bûcher. Il attendait sa mort tranquillement dans sa cellule quand une clef tourna dans la cellule. la porte s'ouvrit et le geôlier s'écarta, laissant entrer trois personne... Gomez n'en revenait pas...

"Esteban. Tao. Zia. Je ne pensais pas vous revoir un jour" fit-il calmement. Esteban était devenu un véritable portrait craché de Mendoza. D'ailleurs, il portait la rapière du navigateur. Tao portait une tunique de lettré et de petites binocles. Enfin Zia était... Gomez n'en revint pas. Zia était le portrait vivant de sa défunte sÅ“ur.

"Commandant Gomez" commença Esteban

"Non... cet homme est mort, il y a seize ans Esteban. Aujourd'hui je suis Gomez, l'érudit, ou l'hérétique, selon les opinions."

"J'ai lu votre livre, Gomez" fit Zia. "J'ai eu du mal à croire que vous pouviez avoir changé ce point..."

"Une jambe brisée et une année passée en compagnie d'un homme égalant ton père en sagesse ont eu cet effet, petite. Mais comment se porte Mendoza ? Avait trouvé ce que vous cherchiez ?"

"Mendoza est... mort. Il s'est sacrifié pour moi..." fit doucement Esteban en baissant la tête. "J'imagine que ça vous réjouit ?"

"Mort... Diable. Non Esteban, ça ne me rend pas heureux. Il y a 17 ans ? peut-être. Aujourd’hui ? Je me dis que l'Espagne à perdu encore un peu de son honneur. Un peu de son âme."

Esteban n'en revenait pas. Sancho et Pedro n'avaient pas menti. Gomez avait bien changé. Lui aussi avait lu le livre, et jamais il n'aurait crut cela de Gomez.

"Nous pouvons vous faire..." commença Tao, mais Gomez l'interrompit

"Fuir ? Non Tao, mais je te remercie. Je sais que je vais mourir. c'est en tentant de défier la mort que j'ai vendu mon âme au diable de l'or. Ne le laissez jamais vos corrompre. Jamais. Je vais mourir sur le bûcher, et expier mes fautes. Plus rien ne me rattache à ce monde. Répondez juste à une question ?"

"d'accord", fit péniblement Esteban

"Qu'avez-vous trouvé ? Si vous avez trouvé des choses pouvant aider l'humanité, servez-vous-en. Sinon... cachez les, enfouissez les, ou détruisez-les. Prenez ceci comme un conseil d'un vieil homme au couchant de sa vie. Nous sommes définis non par notre origine, notre naissance ou autre bêtise, mais par ce que nous faisons. Seuls compte nos actes. C’est ce que m'a dit un vieil homme il y a 16 ans. Mendoza avait comprit. Moi... j'ai fini par comprendre."

Esteban, Tao et Zia parlèrent longuement avec leur ancien ennemi, et partirent. Le lendemain, Gomez fut exécuté en place publique. Lorsque les flammes commencèrent à prendre, il leva les yeux vers le ciel et vit passer le grand condor.

"Adieu les enfants. Que les cieux vous soient propices, enfants du soleil"
fab76
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Re: FANFIC Pour ceux qui aiment écrire... un défi

Message par fab76 »

franchement pas mal! tres interressant comme sujet que la rédemption!
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Samantha Rosenwood
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Re: FANFIC Pour ceux qui aiment écrire... un défi

Message par Samantha Rosenwood »

J'ai franchement beaucoup aimé, Docrate. Beaucoup. La preuve que même en état de faiblesse physique, on peut être capable de pondre quelque chose de trés beau, qui a de la logique et du sens. J'ai aimé lire qu'à travers Gomez, tu avais capté le sens véritable de la vie, de ne pas se laisser mener par des chiméres, mais plutôt vivre au mieux en faisant le bien autour de soi, et que cela, Dieu nous en tiendra compte, signe d'un retour à la vraie lumière (ladite rédemption mentionnée par Fab).

Je Vous Embrasse,

Sam.
"Yanagi Ni Kazé" - Proverbe Japonais
"Un ami non éprouvé est comme une noix non cassée. On ne sait ce qu'elle renferme" - Proverbe Russe
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docrate
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Re: FANFIC Pour ceux qui aiment écrire... un défi

Message par docrate »

Merci, vos commentaires m'ont fait TRES plaisir :D ...j'ai pas perdu la main moi depusi dix ans finalement... (je crosi que je vais reprendre l'écriture de cette fanfic commencée et jamais finie...un cross over Kenshin le vagabond\Highlander :geek: ...)

Encore merci en tout cas !

Armand (qui aurait espéré qu'il y ait autant de feedback à l'époque où il a pondu les 80 pages de son bébé, la "guerre du chaos" sur les chevaliers du zozo... :cry: )
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